A Casablanca, on dénombre un lit d'hôpital pour 636 citoyens, alors que la moyenne à l'échelle nationale n'est que d'un lit pour 903 citoyens. Ce constat ne peut être que rassurant. Il annonce un secteur de la santé bien portant, même si certaines lacunes persistent encore. C'est en tout cas la situation du secteur comme elle a été retracée par les conférenciers.
La conférence, organisée par l'Association marocaine pour l'environnement et la santé, a été animée entre autres par le Dr. Omar Mnezhi, représentant du ministre de la Santé dans la délégation du Grand Casablanca.
Ce dernier a présenté un exposé, appuyé par des statistiques, sur le nombre des hôpitaux, des lits, des soins prodigués en consultation dans les dispensaires.
L'exposé a également dévoilé les problèmes posés dans le secteur de la santé, surtout en ce qui concerne le manque de personnel. Une chose reste cependant sûre : à Casablanca, un progrès a été réalisé à tous les niveaux, sauf un état d'échec manifesté par la mortalité maternelle qui est restée élevée.
En termes statistiques, la métropole compte près de 4 millions d'habitants, sur une surface étroite de 1115 km2.
La concentration des habitants varie de 1050 à 5800 par mètre carré. Casablanca ne compte cependant qu'une seule délégation régionale de la santé.
Dans le secteur public, un déséquilibre entre les préfectures est enregistré sur le plan de la santé. Ainsi, la préfecture de Médiouna ne compte qu'un médecin pour 5148 citoyens, la préfecture de Nwaser en compte un pour 3784 citoyens. Mohammedia compte 1 médecin pour 1771 habitants et Casa-Anfa, qui reste la préfecture la mieux lotie, compte un médecin pour 812 citoyens.
Dans le secteur privé, à Derb Soltan-Al Fida, il existe un cabinet pour 2830 citoyens, à El Bernoussi : 1 cabinet pour 3330 citoyens, et à Anfa : 1 cabinet pour 478 citoyens.
Toutefois, à Casablanca, le nombre des médecins est plus élevé que dans les autres villes et cela à l'échelle nationale. Ainsi, à Casablanca, on dénombre un médecin pour 1094 citoyens, alors qu'à l'échelle nationale, la moyenne est d'un médecin pour 1845 citoyens.
Le professeur Moutawakil, chef de service de la réanimation médicale, a abordé le sujet des urgences à Casablanca, secteur dont les problèmes seront résolus, en partie, par le SAMU qui verra le jour très prochainement, ainsi que par l'instauration d'un certificat d'urgentiste.
Dans le domaine de la biologie médicale, le Dr. Touimi Benjelloun a démontré que les analyses peuvent être effectuées au niveau de la métropole à hauteur de 96 %.
Plus de 150 personnes ont assisté à cette conférence entre médecins, journalistes et grand public.
La conférence, organisée par l'Association marocaine pour l'environnement et la santé, a été animée entre autres par le Dr. Omar Mnezhi, représentant du ministre de la Santé dans la délégation du Grand Casablanca.
Ce dernier a présenté un exposé, appuyé par des statistiques, sur le nombre des hôpitaux, des lits, des soins prodigués en consultation dans les dispensaires.
L'exposé a également dévoilé les problèmes posés dans le secteur de la santé, surtout en ce qui concerne le manque de personnel. Une chose reste cependant sûre : à Casablanca, un progrès a été réalisé à tous les niveaux, sauf un état d'échec manifesté par la mortalité maternelle qui est restée élevée.
En termes statistiques, la métropole compte près de 4 millions d'habitants, sur une surface étroite de 1115 km2.
La concentration des habitants varie de 1050 à 5800 par mètre carré. Casablanca ne compte cependant qu'une seule délégation régionale de la santé.
Dans le secteur public, un déséquilibre entre les préfectures est enregistré sur le plan de la santé. Ainsi, la préfecture de Médiouna ne compte qu'un médecin pour 5148 citoyens, la préfecture de Nwaser en compte un pour 3784 citoyens. Mohammedia compte 1 médecin pour 1771 habitants et Casa-Anfa, qui reste la préfecture la mieux lotie, compte un médecin pour 812 citoyens.
Dans le secteur privé, à Derb Soltan-Al Fida, il existe un cabinet pour 2830 citoyens, à El Bernoussi : 1 cabinet pour 3330 citoyens, et à Anfa : 1 cabinet pour 478 citoyens.
Toutefois, à Casablanca, le nombre des médecins est plus élevé que dans les autres villes et cela à l'échelle nationale. Ainsi, à Casablanca, on dénombre un médecin pour 1094 citoyens, alors qu'à l'échelle nationale, la moyenne est d'un médecin pour 1845 citoyens.
Le professeur Moutawakil, chef de service de la réanimation médicale, a abordé le sujet des urgences à Casablanca, secteur dont les problèmes seront résolus, en partie, par le SAMU qui verra le jour très prochainement, ainsi que par l'instauration d'un certificat d'urgentiste.
Dans le domaine de la biologie médicale, le Dr. Touimi Benjelloun a démontré que les analyses peuvent être effectuées au niveau de la métropole à hauteur de 96 %.
Plus de 150 personnes ont assisté à cette conférence entre médecins, journalistes et grand public.
