Mohamed Z, agent commercial, fulmine de rage à la vue du sabot posé sur son véhicule. C'est inadmissible, je suis juste allé chercher un ticket et voilà que le gardien a déjà immobilisé ma voiture. L'énervement monte chez les usagers des parkings du centre-ville. Les pannes sont, semble-t-il, de plus en plus fréquentes. Certains passent leur colère sur les gardiens chargés de mettre les sabots aux voitures en infraction.
Fouad B, employé de banque, affirme lui avoir vécu plusieurs mésaventures avec les horodateurs. Selon ses dires, il a dû à plusieurs reprises faire le tour de six à sept appareils avant d'en trouver un qui fonctionne. Les usagers se plaignent du temps qu'ils perdent à la recherche d'un ticket. Ce qui, affirment-ils, les mènent très souvent en retard au travail.
Certains automobilistes poussent leur colère encore plus loin. C'est le cas de Zineb R, gérante de société. Elle s'en prend directement à la société gestionnaire des parkings. La jeune femme, la rage au cœur, affirme que l'entreprise en question laisse délibérément les horodateurs en panne puisque, dit-elle, les revenus engendrés par les procès verbaux dépassent de loin les recettes encaissées légalement.
Certains vont jusqu'à dire que c'est un système mis en place par la société gérante. La société qui gère les parkings reconnaît l'existence de quelques dysfonctionnements. « Les pannes touchent tous les appareils électroniques y compris les nôtres, mais on fait tout notre possible pour les réparer à temps» ,proteste un responsable de ladite entreprise. Il affirme que la société a engagé six équipes de techniciens qui sillonnent les parkings à bord de vélomoteurs pour réparer les machines hors service.
Cette manière de procéder rend impossible la vérification du nombre exact d'horodateurs en panne. Les responsables de l'entreprise affirment que les gardiens chargés de contrôler les stationnements attendent un délai de 10 à 15 minutes avant de mettre un sabot à un véhicule qui ne dispose pas d'un billet de stationnement. Ce laps de temps, disent-ils, permet de vérifier si l'automobiliste est allé ou non chercher un ticket ou faire de la monnaie. Une fois ce temps passé, les gardiens immobilisent la voiture parce que le stationnement est illégal. Entre les dires des uns et ceux des autres, la vérité semble noyée.
Mais pour l'intérêt de tout le monde, il serait judicieux que l'entreprise procède au changement des horodateurs et pourquoi pas installer des appareils de pointage sans pièces. Comme les Casablancais ne peuvent pas se passer de leurs voitures pour aller au travail ,faute de moyens de transport en commun adéquats, les horodateurs semblent avoir un bon avenir devant eux. Tout nouveau investissement dans de nouveaux appareils reste rentable et par conséquent justifié.
Fouad B, employé de banque, affirme lui avoir vécu plusieurs mésaventures avec les horodateurs. Selon ses dires, il a dû à plusieurs reprises faire le tour de six à sept appareils avant d'en trouver un qui fonctionne. Les usagers se plaignent du temps qu'ils perdent à la recherche d'un ticket. Ce qui, affirment-ils, les mènent très souvent en retard au travail.
Certains automobilistes poussent leur colère encore plus loin. C'est le cas de Zineb R, gérante de société. Elle s'en prend directement à la société gestionnaire des parkings. La jeune femme, la rage au cœur, affirme que l'entreprise en question laisse délibérément les horodateurs en panne puisque, dit-elle, les revenus engendrés par les procès verbaux dépassent de loin les recettes encaissées légalement.
Certains vont jusqu'à dire que c'est un système mis en place par la société gérante. La société qui gère les parkings reconnaît l'existence de quelques dysfonctionnements. « Les pannes touchent tous les appareils électroniques y compris les nôtres, mais on fait tout notre possible pour les réparer à temps» ,proteste un responsable de ladite entreprise. Il affirme que la société a engagé six équipes de techniciens qui sillonnent les parkings à bord de vélomoteurs pour réparer les machines hors service.
Cette manière de procéder rend impossible la vérification du nombre exact d'horodateurs en panne. Les responsables de l'entreprise affirment que les gardiens chargés de contrôler les stationnements attendent un délai de 10 à 15 minutes avant de mettre un sabot à un véhicule qui ne dispose pas d'un billet de stationnement. Ce laps de temps, disent-ils, permet de vérifier si l'automobiliste est allé ou non chercher un ticket ou faire de la monnaie. Une fois ce temps passé, les gardiens immobilisent la voiture parce que le stationnement est illégal. Entre les dires des uns et ceux des autres, la vérité semble noyée.
Mais pour l'intérêt de tout le monde, il serait judicieux que l'entreprise procède au changement des horodateurs et pourquoi pas installer des appareils de pointage sans pièces. Comme les Casablancais ne peuvent pas se passer de leurs voitures pour aller au travail ,faute de moyens de transport en commun adéquats, les horodateurs semblent avoir un bon avenir devant eux. Tout nouveau investissement dans de nouveaux appareils reste rentable et par conséquent justifié.
