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Nombreux sont les Marocains résidant à l'étranger qui veulent investir dans l'agglomération de Rabat et sa périphérie, mais ils ont besoin d'orientation. C'est pour cette raison que l'Agence urbaine de Rabat-Salé a organisé une journée portes ouvertes en leur faveur.
Plusieurs MRE, femmes et hommes, jeunes et moins jeunes, ont sollicité l'aide des responsables de cette agence. L'envie et la motivation d'investir dans la région existent, cependant, l'appréhension reste toujours de mise à cause du peu d'information dont ils disposent.
Mercredi, bon nombre d'entre eux ont pu éclairer leur vision d'avenir et trouver des réponses à leurs préoccupations. Opportunités d'investissements, procédures administratives, explication sur des dossiers déjà déposés…représentent les principales demandes. Selon les responsables de l'Agence urbaine, « les MRE ne souffrent pas de problèmes particuliers. Ils contactent l'agence urbaine pour être orientés. Chacun a ses propres soucis ». Ainsi, à titre d'exemple, une femme marocaine résidant en Italie, possédant un lot de terrain dans la ceinture verte, veut s'informer sur le projet qui conviendrait le mieux dans cette région.
Quant à un autre MRE qui a l'intention d'investir dans l'hôtellerie, il désire être informé sur les opportunités qu'offre le plan d'aménagement à Shoul.
D'autres personnes ont déposé des plaintes et des requêtes.
Il est à noter que les opportunités d'investissement ne manquent pas dans l'agglomération de Rabat et sa périphérie.
Un projet existe et prévoit de nouveaux pôles touristiques et parcs industriels. Il est justement prévu de créer trois pôles touristiques : les pôles de Sidi Bouknadel, de Skhirat d'une superficie de 350 hectares chacun et l'aménagement de la Corniche de Rabat qui s'inscrit dans la continuité du programme d'aménagement des Berges du Bouregreg.
L'on veut également développer l'industrie en redynamisant des zones industrielles existantes et en les remettant à niveau, ainsi qu'en créant de nouveaux parcs industriels dans les préfectures de Salé et de Témara à proximité des établissements humains, source de main-d'œuvre, et en connexion directes avec les infrastructures routières et autoroutières nécessaires au bon fonctionnement de ces unités.
Plusieurs MRE, femmes et hommes, jeunes et moins jeunes, ont sollicité l'aide des responsables de cette agence. L'envie et la motivation d'investir dans la région existent, cependant, l'appréhension reste toujours de mise à cause du peu d'information dont ils disposent.
Mercredi, bon nombre d'entre eux ont pu éclairer leur vision d'avenir et trouver des réponses à leurs préoccupations. Opportunités d'investissements, procédures administratives, explication sur des dossiers déjà déposés…représentent les principales demandes. Selon les responsables de l'Agence urbaine, « les MRE ne souffrent pas de problèmes particuliers. Ils contactent l'agence urbaine pour être orientés. Chacun a ses propres soucis ». Ainsi, à titre d'exemple, une femme marocaine résidant en Italie, possédant un lot de terrain dans la ceinture verte, veut s'informer sur le projet qui conviendrait le mieux dans cette région.
Quant à un autre MRE qui a l'intention d'investir dans l'hôtellerie, il désire être informé sur les opportunités qu'offre le plan d'aménagement à Shoul.
D'autres personnes ont déposé des plaintes et des requêtes.
Il est à noter que les opportunités d'investissement ne manquent pas dans l'agglomération de Rabat et sa périphérie.
Un projet existe et prévoit de nouveaux pôles touristiques et parcs industriels. Il est justement prévu de créer trois pôles touristiques : les pôles de Sidi Bouknadel, de Skhirat d'une superficie de 350 hectares chacun et l'aménagement de la Corniche de Rabat qui s'inscrit dans la continuité du programme d'aménagement des Berges du Bouregreg.
L'on veut également développer l'industrie en redynamisant des zones industrielles existantes et en les remettant à niveau, ainsi qu'en créant de nouveaux parcs industriels dans les préfectures de Salé et de Témara à proximité des établissements humains, source de main-d'œuvre, et en connexion directes avec les infrastructures routières et autoroutières nécessaires au bon fonctionnement de ces unités.
