Les 160 pros engagés dans les débats à Agadir ont donné le meilleur d’eux-mêmes suscitant admiration et enthousiasme des très peu nombreux spectateurs ayant suivi le Challenge.
Sur le parcours, on a pu constater un certain revirement de situation d’un tour à l’autre.
Au troisième jour de la compétition, la lutte fut très serrée entre les Britanniques Storm, Abbate Dixon, le Suèdois Nilson, l’Italien Guermani et l’Argentin Canete, avec un léger avantage au profit de l’Anglais Storm ayant joué à 11 coups sous le par ; alors que les autres prétendants au trophée ont terminé à -8.
Lors de la dernière journée constituant la finale, Graeme Storm a sorti le grand jeu pour se détacher nettement et boucler le tout en 264 coups –16 empochant par la même occasion la somme de 20.800 euros. Une victoire sans appel qui lui vaut déjà une invitation à la prochaine édition du Trophée Hassan II.
La deuxième place a été occupée par l’Argentin Abatte 268 coups –12. En troisième position, nous retrouvons l’Irlandais Sion Bebb avec 269 coups –11 en compagnie de son compatriote Mark Mouland avec la même carte.
Pour ce qui est des Marocains dont le nombre de participants au Challenge par rapport aux deux autres éditions de Dar Essalam a été porté à 15 au lieu de huit, les prévisions étaient de voir au moins deux joueurs passer le cut. Ce fut fait : El Hassani Younes et El Kharraz Mustapha ont réussi à jouer les deux ultimes tours du «Attijariwafa Tikida Beach Moroccan Classic».
Néanmoins, on s’attendait à ce que les résultats affichés par les deux premiers au Royal Moroccan Pro Tour soient plus éloquents. Au 4e tour, le Tangérois a totalisé 68 coups alors que le sociétaire du RGAM a joué à 7 au dessus du par.
Pour tenter d’expliquer le manque de performances chez nos pros lors des grands événements tenus au Maroc, la réponse allait nous être donnée par Majid Bennis, directeur de l’étape marocaine du PGA Challenge tour que nous retrouverons dans sa déclaration.
Soulignons par ailleurs que la cérémonie de clôture du tournoi a été présidée par le wali de la région de Souss-Massa-Drâa qui était accompagné du président de la Fédération Royale marocaine du golf et d’autres membres de la FRMG et de l’ATH.
Déclaration de Majid Bennis:
«Pour la première fois, le Challenge tour se déplace à Agadir après deux années successives à Agadir. Un champ de 126 joueurs venus du monde entier.
Le fait de voir deux joueurs nationaux franchir le cut est une satisfaction pour la FRMG et l’ATH.
L’essentiel sera de donner demain au golf marocain une locomotive à l’instar de ce qui se passait en tennis. L’Académie Royale qui est en train de se réaliser à Rabat, accessible aux jeunes de 7–8 ans, va pouvoir nous donner dans six ans au moins un joueur qui marquera le Challenge tour de sa présence.
Concernant les résultats des Marocains, nos deux meilleurs joueurs sont fatigués. Ils ont eu énormément de pression et de kilomètres dans les jambes. Après avoir passé le cut, on s’attendait à ce qu’ils allaient faire sensation. C’est le contraire qui s’est produit.
Cela est dû essentiellement à un manque de préparation mentale.
Nous allons travailler dans ce sens. Nous sommes sur la bonne voie».
Sur le parcours, on a pu constater un certain revirement de situation d’un tour à l’autre.
Au troisième jour de la compétition, la lutte fut très serrée entre les Britanniques Storm, Abbate Dixon, le Suèdois Nilson, l’Italien Guermani et l’Argentin Canete, avec un léger avantage au profit de l’Anglais Storm ayant joué à 11 coups sous le par ; alors que les autres prétendants au trophée ont terminé à -8.
Lors de la dernière journée constituant la finale, Graeme Storm a sorti le grand jeu pour se détacher nettement et boucler le tout en 264 coups –16 empochant par la même occasion la somme de 20.800 euros. Une victoire sans appel qui lui vaut déjà une invitation à la prochaine édition du Trophée Hassan II.
La deuxième place a été occupée par l’Argentin Abatte 268 coups –12. En troisième position, nous retrouvons l’Irlandais Sion Bebb avec 269 coups –11 en compagnie de son compatriote Mark Mouland avec la même carte.
Pour ce qui est des Marocains dont le nombre de participants au Challenge par rapport aux deux autres éditions de Dar Essalam a été porté à 15 au lieu de huit, les prévisions étaient de voir au moins deux joueurs passer le cut. Ce fut fait : El Hassani Younes et El Kharraz Mustapha ont réussi à jouer les deux ultimes tours du «Attijariwafa Tikida Beach Moroccan Classic».
Néanmoins, on s’attendait à ce que les résultats affichés par les deux premiers au Royal Moroccan Pro Tour soient plus éloquents. Au 4e tour, le Tangérois a totalisé 68 coups alors que le sociétaire du RGAM a joué à 7 au dessus du par.
Pour tenter d’expliquer le manque de performances chez nos pros lors des grands événements tenus au Maroc, la réponse allait nous être donnée par Majid Bennis, directeur de l’étape marocaine du PGA Challenge tour que nous retrouverons dans sa déclaration.
Soulignons par ailleurs que la cérémonie de clôture du tournoi a été présidée par le wali de la région de Souss-Massa-Drâa qui était accompagné du président de la Fédération Royale marocaine du golf et d’autres membres de la FRMG et de l’ATH.
Déclaration de Majid Bennis:
«Pour la première fois, le Challenge tour se déplace à Agadir après deux années successives à Agadir. Un champ de 126 joueurs venus du monde entier.
Le fait de voir deux joueurs nationaux franchir le cut est une satisfaction pour la FRMG et l’ATH.
L’essentiel sera de donner demain au golf marocain une locomotive à l’instar de ce qui se passait en tennis. L’Académie Royale qui est en train de se réaliser à Rabat, accessible aux jeunes de 7–8 ans, va pouvoir nous donner dans six ans au moins un joueur qui marquera le Challenge tour de sa présence.
Concernant les résultats des Marocains, nos deux meilleurs joueurs sont fatigués. Ils ont eu énormément de pression et de kilomètres dans les jambes. Après avoir passé le cut, on s’attendait à ce qu’ils allaient faire sensation. C’est le contraire qui s’est produit.
Cela est dû essentiellement à un manque de préparation mentale.
Nous allons travailler dans ce sens. Nous sommes sur la bonne voie».
