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Aujourd'hui, la question est tranchée. Le profil du nouveau patron cadre parfaitement avec les objectifs et les ambitions du premier groupe privé. Diplômé de l'Ecole Centrale de Paris, d'HEC Paris et de Sciences-po Paris, Saâd Bendidi, 46 ans, marié et père de deux enfants a occupé tour à tour les fonctions de directeur du département Stratégie et planification de WAFABANK, directeur général de Moussahama, directeur délégué auprès du Président du Groupe BMCE en charge des participations et des investissements, Président, depuis 1999 du deuxième opérateur du téléphone mobile, Medi Telecom, avant de devenir en janvier 2001 vice-Président de Finance.com.
Il est également administrateur de plusieurs sociétés, dont BMCE Bank, Maghrébail, Sofac Crédit et Risma.
Saâd Bendidi était l'une des 14 sommités des finances et des affaires, le fameux " think-tank " chargés auprès de Feu Hassan II de superviser le processus de privatisation des entreprises de l'Etat et de la libéralisation de l'économie.
Après avoir mené une fusion en douceur des deux compagnies d'assurances du Groupe Finances.com, RMA et Al Watanya, Saâd Bendidi a été nommé à la présidence de la nouvelle entité RMA-Watanya.
Son arrivée à la tête d'ONA devrait marquer le déclenchement d'un nouveau processus de développement, notamment dans les secteurs financiers et industriels. Son expérience et sa maîtrise des rouages du marché devraient lui faciliter l'ancrage d'ONA dans un environnement d'ouverture et de diversité face à la concurrence des groupes multinationales. " L'ouverture du marché marocain, a-t-il déclaré a la veille de la fusion entre RMA et al Watanya, permet à des opérateurs internationaux beaucoup plus puissants de venir s'y installer.
Donc aujourd'hui rassembler les forces de deux entreprises pour donner une taille critique pourrait permettre d'affronter cette concurrence dans les meilleures conditions avec l'avantage d'insister sur la politique de proximité et sur une meilleure connaissance du client au Maroc. " Il usera certainement de son talent de rassembleur pour créer, autour d'ONA, l'ensemble des acteurs et renforcer la résistance de l'économie nationale. Bendidi est également un partisan d'une croissance sage, prudente et régulière. " Le seul moyen pour assurer la pérennité c'est de pouvoir assurer une croissance dans la rentabilité. Si c'est une " croissance à tout va " cela risque de dégrader les finances et peut même mettre en péril la santé de l'entreprise."
Quant à son prédécesseur, Bassim Jaï Hokimi, l'histoire du premier groupe privé du Royaume retiendra sa réussite dans l'une des missions clés de son mandat : la rotation capitalistique qui a permis un réaménagement du portefeuille de la holding.
Il est également administrateur de plusieurs sociétés, dont BMCE Bank, Maghrébail, Sofac Crédit et Risma.
Saâd Bendidi était l'une des 14 sommités des finances et des affaires, le fameux " think-tank " chargés auprès de Feu Hassan II de superviser le processus de privatisation des entreprises de l'Etat et de la libéralisation de l'économie.
Après avoir mené une fusion en douceur des deux compagnies d'assurances du Groupe Finances.com, RMA et Al Watanya, Saâd Bendidi a été nommé à la présidence de la nouvelle entité RMA-Watanya.
Son arrivée à la tête d'ONA devrait marquer le déclenchement d'un nouveau processus de développement, notamment dans les secteurs financiers et industriels. Son expérience et sa maîtrise des rouages du marché devraient lui faciliter l'ancrage d'ONA dans un environnement d'ouverture et de diversité face à la concurrence des groupes multinationales. " L'ouverture du marché marocain, a-t-il déclaré a la veille de la fusion entre RMA et al Watanya, permet à des opérateurs internationaux beaucoup plus puissants de venir s'y installer.
Donc aujourd'hui rassembler les forces de deux entreprises pour donner une taille critique pourrait permettre d'affronter cette concurrence dans les meilleures conditions avec l'avantage d'insister sur la politique de proximité et sur une meilleure connaissance du client au Maroc. " Il usera certainement de son talent de rassembleur pour créer, autour d'ONA, l'ensemble des acteurs et renforcer la résistance de l'économie nationale. Bendidi est également un partisan d'une croissance sage, prudente et régulière. " Le seul moyen pour assurer la pérennité c'est de pouvoir assurer une croissance dans la rentabilité. Si c'est une " croissance à tout va " cela risque de dégrader les finances et peut même mettre en péril la santé de l'entreprise."
Quant à son prédécesseur, Bassim Jaï Hokimi, l'histoire du premier groupe privé du Royaume retiendra sa réussite dans l'une des missions clés de son mandat : la rotation capitalistique qui a permis un réaménagement du portefeuille de la holding.
