Les deux inculpés ont comparu devant le tribunal pour les chefs d’accusation de coups et blessures volontaires, tentative de vol et port d’armes prohibées. Les faits se sont déroulés au boulevard de l’ALN (ex-front de mer), près de la résidence de la victime, dans la nuit du 28 avril dernier.
Cette nuit-là, le Consul a été pris pour cible par les deux mis en cause, au moment où il allait rentrer chez-lui. Les deux agresseurs ont sommé leur victime de vider ses poches sous la menace de couteaux, selon l’enquête de la police qui avait, heureusement, intervenu à temps, souligne-t-on. A la barre, les deux accusés ont avoué les faits qui leur sont reprochés. Ils diront qu’ils étaient sous l’effet de l’alcool, selon leurs déclarations.
La victime a exhibé devant la juge un certificat d’incapacité de dix jours témoignant des blessures qu’elle a subies. Les avocats de la défense ont contesté la validité du certificat médical. "Ce certificat est daté du 3 mai alors que les faits remontent à cinq jours auparavant". Le procureur de la république souligne : "C’est un certificat établi par la médecine légale et fait foi devant le tribunal.
La défense peut toujours, si elle le veut, demander d’inscrire comme faux cette pièce. Mais il n’est pas de son droit de demander au tribunal de ne pas l’inclure au dossier". Il a requis 3 ans de prison ferme à l’encontre des deux prévenus. Les avocats ont demandé les circonstances atténuantes.
Cette nuit-là, le Consul a été pris pour cible par les deux mis en cause, au moment où il allait rentrer chez-lui. Les deux agresseurs ont sommé leur victime de vider ses poches sous la menace de couteaux, selon l’enquête de la police qui avait, heureusement, intervenu à temps, souligne-t-on. A la barre, les deux accusés ont avoué les faits qui leur sont reprochés. Ils diront qu’ils étaient sous l’effet de l’alcool, selon leurs déclarations.
La victime a exhibé devant la juge un certificat d’incapacité de dix jours témoignant des blessures qu’elle a subies. Les avocats de la défense ont contesté la validité du certificat médical. "Ce certificat est daté du 3 mai alors que les faits remontent à cinq jours auparavant". Le procureur de la république souligne : "C’est un certificat établi par la médecine légale et fait foi devant le tribunal.
La défense peut toujours, si elle le veut, demander d’inscrire comme faux cette pièce. Mais il n’est pas de son droit de demander au tribunal de ne pas l’inclure au dossier". Il a requis 3 ans de prison ferme à l’encontre des deux prévenus. Les avocats ont demandé les circonstances atténuantes.
