L'épicentre de ce séisme, d'une magnitude comprise entre 6,1 et 6,5 degrés sur l'échelle ouverte de Richter n'avait, mardi après-midi, pas été localisé précisément, a expliqué à l'Associated Press Jérôme Vanderwoerd, chargé de recherches au CNRS à Strasbourg.
Pour lui, «ce séisme n'est pas exceptionnel dans cette région, où de telle secousses sont attendues dans le cadre de la convergence des plaques Afrique et Europe, qui se rapprochent de quatre à six millimètres par an».
Selon M. Vanderwoerd, il n'y a «aucun lien de cause à effet» entre le séisme de mardi matin avec la secousse de magnitude 3,6 enregistrée dans la même région en mai 2003.
Pour lui, «ce séisme n'est pas exceptionnel dans cette région, où de telle secousses sont attendues dans le cadre de la convergence des plaques Afrique et Europe, qui se rapprochent de quatre à six millimètres par an».
Selon M. Vanderwoerd, il n'y a «aucun lien de cause à effet» entre le séisme de mardi matin avec la secousse de magnitude 3,6 enregistrée dans la même région en mai 2003.
