«Ca y est, j'ai attrapé froid ! ». Penser de la sorte est faux. Le froid lui même ne provoque pas l'infection mais c'est une variété de virus (on compte une centaine de virus rien que pour le rhume) qui se multiplient et changent d'hôte avec une grande aisance en faveur du froid et de l'humidité ambiante. Le rhume et la rhino-pharyngite sont les maladies les plus fréquentes au cours de cette période de l'année. On peut attraper le virus des ces affections trois fois ou plus pendant l'année. Un trajet dans le bus, une conversation entre collègues sont certaines voies offertes aux virus pour passer d'une personne à une autre.
S'ils sont souvent bénins, leurs symptômes sont plutôt pénibles à supporter. Ils peuvent durer une semaine à dix jours et se compliquer sur un terrain fragilisé. En société, ce n'est pas toujours facile d'être à son avantage et même au bureau, le rendement s'en ressent…
En général, c'est le nez qui se manifeste en premier. Normal ! Sa situation d'appendice proéminent, ainsi que son statut de " porte d'entrée " font de cet organe, outre son rôle olfactif, un organe sensible et fragile, souvent exposé aux intempéries. C'est en effet, la porte ouverte aux différents virus et autres microbes qui foisonnent au cours de l'hiver . Lorsque le virus passe le seuil de cette entrée, toute la machine se détraque. Et c'est parti ! Un nez qui coule, qui gratte , qui chatouille, un nez bouché, et des éternuements, ce sont là autant de désagréments qui annoncent l'installation de l'affection. De claire au départ, l'écoulement nasal devient jaunâtre puis verdâtre mais, contrairement à une idée répandue, cela ne signifie pas qu'il y a une infection.
Cet écoulement nasal peut s'accompagner de toux, d'éternuements , de mal de tête, de fièvre modérée et respiration par la bouche car le nez est complètent fermé. C'est l'inconfort total !
L'inefficacité
des antibiotiques
Tout le monde sait aujourd'hui qu'aucun antibiotique n'est capable de supprimer ou d'écourter l'épisode de l'affection en un clin d'œil. Le seul soulagement réside dans les traitements symptomatiques qui consiste à faire baisser la fièvre, et à soulager la sensation de malaise général et les éventuels maux de tête ou de gorge par l'un des médicaments classiques de la fièvre et des douleurs (antalgique antipyrétique), c'est-à-dire le paracétamol, l'aspirine ou un l'anti-inflammatoire.
Les gouttes nasales, dont l'action est antiseptique visent simplement à assécher, décongestionner les muqueuses et améliorer la respiration sont également conseillées. Celles à base de souffre sont particulièrement efficaces, mais , il existe bien d'autres, il suffit de demander l'avis du pharmacien.
D'autres traitements par voie orale comme les anti-histaminiques sont recommandés car ils stoppent ou réduisent l'écoulement nasal et ont des effets sédatifs. Enfin, pour limiter les risques de surinfection, il faut se moucher.
C'est un geste simple qui permet d'éviter la stase des sécrétions qui encombrent le nez, à condition toutefois qu'ils soit correctement effectué. En effet, il faut se moucher une narine après l'autre, et jamais les deux en même temps. Les bébés qui ne peuvent avoir accès à ce geste, les parents devront utiliser l'eau de mer vendu en pharmacie et une pipette spécifique, ou alors, un simple compte goûtes, correctement manipulé , fera bien l'affaire.
Il faut surtout prendre son mal en patience et attendre que le rhume passe. Malheureusement, des complications peuvent cependant se produire. Une infection bactérienne peut, en effet, suivre un rhume. Les signes de cette infection subséquente au rhume comprennent une forte élévation de température, l'augmentation du volume des ganglions et une toux productive. Si la fièvre persiste toutefois il faut consulter un médecin.
Pour ne pas en arriver à ce stade, il est conseillé d'opter pour des cure de vitamine C de temps à autre. Cette dernière augmente les défenses et l'aide à lutter contre les affections.
S'ils sont souvent bénins, leurs symptômes sont plutôt pénibles à supporter. Ils peuvent durer une semaine à dix jours et se compliquer sur un terrain fragilisé. En société, ce n'est pas toujours facile d'être à son avantage et même au bureau, le rendement s'en ressent…
En général, c'est le nez qui se manifeste en premier. Normal ! Sa situation d'appendice proéminent, ainsi que son statut de " porte d'entrée " font de cet organe, outre son rôle olfactif, un organe sensible et fragile, souvent exposé aux intempéries. C'est en effet, la porte ouverte aux différents virus et autres microbes qui foisonnent au cours de l'hiver . Lorsque le virus passe le seuil de cette entrée, toute la machine se détraque. Et c'est parti ! Un nez qui coule, qui gratte , qui chatouille, un nez bouché, et des éternuements, ce sont là autant de désagréments qui annoncent l'installation de l'affection. De claire au départ, l'écoulement nasal devient jaunâtre puis verdâtre mais, contrairement à une idée répandue, cela ne signifie pas qu'il y a une infection.
Cet écoulement nasal peut s'accompagner de toux, d'éternuements , de mal de tête, de fièvre modérée et respiration par la bouche car le nez est complètent fermé. C'est l'inconfort total !
L'inefficacité
des antibiotiques
Tout le monde sait aujourd'hui qu'aucun antibiotique n'est capable de supprimer ou d'écourter l'épisode de l'affection en un clin d'œil. Le seul soulagement réside dans les traitements symptomatiques qui consiste à faire baisser la fièvre, et à soulager la sensation de malaise général et les éventuels maux de tête ou de gorge par l'un des médicaments classiques de la fièvre et des douleurs (antalgique antipyrétique), c'est-à-dire le paracétamol, l'aspirine ou un l'anti-inflammatoire.
Les gouttes nasales, dont l'action est antiseptique visent simplement à assécher, décongestionner les muqueuses et améliorer la respiration sont également conseillées. Celles à base de souffre sont particulièrement efficaces, mais , il existe bien d'autres, il suffit de demander l'avis du pharmacien.
D'autres traitements par voie orale comme les anti-histaminiques sont recommandés car ils stoppent ou réduisent l'écoulement nasal et ont des effets sédatifs. Enfin, pour limiter les risques de surinfection, il faut se moucher.
C'est un geste simple qui permet d'éviter la stase des sécrétions qui encombrent le nez, à condition toutefois qu'ils soit correctement effectué. En effet, il faut se moucher une narine après l'autre, et jamais les deux en même temps. Les bébés qui ne peuvent avoir accès à ce geste, les parents devront utiliser l'eau de mer vendu en pharmacie et une pipette spécifique, ou alors, un simple compte goûtes, correctement manipulé , fera bien l'affaire.
Il faut surtout prendre son mal en patience et attendre que le rhume passe. Malheureusement, des complications peuvent cependant se produire. Une infection bactérienne peut, en effet, suivre un rhume. Les signes de cette infection subséquente au rhume comprennent une forte élévation de température, l'augmentation du volume des ganglions et une toux productive. Si la fièvre persiste toutefois il faut consulter un médecin.
Pour ne pas en arriver à ce stade, il est conseillé d'opter pour des cure de vitamine C de temps à autre. Cette dernière augmente les défenses et l'aide à lutter contre les affections.
