Les cimetières de Laguebeb à Bab Ftouh et Sidi Boubker Bel Arabi à Fès-Jdid sont devenus malheureusement les cibles choisis, par tous ceux qui vivent en marge de la société, la honte culminant avec les passages ou séjours répétés d'ivrognes, qui y laissent bouteilles vides et autres cannettes, spectacle désolant qui vous agresse et vous désespère.
Naguère, ces cimetières faisaient l'objet d'une surveillance permanente par des gardiens relevant des services de la municipalité.
Des gens qui étaient attentifs à tout, particulièrement à l'entretien et au maintien en permanence de la propriété des lieux.
Aujourd'hui, les choses ont drôlement changé, en pire évidemment, puisque nul trace de gardien(s), encore moins d'un quelconque intérêt pour la sauvegarde de ces cimetières. Bon nombre de nos concitoyens qui ont conservé fidèlement l'habitude de se rendre au cimetière le vendredi, jour de prières et de recueillement, commencent à juger les ch,oses horribles, dénonçant une situation devenue intolérable pour le commun des mortels, estimant par ailleurs que les cimetières vont être bientôt transformés en décharges publiques.
Appel est donc lancé au Conseil de la ville de Fès et à tous les conseillers pour accorder toute l'attention requise à la réhabilitation de cimetières qui relèvent de leur gestion directe.
Car le moins que l'on puisse faire dans ces circonstances, c'est de respecter la mémoire de ces morts et de les laisser reposer en paix.
Naguère, ces cimetières faisaient l'objet d'une surveillance permanente par des gardiens relevant des services de la municipalité.
Des gens qui étaient attentifs à tout, particulièrement à l'entretien et au maintien en permanence de la propriété des lieux.
Aujourd'hui, les choses ont drôlement changé, en pire évidemment, puisque nul trace de gardien(s), encore moins d'un quelconque intérêt pour la sauvegarde de ces cimetières. Bon nombre de nos concitoyens qui ont conservé fidèlement l'habitude de se rendre au cimetière le vendredi, jour de prières et de recueillement, commencent à juger les ch,oses horribles, dénonçant une situation devenue intolérable pour le commun des mortels, estimant par ailleurs que les cimetières vont être bientôt transformés en décharges publiques.
Appel est donc lancé au Conseil de la ville de Fès et à tous les conseillers pour accorder toute l'attention requise à la réhabilitation de cimetières qui relèvent de leur gestion directe.
Car le moins que l'on puisse faire dans ces circonstances, c'est de respecter la mémoire de ces morts et de les laisser reposer en paix.
