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Intéressée très tôt par la peinture au travers des travaux du mouvement impressionniste, sensible au trait incisif de Lautrec et aux scènes intimistes de Manet, Degas, Morissot, Katie Gabet commence par fréquenter divers ateliers de Lyon avant d'élire domicile dans le VAR, où elle intègre l'Académie de peinture de plan de la Tour et décide alors de consacrer tout son temps à la peinture.
Ses voyages à l'étranger la conduisent à saisir par rapides croquis les scènes de la vie sur le motif et des séjours en Egypte, en Tunisie et au Maroc lui permettent de découvrir l'atmosphère de l'Afrique du Nord. Elle se passionne alors pour l'orientalisme, le rendu de la lumière, de la vie et du mouvement.
Dans cette exposition, Katie Gabet continue d'explorer les techniques de l'impressionnisme orientaliste en plein air. Les tonalités harmonieuses de sa palette sont dignes de comparaison avec les meilleures peintures de Sir John Lavey, selon le communiqué.
Elle a, notamment, réussi à peindre une Palmeraie de Taffraoute qui présente une affinité frappante avec l'un des sujets marocains les plus importants du maître "les murs de Marrakech", qui se trouve dans la collection du Musée de l'Ulster. Une autre œuvre, intitulée Essaouira, rappelle énormément sa ville Blanche.
Dans "Proche de Tiznit" et dans sa série de peinture intitulée "Médina de Marrakech", la manière dont l'artiste Gabet a traité les personnages en costumes traditionnels, sa palette atténuée et sa technique générale ont des similarités flagrantes avec "Tanger", le marché sur la plage peint en 1892 par Ferdinand Willaert et qui se trouve dans la collection du musée d'Orsay à Paris.
Quant à sa série de portraits d'autochtones, elle réinterprète le travail d'Edmond Vales 1918-1933, l'un des peintres français de sujets coloniaux marocains du milieu du vingtième siècle qui a eu le plus de succès.
Par la pureté de sa palette, la diversité de ses sujets et l'exécution sans faute de son travail, l'artiste Gabet a réussi avec brio sa carrière de peintre et obtenu de nombreux prix importants qui confirment qu'elle peut prétendre être l'une des artistes majeures de son école et un maître peintre dans le sens classique.
Il s'agit notamment du 1er prix Salon de peinture de Ste Maxime (1999), grand prix du Jury des troupes de Marines, Fréjus (2000) et grand prix Salon des artistes rapatriés, Antibes (2002).
Née en 1961 à Guelma en Algérie, Katie Gabet a fait des études de droit, gestion et histoire d'art à l'université de Lyon.
Ses voyages à l'étranger la conduisent à saisir par rapides croquis les scènes de la vie sur le motif et des séjours en Egypte, en Tunisie et au Maroc lui permettent de découvrir l'atmosphère de l'Afrique du Nord. Elle se passionne alors pour l'orientalisme, le rendu de la lumière, de la vie et du mouvement.
Dans cette exposition, Katie Gabet continue d'explorer les techniques de l'impressionnisme orientaliste en plein air. Les tonalités harmonieuses de sa palette sont dignes de comparaison avec les meilleures peintures de Sir John Lavey, selon le communiqué.
Elle a, notamment, réussi à peindre une Palmeraie de Taffraoute qui présente une affinité frappante avec l'un des sujets marocains les plus importants du maître "les murs de Marrakech", qui se trouve dans la collection du Musée de l'Ulster. Une autre œuvre, intitulée Essaouira, rappelle énormément sa ville Blanche.
Dans "Proche de Tiznit" et dans sa série de peinture intitulée "Médina de Marrakech", la manière dont l'artiste Gabet a traité les personnages en costumes traditionnels, sa palette atténuée et sa technique générale ont des similarités flagrantes avec "Tanger", le marché sur la plage peint en 1892 par Ferdinand Willaert et qui se trouve dans la collection du musée d'Orsay à Paris.
Quant à sa série de portraits d'autochtones, elle réinterprète le travail d'Edmond Vales 1918-1933, l'un des peintres français de sujets coloniaux marocains du milieu du vingtième siècle qui a eu le plus de succès.
Par la pureté de sa palette, la diversité de ses sujets et l'exécution sans faute de son travail, l'artiste Gabet a réussi avec brio sa carrière de peintre et obtenu de nombreux prix importants qui confirment qu'elle peut prétendre être l'une des artistes majeures de son école et un maître peintre dans le sens classique.
Il s'agit notamment du 1er prix Salon de peinture de Ste Maxime (1999), grand prix du Jury des troupes de Marines, Fréjus (2000) et grand prix Salon des artistes rapatriés, Antibes (2002).
Née en 1961 à Guelma en Algérie, Katie Gabet a fait des études de droit, gestion et histoire d'art à l'université de Lyon.
