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«Je ne veux pas faire de rai. C'est de la musique marocaine que je cherche à relater à travers mes chansons» Hanino est décidé. Pour lui, le rai est entre de bonne mains et il le reconnaît «je n'arriverais jamais à rivaliser Mami, Khaled ou Faudel».
Et s'il est conscient et décidé, c'est qu'il connaît bien ce domaine. Mami, c'est lui qui l'a encadré et l'a aidé à percer «Mami m'a beaucoup aidé et j'y suis reconnaissant». Les soirées qu'il a animées à Marrakech à l'occasion de la fête de la musique et celle de Casablanca samedi dernier auprès de Cheb Mami ont été un succès.
Né au Maroc en 1976, Mohamed a quitté sa ville natale Oujda en 1989. En France, ce fut le vrai point de départ. Car, pour lui, il est né pour être artiste. Sa famille en compte d'autres et «c'est ce qui m'a encouragé» explique ce dernier.
«Il est vrai qu'au début ça n'a guère été facile, il a fallu que je prouve mes talents. D'ailleurs, mes chansons c'est moi qui les écris et il est clair qu'elles relatent un état d'âme».
Ses chansons parlent de l'amour, la paix, la tolérance ; il veut étendre sa musique pour travailler la vraie musique marocaine «les gens à l'étranger aiment le rythme marocain mais ne le comprenne pas, ils le trouvent compliqué».
Et lui, il veut rapprocher ce style du monde entier. «D'ailleurs, rappelle-t-il, le rai n'est pas une musique du Maroc. Et donc, il est grand temps de promouvoir notre propre musique».
«Nous avons la chance d'avoir une culture à plusieurs facettes, les genres musicaux sont très diversifiés». Et c'est pour cette raison que Hanino veut percer dans la musique, en l'occurrence la musique populaire qu'il cherche à moderniser.
Sa tête regorge de projets ambitieux qu'il met au service de ses compatriotes et de son pays. «Je veux aider les jeunes et prêter main forte à toute personne dans le besoin». Car Hanino avait besoin qu'on lui tende la perche et aujourd'hui, avec des débuts brillants et un projet de carrière qui est sur la bonne voie, il est prêt du but et il se sent prêt à tendre la perche à son tour aux jeunes qui ont envie de suivre son chemin.
Et s'il n'a pas fait des études poussées. «Je suis arrivée au lycée et j'ai interrompu mes études, la musique était plus forte et les a emportées». Sans regret, il le reconnaît depuis tout petit, il chantait, il était attiré par la musique et le fait d'être issu d'une famille d'artistes l'a encouragé. Il a su pallier à cet échec à travers une carrière artistique qui s'annonce brillante et avec beaucoup de succès.
Hanino lance son prochain album «Wash Eddak, Wash Eddak» et qui est le cinquième sur la discographie de ce jeune artiste qui s'est fixé un objectif. Il y a cru et fait tout pour le réussir.
Et s'il est conscient et décidé, c'est qu'il connaît bien ce domaine. Mami, c'est lui qui l'a encadré et l'a aidé à percer «Mami m'a beaucoup aidé et j'y suis reconnaissant». Les soirées qu'il a animées à Marrakech à l'occasion de la fête de la musique et celle de Casablanca samedi dernier auprès de Cheb Mami ont été un succès.
Né au Maroc en 1976, Mohamed a quitté sa ville natale Oujda en 1989. En France, ce fut le vrai point de départ. Car, pour lui, il est né pour être artiste. Sa famille en compte d'autres et «c'est ce qui m'a encouragé» explique ce dernier.
«Il est vrai qu'au début ça n'a guère été facile, il a fallu que je prouve mes talents. D'ailleurs, mes chansons c'est moi qui les écris et il est clair qu'elles relatent un état d'âme».
Ses chansons parlent de l'amour, la paix, la tolérance ; il veut étendre sa musique pour travailler la vraie musique marocaine «les gens à l'étranger aiment le rythme marocain mais ne le comprenne pas, ils le trouvent compliqué».
Et lui, il veut rapprocher ce style du monde entier. «D'ailleurs, rappelle-t-il, le rai n'est pas une musique du Maroc. Et donc, il est grand temps de promouvoir notre propre musique».
«Nous avons la chance d'avoir une culture à plusieurs facettes, les genres musicaux sont très diversifiés». Et c'est pour cette raison que Hanino veut percer dans la musique, en l'occurrence la musique populaire qu'il cherche à moderniser.
Sa tête regorge de projets ambitieux qu'il met au service de ses compatriotes et de son pays. «Je veux aider les jeunes et prêter main forte à toute personne dans le besoin». Car Hanino avait besoin qu'on lui tende la perche et aujourd'hui, avec des débuts brillants et un projet de carrière qui est sur la bonne voie, il est prêt du but et il se sent prêt à tendre la perche à son tour aux jeunes qui ont envie de suivre son chemin.
Et s'il n'a pas fait des études poussées. «Je suis arrivée au lycée et j'ai interrompu mes études, la musique était plus forte et les a emportées». Sans regret, il le reconnaît depuis tout petit, il chantait, il était attiré par la musique et le fait d'être issu d'une famille d'artistes l'a encouragé. Il a su pallier à cet échec à travers une carrière artistique qui s'annonce brillante et avec beaucoup de succès.
Hanino lance son prochain album «Wash Eddak, Wash Eddak» et qui est le cinquième sur la discographie de ce jeune artiste qui s'est fixé un objectif. Il y a cru et fait tout pour le réussir.
