Elle s'est retrouvée à l'académie au moment où elle s'y attendait le moins. Un concours de coïncidence l'a amenée à accompagner son amie à Rabat pour passer le test de la première édition de la Star Académie Liban.
Sofia menait jusque-là une vie normale, en rentrant de France où elle avait entamé une carrière de mannequin, elle s'inscrit dans une école supérieure pour faire de la communication.
Elle est en troisième année lorsque sa vie prendra un autre tournant, l'académie, la chanson arabe, la danse et la musique.
Aujourd'hui, c'est une nouvelle vie qui commence pour cette jeune fille de 22 ans. «Je ne pense plus au mannequinat» nous dira-t-elle. C'est désormais de l'histoire ancienne, «Il y a une grande différence entre la carrière de mannequin et de chanteuse. Pour la première, on défile avec des vêtements. Le mannequin, mis à part le fait qu'il doit bien porter le vêtement, n'apporte aucune touche personnelle. Dans la chanson, c'est carrément différent, le chant reflète un sentiment et tu ne peux pas chanter un morceau dans lequel tu ne te retrouves pas. C'est un sentiment que chaque personne interprète à sa manière». Elle est décidée et ne pense plus au mannequinat ; c'est dans la chanson et plus exactement la chanson arabe qu'elle veut percer.
D'ailleurs, son expérience à la star académie est un vrai défi en quelques mois, elle apprend les noms des chanteurs arabes, les paroles de leurs chansons et fait même des essais de composition en arabe.
Le premier sera suite à un exercice de leur professeur qui demandera à chacun des élèves de composer une chanson sur l'amitié.
Elle prend même la défense de la chanson marocaine. «Mis à part le Rai qui n'est pas marocain, on ne trouve pas les cassettes des chanteurs marocains au Liban. J'ai insisté pour interpréter une chanson marocaine et je suis arrivée à les convaincre». Lors du prime suivant, le public avait rendez-vous avec Abdelouahab Doukkali à travers «Marsoul Al Houb».
Toutefois, elle veille à rappeler que les chansons que les star académiciennes chantent lors des primes sont programmées et qu'ils les préparent au courant de la semaine.
« La chanson marocaine a un rythme un peu difficile. Je reconnais que j'ai plus de facilité pour la chanson française ou égyptienne, mais je ne baisse pas les bras». D'ailleurs, elle dit vouloir prendre tout le temps nécessaire pour écouter la musique et comprendre toute tonalité afin d'arriver à trouver un style qui lui sera propre «je n'ai pas envie de brûler les étapes» Toutefois, la fin de cette première saison de la star académie ne signifie pas pour elle vacances «La prochaine saison commencera dans quelques mois et il faut au moins que je sorte un single sinon je risque de me faire oublier puisqu'il y aura d'autres élèves» explique Sofia.
Elle a déjà entamé ses contacts avec des compositeurs marocains en l'occurrence, Abdelouahab Doukkali et Abdelhadi Belkhayat et d'autres compositeurs arabes, notamment des Egyptiens et des Libanais
«C'est clair, mon album ce n'est pas pour demain mais au moins dans trois ou quatre mois».
Et si aujourd'hui, Sofia trouve plus de facilité à aller vers les autres. Les débuts n'ont guère été faciles. Le public qui suivait la Star Académie Liban remarquait une jeune fille timide et ça lui arrive surtout au début dira-t-elle «le premier contact est en général difficile. Il m'a fallu du temps pour m'adapter, les autres aussi d'ailleurs. Au début, il y a l'engouement. Mais après, ce sont des caractères différents et des personnes venues d'horizon différents, le jour où je suis tombée avec Cynthia et je me suis retrouvée avec la lombaire 1 qui était déviée de 70% ; je devais rester allongée sur le dos au moins 12 heures, tout le monde est sorti de sa timidité et ils étaient tous solidaires d'autant plus qu'on est restées deux semaines à l'hôpital .
Il est vrai que c'était une mauvaise étape lors de mon séjour à l'académie puisqu'à un certain moment, il était même question de me faire opérer et ma mère prévoyait mon retour au Maroc mais je suis restée, je ne ratais aucun cours de danse ni de sport et tout le monde était la pour moi».
En parlant de son expérience à l'académie, ses yeux brillent de bonheur et elle en est fière. Il est vrai que la Star Académie Liban n'a pas eu autant de notoriété que celle diffusée sur TF1, mais Sofia Merrikh a son public, un public qui suit son actualité et qui l'a soutenue lors des primes.
D'ailleurs, elle ne regrette à aucun moment d'y avoir participé.
Le hasard a joué en sa faveur, c'est sûr, mais ses efforts ont achevé la tâche à l'académie et ont, selon ses propos, éclairci son chemin «Je chantais, j'avais un album mais jamais je n'aurais imaginer qu'un jour j'aurais l'obstination de percer dans le monde de la chanson arabe. Vers la fin du mois d'août, je dois rencontrer des compositeurs arabes. Je vais accompagner sur scène la Star Académie France lors de sa soirée au Liban» .
Et pour nous résumer son expérience dans l'académie qui constitue aujourd'hui le rêve de milliers de jeunes elle dira «C'est la plus belle expérience de ma vie».
Sofia menait jusque-là une vie normale, en rentrant de France où elle avait entamé une carrière de mannequin, elle s'inscrit dans une école supérieure pour faire de la communication.
Elle est en troisième année lorsque sa vie prendra un autre tournant, l'académie, la chanson arabe, la danse et la musique.
Aujourd'hui, c'est une nouvelle vie qui commence pour cette jeune fille de 22 ans. «Je ne pense plus au mannequinat» nous dira-t-elle. C'est désormais de l'histoire ancienne, «Il y a une grande différence entre la carrière de mannequin et de chanteuse. Pour la première, on défile avec des vêtements. Le mannequin, mis à part le fait qu'il doit bien porter le vêtement, n'apporte aucune touche personnelle. Dans la chanson, c'est carrément différent, le chant reflète un sentiment et tu ne peux pas chanter un morceau dans lequel tu ne te retrouves pas. C'est un sentiment que chaque personne interprète à sa manière». Elle est décidée et ne pense plus au mannequinat ; c'est dans la chanson et plus exactement la chanson arabe qu'elle veut percer.
D'ailleurs, son expérience à la star académie est un vrai défi en quelques mois, elle apprend les noms des chanteurs arabes, les paroles de leurs chansons et fait même des essais de composition en arabe.
Le premier sera suite à un exercice de leur professeur qui demandera à chacun des élèves de composer une chanson sur l'amitié.
Elle prend même la défense de la chanson marocaine. «Mis à part le Rai qui n'est pas marocain, on ne trouve pas les cassettes des chanteurs marocains au Liban. J'ai insisté pour interpréter une chanson marocaine et je suis arrivée à les convaincre». Lors du prime suivant, le public avait rendez-vous avec Abdelouahab Doukkali à travers «Marsoul Al Houb».
Toutefois, elle veille à rappeler que les chansons que les star académiciennes chantent lors des primes sont programmées et qu'ils les préparent au courant de la semaine.
« La chanson marocaine a un rythme un peu difficile. Je reconnais que j'ai plus de facilité pour la chanson française ou égyptienne, mais je ne baisse pas les bras». D'ailleurs, elle dit vouloir prendre tout le temps nécessaire pour écouter la musique et comprendre toute tonalité afin d'arriver à trouver un style qui lui sera propre «je n'ai pas envie de brûler les étapes» Toutefois, la fin de cette première saison de la star académie ne signifie pas pour elle vacances «La prochaine saison commencera dans quelques mois et il faut au moins que je sorte un single sinon je risque de me faire oublier puisqu'il y aura d'autres élèves» explique Sofia.
Elle a déjà entamé ses contacts avec des compositeurs marocains en l'occurrence, Abdelouahab Doukkali et Abdelhadi Belkhayat et d'autres compositeurs arabes, notamment des Egyptiens et des Libanais
«C'est clair, mon album ce n'est pas pour demain mais au moins dans trois ou quatre mois».
Et si aujourd'hui, Sofia trouve plus de facilité à aller vers les autres. Les débuts n'ont guère été faciles. Le public qui suivait la Star Académie Liban remarquait une jeune fille timide et ça lui arrive surtout au début dira-t-elle «le premier contact est en général difficile. Il m'a fallu du temps pour m'adapter, les autres aussi d'ailleurs. Au début, il y a l'engouement. Mais après, ce sont des caractères différents et des personnes venues d'horizon différents, le jour où je suis tombée avec Cynthia et je me suis retrouvée avec la lombaire 1 qui était déviée de 70% ; je devais rester allongée sur le dos au moins 12 heures, tout le monde est sorti de sa timidité et ils étaient tous solidaires d'autant plus qu'on est restées deux semaines à l'hôpital .
Il est vrai que c'était une mauvaise étape lors de mon séjour à l'académie puisqu'à un certain moment, il était même question de me faire opérer et ma mère prévoyait mon retour au Maroc mais je suis restée, je ne ratais aucun cours de danse ni de sport et tout le monde était la pour moi».
En parlant de son expérience à l'académie, ses yeux brillent de bonheur et elle en est fière. Il est vrai que la Star Académie Liban n'a pas eu autant de notoriété que celle diffusée sur TF1, mais Sofia Merrikh a son public, un public qui suit son actualité et qui l'a soutenue lors des primes.
D'ailleurs, elle ne regrette à aucun moment d'y avoir participé.
Le hasard a joué en sa faveur, c'est sûr, mais ses efforts ont achevé la tâche à l'académie et ont, selon ses propos, éclairci son chemin «Je chantais, j'avais un album mais jamais je n'aurais imaginer qu'un jour j'aurais l'obstination de percer dans le monde de la chanson arabe. Vers la fin du mois d'août, je dois rencontrer des compositeurs arabes. Je vais accompagner sur scène la Star Académie France lors de sa soirée au Liban» .
Et pour nous résumer son expérience dans l'académie qui constitue aujourd'hui le rêve de milliers de jeunes elle dira «C'est la plus belle expérience de ma vie».
