Le Maroc, ambitionne légitimement de remporter un deuxième sacre après celui gagné haut la main par l'équipe nationale marocaine en 1976 en tenant en échec la grande équipe guinéenne lors du tour final auquel avaient pris part, outre les Lions de l'Atlas et le Syli national guinéen, les prestigieuses équipes de l'Egypte et du Nigeria.
L'équipe marocaine a surclassé ses adversaires en battant l'Egypte et le Nigeria par deux buts à un (2-1) et en faisant match nul avec la redoutable équipe guinéenne où évoluaient l'excellent demi-centre Chérif Souleymane, meilleur footballeur d'Afrique en 1972, ainsi que Maxime Camara et Petit Sory.
La formation marocaine, première équipe africaine ayant participé aux phases finales de la Coupe du monde en 1970 au Mexique, a terminé première de ce tour final composé de grosses cylindrées et a remporté le trophée avec ses stars de l'époque, Faras, Baba, Zahraoui, etc. L'histoire sportive du Maroc consigne avec fierté cette consécration comme elle retient à tout jamais le fait que notre pays a été le premier en Afrique à accéder au deuxième tour de la Coupe du monde en 1986 au Mexique et le fait que feu Saïd Belkola a été le premier arbitre africain à arbitrer, et avec brio, une finale du Mondial, celle qui avait opposé en 1998 la France au Brésil.
Pour sa part, la Tunisie avait disputé deux finales qu'elle avait perdues toutes deux respectivement face au Ghana à Tunis en 1965 (2-3, après prolongations) et à l'Afrique du Sud (0-2) à Johannesburg en 1996.
En 2004, le Maroc dispute la finale avec une nouvelle génération pétrie de qualités aux plans technique et physique, véritable révélation du tournoi. Le parcours de la sélection nationale est impressionnant et hors pair puisqu'elle a survolé, au premier tour, son groupe, surnommé poule de la mort, en battant le Nigéria (1-0), le Bénin (4-0) et en faisant match nul face à l'Afrique du Sud (1-1). Invincibles, les Lions de l'Atlas ont étrillé l'Algérie (3-1) en quart de finale et le Mali (4-0), en demi finale.
Cette belle, convaincante et séduisante prestation du Maroc devenu le cheval à battre, pose beaucoup de problèmes aux entraîneurs et aux directions techniques des équipes adverses. Avant chaque match, Ils tournent et retournent l'insoluble difficulté: comment faire pour essayer de contenir Zaïri, Hadji, Chammakh, Mokhtari, Safri, Naybet, Regragui, Ouaddou.... et aussi les remplaçants c'est-à-dire tous les autres joueurs qui ne cessent de progresser, de surprendre et de gagner en maturité sous la direction du coach Badou Zaki ?.
Le derby Maroc-Tunisie, les moments forts, les pronostics, les souvenirs des rencontres entre les deux équipes, leurs points forts et faibles, leurs performances, leur potentiel et leur passé continuent à défrayer la chronique.
Marocains et Tunisiens évoquent les défaites restées en travers de la gorge et les victoires enchantant le public. Le Maroc a barré la route à la Tunisie pour le Mondial de 1970 au «pile ou face» qui avait eu lieu le 13 juin 1969 à l'issue d'un match d'appui qualificatif joué à Marseille (2-2).
Moulay Idriss, Boujemâa, Faras, Houmane, Saïd, côté marocain, Attouga, Ahmed Mghirbi, Tahar Chaïbi, Noureddine Diwa, Abdeslam Chemmam, côté tunisien, ont pu soutenir le rythme de cette rencontre intense et à rebondissements et gratifié le public d'un beau spectacle. Les deux équipes se sont neutralisées et comme les tirs au but n'étaient pas prévus dans le règlement de la FIFA, il a été procédé au tirage au sort. Houmane a annoncé la bonne nouvelle aux Marocains et Habacha, la mauvaise aux tunisiens.
Le 9 janvier 1977, la Tunisie a remporté le match au Stade d'El Menzah à Tunis aux tirs au but (4-2) lors des éliminatoires de la Coupe du monde de 1978. Le Maroc et la Tunisie ont fait match nul aux matches aller et retour (1-1).
Le Maroc a pris la tête du groupe qui comprend aussi la Tunisie à l'issue des éliminatoires de la Coupe du monde de 1994 (1er tour). La Tunisie, sous la direction du coach M'rad Mahjoub, devancée par le Maroc, n'avait pas pris part au deuxième tour des éliminatoires de ce Mondial.
Aux éliminatoires de la CAN-2002, le Maroc a gagné les matches aller et retour (1-0) et (2-0).
La Tunisie a pris l'avantage aux éliminatoires des Jeux Olympiques de Séoul 1988 (1-0) en faveur de la Tunisie à El Menzah et 2-2 à Rabat).
Les deux équipes se sont croisées les crampons 42 fois. Les rencontres ses répartissent comme suit: éliminatoires de la Coupe du monde (12 fois), éliminatoires des Jeux Olympiques (10 fois), éliminatoires de la CAN (2 fois), phase finale de la CAN (2 fois), Jeux Méditerranéens (3 fois), Jeux Panarabes (2 fois), Coupe arabe des nations (1 fois), Coupe maghrébine (1 fois) et matches amicaux internationaux (9 fois).
Le Maroc a remporté 10 victoires contre sept pour les Tunisiens. Les deux équipes ont 25 matches nuls.
Médias et observateurs qualifient le derby Maroc-Tunisie “ de difficile ” et reviennent sur le parcours des deux adversaires. Selon le quotidien tunisien La Presse, “ Le Maroc allie résultat et manière ” et les Lions de l'Atlas surprise de la CAN, qui ont mérité leur surnom contrairement aux autres Lion, carburent à une vitesse de croisière. “ Ce Maroc qu'on a vu jouer ne nous a pas laissé indifférents, c'est une équipe qui a le jeu et la manière Méfiance ”, souligne-t-il.
De son côté, le journal Le Quotidien, sous le titre “ une fierté nommée Zaki ”, indique qu'on “ comprend aisément que les sportifs marocains sont très contents du travail entrepris par Zaki et en sont très fiers, l'ex-gardien de but des Lions de l'Atlas a déjà gravi un nouvel échelon dans le cœur de ses compatriotes et il cherchera à faire mieux demain à l'occasion de la finale ”.
L'équipe marocaine a surclassé ses adversaires en battant l'Egypte et le Nigeria par deux buts à un (2-1) et en faisant match nul avec la redoutable équipe guinéenne où évoluaient l'excellent demi-centre Chérif Souleymane, meilleur footballeur d'Afrique en 1972, ainsi que Maxime Camara et Petit Sory.
La formation marocaine, première équipe africaine ayant participé aux phases finales de la Coupe du monde en 1970 au Mexique, a terminé première de ce tour final composé de grosses cylindrées et a remporté le trophée avec ses stars de l'époque, Faras, Baba, Zahraoui, etc. L'histoire sportive du Maroc consigne avec fierté cette consécration comme elle retient à tout jamais le fait que notre pays a été le premier en Afrique à accéder au deuxième tour de la Coupe du monde en 1986 au Mexique et le fait que feu Saïd Belkola a été le premier arbitre africain à arbitrer, et avec brio, une finale du Mondial, celle qui avait opposé en 1998 la France au Brésil.
Pour sa part, la Tunisie avait disputé deux finales qu'elle avait perdues toutes deux respectivement face au Ghana à Tunis en 1965 (2-3, après prolongations) et à l'Afrique du Sud (0-2) à Johannesburg en 1996.
En 2004, le Maroc dispute la finale avec une nouvelle génération pétrie de qualités aux plans technique et physique, véritable révélation du tournoi. Le parcours de la sélection nationale est impressionnant et hors pair puisqu'elle a survolé, au premier tour, son groupe, surnommé poule de la mort, en battant le Nigéria (1-0), le Bénin (4-0) et en faisant match nul face à l'Afrique du Sud (1-1). Invincibles, les Lions de l'Atlas ont étrillé l'Algérie (3-1) en quart de finale et le Mali (4-0), en demi finale.
Cette belle, convaincante et séduisante prestation du Maroc devenu le cheval à battre, pose beaucoup de problèmes aux entraîneurs et aux directions techniques des équipes adverses. Avant chaque match, Ils tournent et retournent l'insoluble difficulté: comment faire pour essayer de contenir Zaïri, Hadji, Chammakh, Mokhtari, Safri, Naybet, Regragui, Ouaddou.... et aussi les remplaçants c'est-à-dire tous les autres joueurs qui ne cessent de progresser, de surprendre et de gagner en maturité sous la direction du coach Badou Zaki ?.
Le derby Maroc-Tunisie, les moments forts, les pronostics, les souvenirs des rencontres entre les deux équipes, leurs points forts et faibles, leurs performances, leur potentiel et leur passé continuent à défrayer la chronique.
Marocains et Tunisiens évoquent les défaites restées en travers de la gorge et les victoires enchantant le public. Le Maroc a barré la route à la Tunisie pour le Mondial de 1970 au «pile ou face» qui avait eu lieu le 13 juin 1969 à l'issue d'un match d'appui qualificatif joué à Marseille (2-2).
Moulay Idriss, Boujemâa, Faras, Houmane, Saïd, côté marocain, Attouga, Ahmed Mghirbi, Tahar Chaïbi, Noureddine Diwa, Abdeslam Chemmam, côté tunisien, ont pu soutenir le rythme de cette rencontre intense et à rebondissements et gratifié le public d'un beau spectacle. Les deux équipes se sont neutralisées et comme les tirs au but n'étaient pas prévus dans le règlement de la FIFA, il a été procédé au tirage au sort. Houmane a annoncé la bonne nouvelle aux Marocains et Habacha, la mauvaise aux tunisiens.
Le 9 janvier 1977, la Tunisie a remporté le match au Stade d'El Menzah à Tunis aux tirs au but (4-2) lors des éliminatoires de la Coupe du monde de 1978. Le Maroc et la Tunisie ont fait match nul aux matches aller et retour (1-1).
Le Maroc a pris la tête du groupe qui comprend aussi la Tunisie à l'issue des éliminatoires de la Coupe du monde de 1994 (1er tour). La Tunisie, sous la direction du coach M'rad Mahjoub, devancée par le Maroc, n'avait pas pris part au deuxième tour des éliminatoires de ce Mondial.
Aux éliminatoires de la CAN-2002, le Maroc a gagné les matches aller et retour (1-0) et (2-0).
La Tunisie a pris l'avantage aux éliminatoires des Jeux Olympiques de Séoul 1988 (1-0) en faveur de la Tunisie à El Menzah et 2-2 à Rabat).
Les deux équipes se sont croisées les crampons 42 fois. Les rencontres ses répartissent comme suit: éliminatoires de la Coupe du monde (12 fois), éliminatoires des Jeux Olympiques (10 fois), éliminatoires de la CAN (2 fois), phase finale de la CAN (2 fois), Jeux Méditerranéens (3 fois), Jeux Panarabes (2 fois), Coupe arabe des nations (1 fois), Coupe maghrébine (1 fois) et matches amicaux internationaux (9 fois).
Le Maroc a remporté 10 victoires contre sept pour les Tunisiens. Les deux équipes ont 25 matches nuls.
Médias et observateurs qualifient le derby Maroc-Tunisie “ de difficile ” et reviennent sur le parcours des deux adversaires. Selon le quotidien tunisien La Presse, “ Le Maroc allie résultat et manière ” et les Lions de l'Atlas surprise de la CAN, qui ont mérité leur surnom contrairement aux autres Lion, carburent à une vitesse de croisière. “ Ce Maroc qu'on a vu jouer ne nous a pas laissé indifférents, c'est une équipe qui a le jeu et la manière Méfiance ”, souligne-t-il.
De son côté, le journal Le Quotidien, sous le titre “ une fierté nommée Zaki ”, indique qu'on “ comprend aisément que les sportifs marocains sont très contents du travail entrepris par Zaki et en sont très fiers, l'ex-gardien de but des Lions de l'Atlas a déjà gravi un nouvel échelon dans le cœur de ses compatriotes et il cherchera à faire mieux demain à l'occasion de la finale ”.
