Le sélectionneur national, Baddou Zaki, fidèle à sa tactique de 5-3-2, a rappelé les choix tactiques qui ont fait son succès lors de la dernière CAN en Tunisie. Le milieu du terrain moins performant que lors des phases finales de la Coupe d’Afrique des Nations ressentit un certain déséquilibre dû en grande partie à la fatigue manifeste de Youssef Mokhtari et de Abdelkarim Kissi. Moha Yaagoubi, lui, a bel et bien sorti son épingle du jeu.
Le jeu marocain chatoyant, aéré, fait de changements d’ailes, avait permis de mettre sur orbite le véloce ailier marocain, Jawad Zaïri, qui a donné le tournis à son garde du corps qui souvent faisait appel à ses coéquipiers pour stopper les raids solitaires de l’insaisissable joueur de Sochaux!
On regrettera cependant l’absence de Youssef Safri, véritable métronome d’une formation qui a tenu la dragée haute aux équipiers de l’excellent meneur de jeu des Argentins D’Alessandro. Ce dernier tempérait le jeu chaque fois que les Marocains haussaient le ton par sa protection de la balle, son excellente technique et son extraordinaire vision du jeu.
Tout se serait " normalement " passé sans la bévue du défenseur du Paris St Germain, Talal El Karkoui. Tout professionnel qu’il est, n’a-t-il pas encore assimilé qu’une erreur défensive devant des joueurs de la dimension de Crespo se payent cher et cash? Mais, dans l’ensemble l’ex-Rajaoui a été crédité d’une bonne rencontre dans l’ensemble.
Force est de reconnaître que le jeu du onze national sous la houlette de Zaki s’est considérablement amélioré si l’on prend en compte le flegme du trio du côte gauche Naybet, Kahrja (excellent !) et Talal. Chaque fois qu’ils avaient le ballon, ils ne dégageaient jamais en catastrophe mais sortaient le ballon à coup de passes, tout en douceur ; même s’il y avait dans les parages un certain Crespo toujours aussi menaçant, toujours percutant et opportuniste.
Moha, par la petitesse de sa taille mais la grandeur de son talent, prenait les joueurs argentins du milieu du terrain en défaut par ses changements de pieds, ses passes distillées à ses avants.
La défense marocaine avec Ouaddou surtout, a démontré sa fiabilité et sa solidité. Abdeslam était infranchissable, Naybet a donné des signes de fatigue : quoi de plus normal lorsque l’on sait le nombre de rencontres que le capitaine des Lions de l’Atlas joue et à quel rythme. Les matches de la Liga, c’est de quoi casser les plus résistants.
En tous les cas, ce fut une fête du football à laquelle étaient conviés tous les Marocains en vue de promouvoir le dossier Maroc 2010 qui gagne à chaque occasion des points sur celui de qui vous savez !
Le jeu marocain chatoyant, aéré, fait de changements d’ailes, avait permis de mettre sur orbite le véloce ailier marocain, Jawad Zaïri, qui a donné le tournis à son garde du corps qui souvent faisait appel à ses coéquipiers pour stopper les raids solitaires de l’insaisissable joueur de Sochaux!
On regrettera cependant l’absence de Youssef Safri, véritable métronome d’une formation qui a tenu la dragée haute aux équipiers de l’excellent meneur de jeu des Argentins D’Alessandro. Ce dernier tempérait le jeu chaque fois que les Marocains haussaient le ton par sa protection de la balle, son excellente technique et son extraordinaire vision du jeu.
Tout se serait " normalement " passé sans la bévue du défenseur du Paris St Germain, Talal El Karkoui. Tout professionnel qu’il est, n’a-t-il pas encore assimilé qu’une erreur défensive devant des joueurs de la dimension de Crespo se payent cher et cash? Mais, dans l’ensemble l’ex-Rajaoui a été crédité d’une bonne rencontre dans l’ensemble.
Force est de reconnaître que le jeu du onze national sous la houlette de Zaki s’est considérablement amélioré si l’on prend en compte le flegme du trio du côte gauche Naybet, Kahrja (excellent !) et Talal. Chaque fois qu’ils avaient le ballon, ils ne dégageaient jamais en catastrophe mais sortaient le ballon à coup de passes, tout en douceur ; même s’il y avait dans les parages un certain Crespo toujours aussi menaçant, toujours percutant et opportuniste.
Moha, par la petitesse de sa taille mais la grandeur de son talent, prenait les joueurs argentins du milieu du terrain en défaut par ses changements de pieds, ses passes distillées à ses avants.
La défense marocaine avec Ouaddou surtout, a démontré sa fiabilité et sa solidité. Abdeslam était infranchissable, Naybet a donné des signes de fatigue : quoi de plus normal lorsque l’on sait le nombre de rencontres que le capitaine des Lions de l’Atlas joue et à quel rythme. Les matches de la Liga, c’est de quoi casser les plus résistants.
En tous les cas, ce fut une fête du football à laquelle étaient conviés tous les Marocains en vue de promouvoir le dossier Maroc 2010 qui gagne à chaque occasion des points sur celui de qui vous savez !
