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Pour lui, «les accidents sont fréquents ». «Cela me fait plaisir puisqu'un tel accident montre que je pénètre comme il faut dans le rôle que j'interprète», nous a-t-il ajouté.
«Les cœurs brûlés», dont participent une pléiade d'acteurs, se terminera en tournage, dans trois jours. Son réalisateur, le Marocain Ahmed El Maanouni, avait donné le premier coup de manivelle du tournage à son nouveau long métrage, dans les sites de la médina de Fés, depuis quatre semaines.
Auteur et réalisateur de plusieurs films dont la plupart ont été primés dans des festivals internationaux, Ahmed El Maanouni est aussi critique cinématographique, scénariste et auteur dramatique. Dans son récent tournage «les cœurs brûlés », le réalisateur marocain réunit une pléiade d'acteurs chevronnés et de jeunes interprètes talentueux.
Il s'agit bien de Tayb Laâlej, Amina Rachid, Mohamed Darhem, Hicham Bahloul qui campe le rôle principal, Nadia Alami, Mohammed Marouazi et Khouloud…
Cette comédie musicale dont les partitions ont été composées par Mohammed Darham et Moulay Abdelaziz Tahiri, « retrace un itinéraire, un passage de l'enfant à l'adulte avec tous les drames psychologiques que cela implique », a expliqué le réalisateur. « L'œuvre raconte, selon lui, la vie du jeune Amine, apprenti artisan, élevé par son oncle et qui devient par la suite architecte, vivant en France.
De retour au Maroc pour revoir son oncle, juste avant sa mort, Amine exige des réponses aux questions qui le tourmentent concernant sa propre mère, accusée d'adultère et rejetée par tous». Il a ajouté que « les cœurs brûlés est la narration d'une identité indélébile à travers le regard que porte Amine sur son passé d'enfant et sur la société marocaine d'aujourd'hui ». Dans son film, Ahmed El Maanouni s'est basé sur « le travail des enfants dans le secteur de l'artisanat», ce qui « constitue, toujours selon lui, la toile de fond du film qui ambitionne de traiter un thème aussi sérieux que grave, à travers une comédie musicale satirique pour dédramatiser le problème ».
Le film, auquel prennent part, également, des comédiens de troupes théâtrales de Fès, la chanteuse Fatéma Zohra Lahlou et plusieurs enfants de la médina, a une « originalité qui tient, aux yeux de son metteur en scène, dans la forme d'un conte philosophique du troubadour Ba Jelloul, l'homme-cigogne, l'architecte de l'imaginaire du héros-enfant et dans l'omniprésence de la musique qui est source d'inspiration pour mes personnages et rythme pour l'action ».
Pour Hicham Bahloul, l'acteur principale qui s'est fait coupé les doits durant le tournage de la première séquence du film, «c'est une histoire extraordinaire».
D'après le jeune acteur « durant le mois de tournage, nous avons été une vrai famille. Nous avons tous donné le meilleur de nous-mêmes pour que le travail réussisse, surtout qu'il porte un grand message ».
«Les cœurs brûlés», dont participent une pléiade d'acteurs, se terminera en tournage, dans trois jours. Son réalisateur, le Marocain Ahmed El Maanouni, avait donné le premier coup de manivelle du tournage à son nouveau long métrage, dans les sites de la médina de Fés, depuis quatre semaines.
Auteur et réalisateur de plusieurs films dont la plupart ont été primés dans des festivals internationaux, Ahmed El Maanouni est aussi critique cinématographique, scénariste et auteur dramatique. Dans son récent tournage «les cœurs brûlés », le réalisateur marocain réunit une pléiade d'acteurs chevronnés et de jeunes interprètes talentueux.
Il s'agit bien de Tayb Laâlej, Amina Rachid, Mohamed Darhem, Hicham Bahloul qui campe le rôle principal, Nadia Alami, Mohammed Marouazi et Khouloud…
Cette comédie musicale dont les partitions ont été composées par Mohammed Darham et Moulay Abdelaziz Tahiri, « retrace un itinéraire, un passage de l'enfant à l'adulte avec tous les drames psychologiques que cela implique », a expliqué le réalisateur. « L'œuvre raconte, selon lui, la vie du jeune Amine, apprenti artisan, élevé par son oncle et qui devient par la suite architecte, vivant en France.
De retour au Maroc pour revoir son oncle, juste avant sa mort, Amine exige des réponses aux questions qui le tourmentent concernant sa propre mère, accusée d'adultère et rejetée par tous». Il a ajouté que « les cœurs brûlés est la narration d'une identité indélébile à travers le regard que porte Amine sur son passé d'enfant et sur la société marocaine d'aujourd'hui ». Dans son film, Ahmed El Maanouni s'est basé sur « le travail des enfants dans le secteur de l'artisanat», ce qui « constitue, toujours selon lui, la toile de fond du film qui ambitionne de traiter un thème aussi sérieux que grave, à travers une comédie musicale satirique pour dédramatiser le problème ».
Le film, auquel prennent part, également, des comédiens de troupes théâtrales de Fès, la chanteuse Fatéma Zohra Lahlou et plusieurs enfants de la médina, a une « originalité qui tient, aux yeux de son metteur en scène, dans la forme d'un conte philosophique du troubadour Ba Jelloul, l'homme-cigogne, l'architecte de l'imaginaire du héros-enfant et dans l'omniprésence de la musique qui est source d'inspiration pour mes personnages et rythme pour l'action ».
Pour Hicham Bahloul, l'acteur principale qui s'est fait coupé les doits durant le tournage de la première séquence du film, «c'est une histoire extraordinaire».
D'après le jeune acteur « durant le mois de tournage, nous avons été une vrai famille. Nous avons tous donné le meilleur de nous-mêmes pour que le travail réussisse, surtout qu'il porte un grand message ».
