Shevchenko a été récompensé pour son étonnante régularité au plus haut niveau. Auteur de soixante buts en 118 matchs de championnat avec Kiev, il a depuis inscrit 102 buts en Italie (136 toutes compétitions confondues).
Shevchenko a su recueillir la majorité des suffrages exprimés par les 52 votants du continent européen grâce aussi à ses performances avec son équipe nationale. Sacré champion d'Italie pour la première fois en 2004 et meilleur buteur pour la seconde fois (avec 24 réalisations comme en 2000), «Sheva », de son surnom, a longtemps été desservi par sa sélection. Reconnaissant, humble et pudique, Shevchenko n'oublie pas que l'Italie lui a donné gloire et richesse et que c'est des caisses de Silvio que sortent ses 4,5 millions d'euros de salaire annuel (hors contrats publicitaires) mais l'argent ne l'a pas dénaturé.
C'est la puissance du Milan AC qui a donné une accélération à sa vie et à sa carrière, qui l'a élevé au rang de star du football européen. C'est à Milan que la métamorphose a eu lieu. Andreï est devenu Sheva à coups de dizaines de buts. Derrière Shevchenko, le dauphin se nomme Deco. Le Portugais faisait partie des favoris grâce à l'exceptionnelle année qu'il a réalisée.
Vainqueur de la Ligue des champions avec le FC Porto face à l'AS Monaco (3-0), du Championnat portugais, finaliste malheureux de l'Euro 2004 face à la Grèce (0-1), Deco avait le palmarès d'un Ballon d'Or en puissance. Malheureusement pour le néo-Barcelonais, le jury lui a préféré le talent pur de Shevchenko, ce qui peut se discuter. Troisième de la prestigieuse liste, on retrouve un autre Barcelonais, Ronaldinho. Le magicien brésilien a illuminé le football mondial cette année. Ses coups de génie et ses buts très spectaculaires ont fait le tour du monde. Une chose est certaine, le Ballon d'Or devrait tôt ou tard orner sa cheminée.
Shevchenko a su recueillir la majorité des suffrages exprimés par les 52 votants du continent européen grâce aussi à ses performances avec son équipe nationale. Sacré champion d'Italie pour la première fois en 2004 et meilleur buteur pour la seconde fois (avec 24 réalisations comme en 2000), «Sheva », de son surnom, a longtemps été desservi par sa sélection. Reconnaissant, humble et pudique, Shevchenko n'oublie pas que l'Italie lui a donné gloire et richesse et que c'est des caisses de Silvio que sortent ses 4,5 millions d'euros de salaire annuel (hors contrats publicitaires) mais l'argent ne l'a pas dénaturé.
C'est la puissance du Milan AC qui a donné une accélération à sa vie et à sa carrière, qui l'a élevé au rang de star du football européen. C'est à Milan que la métamorphose a eu lieu. Andreï est devenu Sheva à coups de dizaines de buts. Derrière Shevchenko, le dauphin se nomme Deco. Le Portugais faisait partie des favoris grâce à l'exceptionnelle année qu'il a réalisée.
Vainqueur de la Ligue des champions avec le FC Porto face à l'AS Monaco (3-0), du Championnat portugais, finaliste malheureux de l'Euro 2004 face à la Grèce (0-1), Deco avait le palmarès d'un Ballon d'Or en puissance. Malheureusement pour le néo-Barcelonais, le jury lui a préféré le talent pur de Shevchenko, ce qui peut se discuter. Troisième de la prestigieuse liste, on retrouve un autre Barcelonais, Ronaldinho. Le magicien brésilien a illuminé le football mondial cette année. Ses coups de génie et ses buts très spectaculaires ont fait le tour du monde. Une chose est certaine, le Ballon d'Or devrait tôt ou tard orner sa cheminée.
