«Une petite équipe de l'OTAN va se rendre en Irak la semaine prochaine pour recueillir des informations», alors que l'Alliance réfléchit aux modalités de l'aide qu'elle va apporter à ce pays, a expliqué ce responsable.
Il a refusé de confirmer si la mission serait ou non menée par le commandant suprême des forces alliées en Europe, le général américain James Jones, comme l'indique le quotidien Financial Times dans son édition de samedi.
Il a toutefois précisé que l'équipe - moins d'une dizaine de personnes - serait composée à partir du commandement régional de l'Otan de Naples, et non à partir du quartier général de Mons en Belgique, où est basé le général Jones.
Les dirigeants de l'Otan ont donné leur feu vert formel lundi lors d'un sommet à Istanbul pour une assistance de l'Alliance à la formation des forces de sécurité irakiennes.
Les responsables de l'Otan à Bruxelles doivent maintenir définir les modalités de cette assistance, alors que les divergences subsistent entre Washington et Paris sur le rôle exact que doit jouer l'Alliance sur le terrain.
Il a refusé de confirmer si la mission serait ou non menée par le commandant suprême des forces alliées en Europe, le général américain James Jones, comme l'indique le quotidien Financial Times dans son édition de samedi.
Il a toutefois précisé que l'équipe - moins d'une dizaine de personnes - serait composée à partir du commandement régional de l'Otan de Naples, et non à partir du quartier général de Mons en Belgique, où est basé le général Jones.
Les dirigeants de l'Otan ont donné leur feu vert formel lundi lors d'un sommet à Istanbul pour une assistance de l'Alliance à la formation des forces de sécurité irakiennes.
Les responsables de l'Otan à Bruxelles doivent maintenir définir les modalités de cette assistance, alors que les divergences subsistent entre Washington et Paris sur le rôle exact que doit jouer l'Alliance sur le terrain.
