Concernant le différend entre Maroc Telecom et Méditel relatif à la communication internationale, le responsable de l'ANRT a déclaré que le plaignant a préféré porter l'affaire directement devant la justice.
Toutefois, l'Agence essaie de trouver un terrain d'entente à l'amiable entre les deux opérateurs. Il a estimé, à cet égard, que le cahier des charges demeure la seule référence réglementaire et juridique.
L'objectif, a rappelé le directeur général de l'autorité de régulation, qui a animé un séminaire à Casablanca, demeure le développement du secteur en général et la promotion, voire la vulgarisation des technologies de la communication et de l'information au Maroc.
Il a, à cet égard, mis l'accent sur la nécessité pour le Maroc d'établir une nouvelle stratégie de développement et la généralisation de l'accès aux nouvelles technologies de la communication. Mohamed Benchaâboun reste très optimiste quant aux perspectives d'avenir.
Le Maroc a réalisé des progrès importants en matière de nouvelles technologies de l'information et de communication (NTIC), a souligné, Mohamed Benchaâaboune, ajoutant que le Maroc a franchi des pas géants, notamment sur le plan de la téléphonie mobile.
Après avoir souligné que l'accès à Internet demeure en deçà des potentialités, il a noté que l'année 2004 sera marquée par une nette convergence vers l'Internet, grâce notamment aux nouvelles offres et aux tarifs abordables.
M. Benchaâboune a, par ailleurs, annoncé que son organisme a mis en place une nouvelle stratégie pour le développement des NTIC, précisant que deux études sont en cours d'élaboration en vue de préparer un modèle économique pour les centres d'appels et "off-shoring" et faciliter la poursuite de la libéralisation du secteur des télécommunications dans un cadre spécifiquement réglementé.
Ces déclarations confirment les projections établies par le gouvernement.
M. Benchaâboun avait lui même déclaré d'ailleurs que «l'année 2004 sera celle des mobiles de 3e génération "3G" avec beaucoup d'opérateurs européens qui démarreront l'exploitation de l'UMTS tant attendu», précisant que les années à venir sont annonciatrices de mutations très fortes tant au niveau technologique qu'au niveau des modèles économiques. Et dans le cadre de ce processus, le Maroc compte bien se mettre au diapason en initiant de nouveaux chantiers.
Après avoir rappelé les actions entreprises en le domaine dont notamment l'élaboration d'un Plan national des fréquences, le réaménagement de certaines bandes de services commerciaux (1.800 Mhz, …) et la préparation des bandes libres, le responsable a ainsi révélé le prochain lancement de certaines études sur les mobiles 3G au Maroc, la gestion du .ma et les liaisons spécialisées.
Ces différents chantiers, a-t-il expliqué, seront conduits en veillant sur l'ouverture de l'Agence en direction des partenaires à travers une communication régulière (séminaires, consultation périodique des professionnels, utilisation des médias de communication….). Autonomie, crédibilité, transparence, équité et réactivité, seront les règles sacro-saintes qui conduiront l'action de l'Agence.
Auparavant et dressant un bilan sur les actions en matière de la libéralisation du fixe qui avait été prévue pour l'année 2002 mais dont l'appel d'offres n'aura pas abouti, M. Benchaâboun a estimé que la relance de ce processus suppose que l'on tire les enseignements de cette expérience et de créer «les conditions nécessaires pour maximiser les chances de la réussite».
C'est ainsi qu'il est prévu le lancement rapide des chantiers relatifs au cadre réglementaire, la clarification et formalisation des leviers annexes de régulation et la réévaluation stratégique du contour des licences, des possibilités d'extension et des nécessités de protection/contrôle (VoIP).
Le lancement d'un processus de concertation auprès des acteurs concernés préalablement à la rédaction du cahier des charges devrait, a-t-il dit, être relayé par des mesures d'accompagnement de bout en bout par un cabinet externe.
Car ce qu'il faut signaler, c'est que, présentant un potentiel de développement plus limité, le processus de libéralisation du fixe qui est «une affaire délicate», nécessite une plus grande intensité en capital, met le nouvel entrant dans une situation de dépendance forte de l'interconnexion sur le réseau de son compétiteur direct (opérateur historique) et se caractérise par un désavantage du nouvel entrant du fait de la position déjà dominante de l'opérateur historique construite sur plusieurs dizaines d'années (par rapport à 2-4 ans dans le mobile).
D'où le rôle du régulateur qui est interpellé pour créer les conditions «asymétriques» à même de favoriser l'émergence d'une concurrence et la nécessité d'une très grande confiance dans le cadre institutionnel du pays (payback sur 8 à 10 ans minimum).
Rappelons que l'ANRT est l'autorité de régulation des télécommunications. Elle est chargée d'assurer le bon fonctionnement du secteur des nouvelles technologies de l'information et de communication sur les plans juridique, technique, économique ainsi sur le plan de la structuration du marché.
Toutefois, l'Agence essaie de trouver un terrain d'entente à l'amiable entre les deux opérateurs. Il a estimé, à cet égard, que le cahier des charges demeure la seule référence réglementaire et juridique.
L'objectif, a rappelé le directeur général de l'autorité de régulation, qui a animé un séminaire à Casablanca, demeure le développement du secteur en général et la promotion, voire la vulgarisation des technologies de la communication et de l'information au Maroc.
Il a, à cet égard, mis l'accent sur la nécessité pour le Maroc d'établir une nouvelle stratégie de développement et la généralisation de l'accès aux nouvelles technologies de la communication. Mohamed Benchaâboun reste très optimiste quant aux perspectives d'avenir.
Le Maroc a réalisé des progrès importants en matière de nouvelles technologies de l'information et de communication (NTIC), a souligné, Mohamed Benchaâaboune, ajoutant que le Maroc a franchi des pas géants, notamment sur le plan de la téléphonie mobile.
Après avoir souligné que l'accès à Internet demeure en deçà des potentialités, il a noté que l'année 2004 sera marquée par une nette convergence vers l'Internet, grâce notamment aux nouvelles offres et aux tarifs abordables.
M. Benchaâboune a, par ailleurs, annoncé que son organisme a mis en place une nouvelle stratégie pour le développement des NTIC, précisant que deux études sont en cours d'élaboration en vue de préparer un modèle économique pour les centres d'appels et "off-shoring" et faciliter la poursuite de la libéralisation du secteur des télécommunications dans un cadre spécifiquement réglementé.
Ces déclarations confirment les projections établies par le gouvernement.
M. Benchaâboun avait lui même déclaré d'ailleurs que «l'année 2004 sera celle des mobiles de 3e génération "3G" avec beaucoup d'opérateurs européens qui démarreront l'exploitation de l'UMTS tant attendu», précisant que les années à venir sont annonciatrices de mutations très fortes tant au niveau technologique qu'au niveau des modèles économiques. Et dans le cadre de ce processus, le Maroc compte bien se mettre au diapason en initiant de nouveaux chantiers.
Après avoir rappelé les actions entreprises en le domaine dont notamment l'élaboration d'un Plan national des fréquences, le réaménagement de certaines bandes de services commerciaux (1.800 Mhz, …) et la préparation des bandes libres, le responsable a ainsi révélé le prochain lancement de certaines études sur les mobiles 3G au Maroc, la gestion du .ma et les liaisons spécialisées.
Ces différents chantiers, a-t-il expliqué, seront conduits en veillant sur l'ouverture de l'Agence en direction des partenaires à travers une communication régulière (séminaires, consultation périodique des professionnels, utilisation des médias de communication….). Autonomie, crédibilité, transparence, équité et réactivité, seront les règles sacro-saintes qui conduiront l'action de l'Agence.
Auparavant et dressant un bilan sur les actions en matière de la libéralisation du fixe qui avait été prévue pour l'année 2002 mais dont l'appel d'offres n'aura pas abouti, M. Benchaâboun a estimé que la relance de ce processus suppose que l'on tire les enseignements de cette expérience et de créer «les conditions nécessaires pour maximiser les chances de la réussite».
C'est ainsi qu'il est prévu le lancement rapide des chantiers relatifs au cadre réglementaire, la clarification et formalisation des leviers annexes de régulation et la réévaluation stratégique du contour des licences, des possibilités d'extension et des nécessités de protection/contrôle (VoIP).
Le lancement d'un processus de concertation auprès des acteurs concernés préalablement à la rédaction du cahier des charges devrait, a-t-il dit, être relayé par des mesures d'accompagnement de bout en bout par un cabinet externe.
Car ce qu'il faut signaler, c'est que, présentant un potentiel de développement plus limité, le processus de libéralisation du fixe qui est «une affaire délicate», nécessite une plus grande intensité en capital, met le nouvel entrant dans une situation de dépendance forte de l'interconnexion sur le réseau de son compétiteur direct (opérateur historique) et se caractérise par un désavantage du nouvel entrant du fait de la position déjà dominante de l'opérateur historique construite sur plusieurs dizaines d'années (par rapport à 2-4 ans dans le mobile).
D'où le rôle du régulateur qui est interpellé pour créer les conditions «asymétriques» à même de favoriser l'émergence d'une concurrence et la nécessité d'une très grande confiance dans le cadre institutionnel du pays (payback sur 8 à 10 ans minimum).
Rappelons que l'ANRT est l'autorité de régulation des télécommunications. Elle est chargée d'assurer le bon fonctionnement du secteur des nouvelles technologies de l'information et de communication sur les plans juridique, technique, économique ainsi sur le plan de la structuration du marché.
