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«L'Algérie renoue avec ses traditions et s'engage à organiser un maximum de manifestations sportives dans le cadre de la redynamisation du sport national qui a connu, à l'instar de tous les secteurs de la vie nationale, de très grandes difficultés durant la période noire qu'a vécue notre pays», a déclaré à l'AFP le directeur du Comité d'organisation des jeux sportifs arabes (COJSA), Djaafar Yefsah.
«Maintenant, l'Algérie retrouve sa stabilité, son calme et sa sécurité», souligne M. Yefsah, dans une allusion à l'amélioration de la situation sécuritaire dans le pays, où plus de 100.000 personnes ont été tuées en une dizaine d'années dans des violences impliquant des islamistes armés.
L'Algérie «est prête à organiser plusieurs manifestations», dont les prochains Jeux africains de 2007 qui lui ont été confiés, assure-t-il.
Les 22 pays de la Ligue arabe ont confirmé leur participation aux Jeux arabes, qui devaient initialement se dérouler en septembre 2003 mais avaient été reportés à la suite d'un tremblement de terre ayant fait 2.300 morts dans la région d'Alger au mois de mai précédent. Plus de 5.000 sportifs et accompagnateurs techniques, toutes disciplines confondues, sont attendus pour se mesurer dans 30 disciplines sportives, 24 olympiques, 3 non olympiques et 3 paralympiques. Alger accueillera 80% des épreuves, les villes d'Annaba (est), d'Oran (ouest) et de Blida, voisine d'Alger, se partageant le reste.
«L'Algérie a mis le paquet pour accueillir les Jeux dans les meilleures conditions», déclare M. Yefsah, affirmant que le dispositif de sécurité mis en place sera «tout à fait normal», similaire à celui instauré pour tout type de manifestation de ce genre, «que ce soit en Algérie ou ailleurs».
Selon le directeur du Comité d'organisation, tout est prêt pour assurer un bon déroulement des Jeux, organisés cinq ans après ceux d'Amman et plus d'un demi siècle après la première édition d'Alexandrie (Egypte), en 1953.
«Il n'y a aucun problème en ce qui concerne l'infrastructure, qui est suffisante pour ce type d'évènements» et a bénéficié d'un programme spécial de construction et de rénovation des centres sportifs, dont ceux touchés par le séisme, explique-t-il.
«une Algérie debout» «L'Algérie, en tant que membre actif du monde arabe saisit cette opportunité pour offrir aux jeunes des pays arabes la possibilité de découvrir une Algérie de haut niveau, une Algérie debout qui reprend sa place au niveau de la scène mondiale, sur tous les plans», ajoute M. Yefsah.
Selon lui, les Jeux arabes constitueront «une étape d'un nouveau processus à long terme d'un programme de relance du sport national». Celui-ci a connu coup sur coup de sérieuses déconvenues, les athlètes algériens n'ayant obtenu aucune médaille aux récents jeux Olympiques d'Athènes, alors que l'équipe nationale de football s'est montrée jusque-là particulièrement décevante dans les éliminatoires du Mondial-2006.
Sans vouloir accabler les sportifs algériens, le ministre de la Jeunesse et des sports, Abdelaziz Ziari, a indiqué que l'évaluation de l'état du sport algérien se ferait après les Jeux arabes, «objectivement et sereinement».«La réussite de ces Jeux est primordiale pour l'Algérie», a-t-il assuré.
«Maintenant, l'Algérie retrouve sa stabilité, son calme et sa sécurité», souligne M. Yefsah, dans une allusion à l'amélioration de la situation sécuritaire dans le pays, où plus de 100.000 personnes ont été tuées en une dizaine d'années dans des violences impliquant des islamistes armés.
L'Algérie «est prête à organiser plusieurs manifestations», dont les prochains Jeux africains de 2007 qui lui ont été confiés, assure-t-il.
Les 22 pays de la Ligue arabe ont confirmé leur participation aux Jeux arabes, qui devaient initialement se dérouler en septembre 2003 mais avaient été reportés à la suite d'un tremblement de terre ayant fait 2.300 morts dans la région d'Alger au mois de mai précédent. Plus de 5.000 sportifs et accompagnateurs techniques, toutes disciplines confondues, sont attendus pour se mesurer dans 30 disciplines sportives, 24 olympiques, 3 non olympiques et 3 paralympiques. Alger accueillera 80% des épreuves, les villes d'Annaba (est), d'Oran (ouest) et de Blida, voisine d'Alger, se partageant le reste.
«L'Algérie a mis le paquet pour accueillir les Jeux dans les meilleures conditions», déclare M. Yefsah, affirmant que le dispositif de sécurité mis en place sera «tout à fait normal», similaire à celui instauré pour tout type de manifestation de ce genre, «que ce soit en Algérie ou ailleurs».
Selon le directeur du Comité d'organisation, tout est prêt pour assurer un bon déroulement des Jeux, organisés cinq ans après ceux d'Amman et plus d'un demi siècle après la première édition d'Alexandrie (Egypte), en 1953.
«Il n'y a aucun problème en ce qui concerne l'infrastructure, qui est suffisante pour ce type d'évènements» et a bénéficié d'un programme spécial de construction et de rénovation des centres sportifs, dont ceux touchés par le séisme, explique-t-il.
«une Algérie debout» «L'Algérie, en tant que membre actif du monde arabe saisit cette opportunité pour offrir aux jeunes des pays arabes la possibilité de découvrir une Algérie de haut niveau, une Algérie debout qui reprend sa place au niveau de la scène mondiale, sur tous les plans», ajoute M. Yefsah.
Selon lui, les Jeux arabes constitueront «une étape d'un nouveau processus à long terme d'un programme de relance du sport national». Celui-ci a connu coup sur coup de sérieuses déconvenues, les athlètes algériens n'ayant obtenu aucune médaille aux récents jeux Olympiques d'Athènes, alors que l'équipe nationale de football s'est montrée jusque-là particulièrement décevante dans les éliminatoires du Mondial-2006.
Sans vouloir accabler les sportifs algériens, le ministre de la Jeunesse et des sports, Abdelaziz Ziari, a indiqué que l'évaluation de l'état du sport algérien se ferait après les Jeux arabes, «objectivement et sereinement».«La réussite de ces Jeux est primordiale pour l'Algérie», a-t-il assuré.
