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On connaissait, Ahmed Senoussi le diplomate et l’homme politique. Ce mardi, à Rabat, on a découvert l’autre visage de cet homme, celui de l’artiste. En effet Ahmed Senoussi, ouvrira dans quelques jours son exposition à la galerie Bab Rouah. En militant associatif engagé, il compte verser l’argent collecté dans la caisse de l’association Ismaïlia des handicapés physiques.
La démarche de M. Ahmed Senoussi procède d’un engagement associatif. Ce diplomate qui a passé des années à plaider la cause du Maroc auprès des Nations-Unis, plaide aujourd’hui la cause de cette association pour handicapés. Il estime que la ville de Meknès n’a pas la chance d’avoir un centre qui se chargera des personnes invalides et qu’il est grand temps d’en avoir un.
En diplomate chevronné, Ahmed Senoussi n’a rien perdu de ses facilités de communication. Il a parlé, non sans humour, de ses débuts dans le domaine de l’art. Mais aussi de son association. Il a saisi l’occasion de la présence des journalistes pour présenter les actions entreprises par l’association Grande Ismaïlia.
Il a ainsi souligné que cette Association était parmi les premières à avoir mis en place un programme de micro-crédits pour les femmes. « Pendant mon séjour diplomatique à New York en tant que ambassadeur du Maroc auprès des actions Unies, j’ai rencontré la présidente de Bangladesh qui m’a parlé du système du micro crédit qu’elle institué dans son pays pour aider les femmes indigentes à se prendre en main. Je me suis dit que si ca marche ailleurs, pourquoi cela ne marcherait pas au chez nous. Nous avons mené une action modèle en sens à Meknés. Cette action a profité au départ à 26 femmes. Cinq ans après, ce sont plus de 21 000 femmes qui ont bénéficié de ce programme. » explique Ahmed Senoussi.
Autre projet mené à bien par l’association Grande Ismaïlia et dont il est fier. Le foyer de l’étudiant, ( Dar Attalib) qui a été construit grâce à l’appui de la Fondation Mohammed V pour la solidarité. « Ce projet social a été inauguré, il y a à peine deux mois. Il abrite quelque 400 pensionnaires. Son coût de réalisation s’est élevé à 20 millions de DH »
Autre domaine d’intervention de l’association, selon Ahmed Senoussi, l’appui aux autres associations locales de la ville de Meknès. « C’est dans ce cadre que s’inscrit l’exposition qui sera organisée à Bab Rouah. J’entends ainsi aider l’association des handicapées de Meknès achever la construction d’un centre pour la rééducation et l’insertion sociale des handicapées. ».
Pour Mme Touria Bendahmane, présidente de l’Association Ismaïlia des handicapés physiques, ce centre est très important dans la mesure où il est le seul du genre, non seulement dans la ville de Meknès mais au niveau de la région de Meknès-Tafilalet.
« L’enveloppe budgétaire initiale réservée à ce projet est de l’ordre de 2 millions de DH. Mais après le démarrage des travaux, il s’est avéré que le terrain a une vocation agricole . Nous avons creusé plus de deux mètres avant de trouver des rochers et jeter les fondations. On s’est dit qu’il serait préférable de construire une cave. Le coût doit être donc revu à la hausse. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de fonds pour achever les travaux. Nous avons trouvé de l’aide auprès de l’Agence de développement social, auprès du gouverneur de la région et auprès de M. A.Senoussi. je tiens à le remercier à cette occasion » conclut Mme Bendahmane.
La démarche de M. Ahmed Senoussi procède d’un engagement associatif. Ce diplomate qui a passé des années à plaider la cause du Maroc auprès des Nations-Unis, plaide aujourd’hui la cause de cette association pour handicapés. Il estime que la ville de Meknès n’a pas la chance d’avoir un centre qui se chargera des personnes invalides et qu’il est grand temps d’en avoir un.
En diplomate chevronné, Ahmed Senoussi n’a rien perdu de ses facilités de communication. Il a parlé, non sans humour, de ses débuts dans le domaine de l’art. Mais aussi de son association. Il a saisi l’occasion de la présence des journalistes pour présenter les actions entreprises par l’association Grande Ismaïlia.
Il a ainsi souligné que cette Association était parmi les premières à avoir mis en place un programme de micro-crédits pour les femmes. « Pendant mon séjour diplomatique à New York en tant que ambassadeur du Maroc auprès des actions Unies, j’ai rencontré la présidente de Bangladesh qui m’a parlé du système du micro crédit qu’elle institué dans son pays pour aider les femmes indigentes à se prendre en main. Je me suis dit que si ca marche ailleurs, pourquoi cela ne marcherait pas au chez nous. Nous avons mené une action modèle en sens à Meknés. Cette action a profité au départ à 26 femmes. Cinq ans après, ce sont plus de 21 000 femmes qui ont bénéficié de ce programme. » explique Ahmed Senoussi.
Autre projet mené à bien par l’association Grande Ismaïlia et dont il est fier. Le foyer de l’étudiant, ( Dar Attalib) qui a été construit grâce à l’appui de la Fondation Mohammed V pour la solidarité. « Ce projet social a été inauguré, il y a à peine deux mois. Il abrite quelque 400 pensionnaires. Son coût de réalisation s’est élevé à 20 millions de DH »
Autre domaine d’intervention de l’association, selon Ahmed Senoussi, l’appui aux autres associations locales de la ville de Meknès. « C’est dans ce cadre que s’inscrit l’exposition qui sera organisée à Bab Rouah. J’entends ainsi aider l’association des handicapées de Meknès achever la construction d’un centre pour la rééducation et l’insertion sociale des handicapées. ».
Pour Mme Touria Bendahmane, présidente de l’Association Ismaïlia des handicapés physiques, ce centre est très important dans la mesure où il est le seul du genre, non seulement dans la ville de Meknès mais au niveau de la région de Meknès-Tafilalet.
« L’enveloppe budgétaire initiale réservée à ce projet est de l’ordre de 2 millions de DH. Mais après le démarrage des travaux, il s’est avéré que le terrain a une vocation agricole . Nous avons creusé plus de deux mètres avant de trouver des rochers et jeter les fondations. On s’est dit qu’il serait préférable de construire une cave. Le coût doit être donc revu à la hausse. C’est la raison pour laquelle nous avons besoin de fonds pour achever les travaux. Nous avons trouvé de l’aide auprès de l’Agence de développement social, auprès du gouverneur de la région et auprès de M. A.Senoussi. je tiens à le remercier à cette occasion » conclut Mme Bendahmane.
