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La pièce, un texte collectif de la troupe «Talaië» d'Agadir sur une mise en scène du jeune Salaheddine Boudour, traite de plusieurs thèmes d'actualité, notamment l'immigration clandestine, les diplômés chômeurs et les comédiens tiraillés entre le théâtre et la Halqa.
Dans une déclaration à la MAP, le metteur en scène a fait savoir que la troupe, récemment créée, est influencée par le style du dramaturge Meskini Seghir, soulignant que les jeunes comédiens n'ont eu droit qu'à deux répétitions de la pièce avant la représentation devant le public. «C'est dire le manque de moyens dont souffrent les troupes théâtrales universitaires», a-t-il dit.
Il a, en outre, fait remarquer que seuls la volonté et l'amour du théâtre font que les jeunes comédiens persistent dans ce domaine.
Le metteur en scène a, de même, souligné l'importance de ce festival, puisque, elle a permis, selon lui, à plusieurs jeunes talents de se frayer un chemin dans le monde du théâtre professionnel, de la télévision et du cinéma. En témoigne, l'expérience de ce jeune metteur en scène, qui en est à sa 12-ème participation, et qui a été sollicité par des réalisateurs confirmés tels Farida Belyazid.
La 16-ème édition du FITUC (1-12 septembre), placée sous le signe «rapprochement de la jeunesse du monde à travers la création et le dialogue des civilisations», connaît la participation de plusieurs troupes théâtrales internationales d'Espagne, de Lituanie, de Roumanie, d'Algérie, d'Italie, du Portugal, de Hongrie et de Suède. Le Maroc est fortement représenté par des troupes universitaires de Casablanca, Tanger, Marrakech, Agadir, Rabat et Salé.
Cette édition, qui rend hommage cette année à l'écrivain et dramaturge Abdelkrim Berrchid, est également marquée par l'organisation d'ateliers et d'un colloque sur le thème «le rôle de la culture dans le rapprochement des peuples et le dialogue des civilisations».
Une rencontre sur «la culture au service du tourisme, animée par un parterre de participants nationaux et étrangers du monde de l'économie, de l'art et du théâtre, figure également au menu de cette manifestation.
Le jury se compose, cette année, de Mohamed Kawti (président), Monir Chahir, Noureddine Bounit et Abderrahim El Khayat.
Dans une déclaration à la MAP, le metteur en scène a fait savoir que la troupe, récemment créée, est influencée par le style du dramaturge Meskini Seghir, soulignant que les jeunes comédiens n'ont eu droit qu'à deux répétitions de la pièce avant la représentation devant le public. «C'est dire le manque de moyens dont souffrent les troupes théâtrales universitaires», a-t-il dit.
Il a, en outre, fait remarquer que seuls la volonté et l'amour du théâtre font que les jeunes comédiens persistent dans ce domaine.
Le metteur en scène a, de même, souligné l'importance de ce festival, puisque, elle a permis, selon lui, à plusieurs jeunes talents de se frayer un chemin dans le monde du théâtre professionnel, de la télévision et du cinéma. En témoigne, l'expérience de ce jeune metteur en scène, qui en est à sa 12-ème participation, et qui a été sollicité par des réalisateurs confirmés tels Farida Belyazid.
La 16-ème édition du FITUC (1-12 septembre), placée sous le signe «rapprochement de la jeunesse du monde à travers la création et le dialogue des civilisations», connaît la participation de plusieurs troupes théâtrales internationales d'Espagne, de Lituanie, de Roumanie, d'Algérie, d'Italie, du Portugal, de Hongrie et de Suède. Le Maroc est fortement représenté par des troupes universitaires de Casablanca, Tanger, Marrakech, Agadir, Rabat et Salé.
Cette édition, qui rend hommage cette année à l'écrivain et dramaturge Abdelkrim Berrchid, est également marquée par l'organisation d'ateliers et d'un colloque sur le thème «le rôle de la culture dans le rapprochement des peuples et le dialogue des civilisations».
Une rencontre sur «la culture au service du tourisme, animée par un parterre de participants nationaux et étrangers du monde de l'économie, de l'art et du théâtre, figure également au menu de cette manifestation.
Le jury se compose, cette année, de Mohamed Kawti (président), Monir Chahir, Noureddine Bounit et Abderrahim El Khayat.
