Ce premier round a été l’occasion pour lui de convaincre les électeurs de la mauvaise prestation de l’actuel Président sur ces trois dossiers qui ont constitué les thèmes majeurs du débat.
Ainsi et comme l’ont souligné plusieurs analystes, Les intentions du vote peuvent pencher en faveur de John Kerry ou du moins l’écart entre les deux candidats va se rétrécir mettant, par conséquent, en péril l’avantage qu’avait George W. Bush dans les sondages qui lui donnaient une avance variant entre huit et dix points.
Pour sa part, ce dernier a misé sur le fait que John Kerry avait voté en faveur d’une intervention militaire en Irak ce qu’il a considéré comme étant en contradiction avec ses dernières positions qui considèrent que cette guerre est une erreur et n’a fait que détourner les efforts des Etats-Unis dans la lutte anti-terroriste notamment après les attentats du 11septembre.
Cette tactique n’a pas eu les effets escomptés parce qu’elle n’a rien apporté de nouveau en raison de sa récurrence dans sa stratégie électorale. Toutefois, les points que Kerry a réussi à marquer contre son rival risquent de ne pas être suffisants pour renverser la situation et il va falloir attendre les prochains rounds qui auront lieu le 8 et 13 octobre pour pouvoir avoir un tableau approximatif sur les intentions de vote des électeurs américains et ainsi prévoir, toujours de manière approximative, qui sortira vainqueur de ce duel dont la véritable issue ne peut, en fait, être connue que le jour du scrutin, à savoir le 2 novembre prochain.
Ainsi et comme l’ont souligné plusieurs analystes, Les intentions du vote peuvent pencher en faveur de John Kerry ou du moins l’écart entre les deux candidats va se rétrécir mettant, par conséquent, en péril l’avantage qu’avait George W. Bush dans les sondages qui lui donnaient une avance variant entre huit et dix points.
Pour sa part, ce dernier a misé sur le fait que John Kerry avait voté en faveur d’une intervention militaire en Irak ce qu’il a considéré comme étant en contradiction avec ses dernières positions qui considèrent que cette guerre est une erreur et n’a fait que détourner les efforts des Etats-Unis dans la lutte anti-terroriste notamment après les attentats du 11septembre.
Cette tactique n’a pas eu les effets escomptés parce qu’elle n’a rien apporté de nouveau en raison de sa récurrence dans sa stratégie électorale. Toutefois, les points que Kerry a réussi à marquer contre son rival risquent de ne pas être suffisants pour renverser la situation et il va falloir attendre les prochains rounds qui auront lieu le 8 et 13 octobre pour pouvoir avoir un tableau approximatif sur les intentions de vote des électeurs américains et ainsi prévoir, toujours de manière approximative, qui sortira vainqueur de ce duel dont la véritable issue ne peut, en fait, être connue que le jour du scrutin, à savoir le 2 novembre prochain.
