"Nous sommes passés de la confrontation à Perejil (l'îlot/ Leila/Tourah) au départ conjoint pour Haïti. De l'étape où les drapeaux du Maroc et de l'Espagne flottaient avec hostilité à celle où ils iront conjointement pour une mission de l'Onu. Le complexe Perejil a été transcendé", avait déclaré, auparavant, José Bono, ministre espagnol de la Défense, dans un entretien au journal El Mundo.
Le Maroc et l'Espagne avaient, dans ce sens, décidé d'envoyer un contingent commun dans le cadre de la Mission de Stabilisation des Nations unies en Haïti (MINUSTHA) qui a pour objectif d'aider le gouvernement de transition en Haïti à organiser des élections libres et asseoir des institutions démocratiques dans le pays.
Rabat et Madrid avaient, préalablement, résolu la plupart des questions qui suscitaient des malentendus passagers entre eux. Une nouvelle étape de collaboration et de coopération est ainsi née entre les deux capitales. Comme en attestent, la visite historique du premier ministre espagnol, José Luis Rodríguez Zapatero au Maroc, les efforts de lutte contre le terrorisme et la régularisation des immigrés illégaux qui travaillent en Espagne depuis trois ans…
L'initiative commune de Rabat et de Madrid d'envoyer le contingent commun à Haïti, marquera un point important dans le processus de collaboration et de coopération entre les deux pays, frères et voisins. Le malentendu n'est plus, les bonnes relations ont repris le devant de la scène. Le Maroc et l'Espagne sont désormais sur la voie d'un avenir commun à la mesure des ambitions légitimes de ces deux pays liés par l'Histoire, la culture, la géographie…
Le Maroc et l'Espagne avaient, dans ce sens, décidé d'envoyer un contingent commun dans le cadre de la Mission de Stabilisation des Nations unies en Haïti (MINUSTHA) qui a pour objectif d'aider le gouvernement de transition en Haïti à organiser des élections libres et asseoir des institutions démocratiques dans le pays.
Rabat et Madrid avaient, préalablement, résolu la plupart des questions qui suscitaient des malentendus passagers entre eux. Une nouvelle étape de collaboration et de coopération est ainsi née entre les deux capitales. Comme en attestent, la visite historique du premier ministre espagnol, José Luis Rodríguez Zapatero au Maroc, les efforts de lutte contre le terrorisme et la régularisation des immigrés illégaux qui travaillent en Espagne depuis trois ans…
L'initiative commune de Rabat et de Madrid d'envoyer le contingent commun à Haïti, marquera un point important dans le processus de collaboration et de coopération entre les deux pays, frères et voisins. Le malentendu n'est plus, les bonnes relations ont repris le devant de la scène. Le Maroc et l'Espagne sont désormais sur la voie d'un avenir commun à la mesure des ambitions légitimes de ces deux pays liés par l'Histoire, la culture, la géographie…
