Son climat est de type semi-aride, du sous-étage méditerranéen, subissant les influences continentales pendant l'été et l'hiver avec des nuances climatiques en raison de la diversité géographique.
La pluviométrie moyenne annuelle varie de 400 à 600 mm.
Sur le plan géomorphologique, les sols du domaine prérifain sont constitués par un vaste moutonnement de collines marneuses et marno-calcaires, quant au plateau de Meknès-Saïss, il est constitué de sols à sédiments complexes.
Les ressources en eau
Le réseau hydrographique du plateau de Meknès fait partie de celui du plateau de Meknès-Fès. Le plateau est dominé par le massif calcaire du Moyen-Atlas dont les formations se prolongent sous les marnes miocènes du plateau. La nappe phréatique se transforme sous le plateau en une nappe profonde artésienne.
La nappe profonde alimente la nappe phréatique au niveau du plateau.
Il existe d'autres ressources en eau superficielles qui sont utilisées pour l'irrigation et dont le début est relativement important.
Les superficies irriguées par les eaux superficielles ainsi que par la nappe sont de l'ordre de 12400 ha.
La zone d'action de la DPA présente une surface agricole utile estimée à 149520 ha soit 80% de la superficie totale dont 102740 ha de terres melk, 15400 ha de terres guich, 14160 ha de terres domaniales, 10800 ha de terres collectives et 6400 de terres habous.
Les productions végétales
L'occupation du sol - une moyenne des cinq dernières moyenne des cinq dernières années – fait ressortir la prédominance des céréales avec une superficie de 91630 ha soit 61% de la SAU, suivies de l'arboriculture fruitière (17%) et des légumineuses (10%). Le blé tendre occupe la 1ère place suivi par l'orge (9%) et le blé dur (6%).
Les pois chiches et la fève sont les principales légumineuses cultivées dans la région avec respectivement 66% et 22% et l'anthracnose constituent un frein important pour le développement de ces espèces.
Les cultures oléagineuses sont représentées surtout par le tournesol (7400 ha). La production des graines oléagineuses est localisée principalement dans la région d'Aïn Jemaa qui assure une grande partie de la production nationale.
L'olivier est l'espèce qui prédomine en arboriculture avec 75% de la superficie arboricole totale.
La principale variété cultivée est la picholine marocaine, mais les deux clones Ménard et Haouzia ainsi que de nouvelles variétés introduites telles Fronton et l'arbequine commencent à prendre de l'importance.
Le maraîchage couvre une superficie de l'ordre de 6800 ha. Les principales espèces cultivées sont la pomme de terre et l'oignon. Si les rendements sont en dessous des potentialités, des efforts sont consentis notamment par l'introduction de variétés plus performantes et l'utilisation de techniques appropriées telles que l'irrigation et la pertigation.
Production animale
L'élevage est une spéculation pratiquée le plus souvent en parallèle avec la production végétale. Cette activité, se caractérise par un troupeau assez important de l'ordre de 160/500 têtes.
L'élevage bovin, ovin et caprin est de type extensif, basé sur l'exploitation des parcours et surtout l'utilisation des sous-produits.
Le cheptel bovin est constitué en majeure partie de la race locale. Il est essentiellement orienté vers la production de viande qui s'élève à 2125 tonnes. Quant à la production de lait, elle avoisine les 14600 tonnes.
La stratégie du ministère de l'Agriculture vise l'amélioration du revenu de l'agriculteur, la contribution à la sécurité alimentaire, l'intégration du secteur dans l'économie nationale et internationale et la protection du milieu.
Pour atteindre ces objectifs, plusieurs axes de développement sont arrêtés dont l'intensification et la valorisation de la production l'organisation des filières, l'organisation professionnelle, l'amélioration de la qualité, l'aménagement et la
protection de l'environnement et l'intégration de la femme rurale.
La pluviométrie moyenne annuelle varie de 400 à 600 mm.
Sur le plan géomorphologique, les sols du domaine prérifain sont constitués par un vaste moutonnement de collines marneuses et marno-calcaires, quant au plateau de Meknès-Saïss, il est constitué de sols à sédiments complexes.
Les ressources en eau
Le réseau hydrographique du plateau de Meknès fait partie de celui du plateau de Meknès-Fès. Le plateau est dominé par le massif calcaire du Moyen-Atlas dont les formations se prolongent sous les marnes miocènes du plateau. La nappe phréatique se transforme sous le plateau en une nappe profonde artésienne.
La nappe profonde alimente la nappe phréatique au niveau du plateau.
Il existe d'autres ressources en eau superficielles qui sont utilisées pour l'irrigation et dont le début est relativement important.
Les superficies irriguées par les eaux superficielles ainsi que par la nappe sont de l'ordre de 12400 ha.
La zone d'action de la DPA présente une surface agricole utile estimée à 149520 ha soit 80% de la superficie totale dont 102740 ha de terres melk, 15400 ha de terres guich, 14160 ha de terres domaniales, 10800 ha de terres collectives et 6400 de terres habous.
Les productions végétales
L'occupation du sol - une moyenne des cinq dernières moyenne des cinq dernières années – fait ressortir la prédominance des céréales avec une superficie de 91630 ha soit 61% de la SAU, suivies de l'arboriculture fruitière (17%) et des légumineuses (10%). Le blé tendre occupe la 1ère place suivi par l'orge (9%) et le blé dur (6%).
Les pois chiches et la fève sont les principales légumineuses cultivées dans la région avec respectivement 66% et 22% et l'anthracnose constituent un frein important pour le développement de ces espèces.
Les cultures oléagineuses sont représentées surtout par le tournesol (7400 ha). La production des graines oléagineuses est localisée principalement dans la région d'Aïn Jemaa qui assure une grande partie de la production nationale.
L'olivier est l'espèce qui prédomine en arboriculture avec 75% de la superficie arboricole totale.
La principale variété cultivée est la picholine marocaine, mais les deux clones Ménard et Haouzia ainsi que de nouvelles variétés introduites telles Fronton et l'arbequine commencent à prendre de l'importance.
Le maraîchage couvre une superficie de l'ordre de 6800 ha. Les principales espèces cultivées sont la pomme de terre et l'oignon. Si les rendements sont en dessous des potentialités, des efforts sont consentis notamment par l'introduction de variétés plus performantes et l'utilisation de techniques appropriées telles que l'irrigation et la pertigation.
Production animale
L'élevage est une spéculation pratiquée le plus souvent en parallèle avec la production végétale. Cette activité, se caractérise par un troupeau assez important de l'ordre de 160/500 têtes.
L'élevage bovin, ovin et caprin est de type extensif, basé sur l'exploitation des parcours et surtout l'utilisation des sous-produits.
Le cheptel bovin est constitué en majeure partie de la race locale. Il est essentiellement orienté vers la production de viande qui s'élève à 2125 tonnes. Quant à la production de lait, elle avoisine les 14600 tonnes.
La stratégie du ministère de l'Agriculture vise l'amélioration du revenu de l'agriculteur, la contribution à la sécurité alimentaire, l'intégration du secteur dans l'économie nationale et internationale et la protection du milieu.
Pour atteindre ces objectifs, plusieurs axes de développement sont arrêtés dont l'intensification et la valorisation de la production l'organisation des filières, l'organisation professionnelle, l'amélioration de la qualité, l'aménagement et la
protection de l'environnement et l'intégration de la femme rurale.
