Face aux conditions de vie dans le sud, tous les moyens sont bons pour assurer une rentrée d’argent en toute légalité si ce n’est qu’une modeste bourse à la fin de chaque journée.
Ibrahim est l’exemple concret du courage et de la bravoure des hommes de Zagoura.
La nature de son travail de tous les jours l’a usé.
Il n’a pas eu l’occasion d’aller à l’école. Son père est chamelier et il l’aide à prendre soin de son capital : les chameaux.
Le mois de janvier constitue la haute saison pour ce genre de métier. Son père est surchargé de commandes. Alors, Ibrahim le remplace. Il guide les clients sur les chameaux et une fois sur place collabore aux préparatifs.
Tout au long des douze kilomètres qui nous ont mené de Zagora aux bivouacs, habile et enchanté de se retrouver encore une fois de se faire de nouvelles connaissances, Ibrahim est un petit monsieur que tous les membres de l’équipe aiment surtout pour son courage et sa bienveillance.
Fredonnant les paroles de la célèbre sinia, une signature de Nass El Ghwane, entrecoupant sa chanson de temps à autre, pour discuter avec les clients mettant en avant les qualités de sa région et racontant ses exploits, Ibrahim n’a pas l’air de s’ennuyer.
Malgré la dureté des conditions de vie, il se dit content d’avoir eu l’occasion de faire ce métier car beaucoup de personnes n’ont pas eu cette chance.
En effet, sa tâche consiste à aider le client à monter sur le dos du chameau, aide le chameau à se relever et le guide dans le désert jusqu'à ce que ce dernier se fatigue ou arrive à destination.
A ce moment là c’est une autre mission qui est confiée à Ibrahim. Il doit aider à servir les clients et veiller à leur confort.
Tout ce qu’il sait, il l’a appris par son contact avec les touristes, un jeune homme attentionné et curieux mémorisant toute information aussi banale soit-elle.
Ibrahim est tout simplement un garçon exceptionnel.
Ibrahim est l’exemple concret du courage et de la bravoure des hommes de Zagoura.
La nature de son travail de tous les jours l’a usé.
Il n’a pas eu l’occasion d’aller à l’école. Son père est chamelier et il l’aide à prendre soin de son capital : les chameaux.
Le mois de janvier constitue la haute saison pour ce genre de métier. Son père est surchargé de commandes. Alors, Ibrahim le remplace. Il guide les clients sur les chameaux et une fois sur place collabore aux préparatifs.
Tout au long des douze kilomètres qui nous ont mené de Zagora aux bivouacs, habile et enchanté de se retrouver encore une fois de se faire de nouvelles connaissances, Ibrahim est un petit monsieur que tous les membres de l’équipe aiment surtout pour son courage et sa bienveillance.
Fredonnant les paroles de la célèbre sinia, une signature de Nass El Ghwane, entrecoupant sa chanson de temps à autre, pour discuter avec les clients mettant en avant les qualités de sa région et racontant ses exploits, Ibrahim n’a pas l’air de s’ennuyer.
Malgré la dureté des conditions de vie, il se dit content d’avoir eu l’occasion de faire ce métier car beaucoup de personnes n’ont pas eu cette chance.
En effet, sa tâche consiste à aider le client à monter sur le dos du chameau, aide le chameau à se relever et le guide dans le désert jusqu'à ce que ce dernier se fatigue ou arrive à destination.
A ce moment là c’est une autre mission qui est confiée à Ibrahim. Il doit aider à servir les clients et veiller à leur confort.
Tout ce qu’il sait, il l’a appris par son contact avec les touristes, un jeune homme attentionné et curieux mémorisant toute information aussi banale soit-elle.
Ibrahim est tout simplement un garçon exceptionnel.