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Selon les personnes à l'accueil, entre 600 et 700 jeunes se sont présentés entre dimanche 5 et lundi 6 septembre de toutes les villes du Royaume. A l'entrée de la salle, un calme apaisant ; un responsable nous prie de ne pas faire de bruit afin de ne pas déranger les candidats. La première salle est séparée de la salle d'attente par un paravent. Trois personnes constituent le jury. Dans la seconde, Roulla Sâad, directrice et coordinatrice de la Star Academy. Veillant à la confidentialité, elle se refuse à tout commentaire.
Dès que les quelques marches qui séparent les deux salles de la grande cour de ce palace sont dépassées, une ambiance de gaieté mêlée à l'angoisse et au trac. Des filles et des garçons attendent avec impatience leur tour tandis que d'autres remplissent le formulaire. Les moins chanceux attendent qu'on leur permette de rentrer car tantôt le responsable demande aux agents de sécurité d'arrêter de faire rentrer les candidats, tantôt il leur permet de remplir la fiche.
Dès qu'un jeune dépasse la porte d'entrée, il pousse un soupir de soulagement. Il est content parce qu'il a passé sans problème la première barrière. Ensuite, c'est une fiche de renseignements de 7 pages qu'il devra remplir et qui contient plusieurs questions sur l'état civil du participant, le niveau d'étude, l'état de santé et le côté artistique de la personne. Suite à quoi, un numéro lui est attribué sur une liste de chanteurs. Une responsable à l'accueil nous explique que dans la liste présentée, il faut au moins choisir une chanson, l'autre émane d'un choix personnel. Warda, Nancy Aghram, Fayrouz, Chirine et Najwa Karam pour les jeunes filles et Saber Roubai, Tony Hana, Amr Diab, Talal Salama et Abdelhalim pour les jeunes hommes. Des chanteurs arabes certes mais des répertoires qui varient entre le classique et la musique moderne.
«Je ne sais pas chanter, je suis là pour danser et je maîtrise la musique Latine», explique un jeune homme de 18 ans, un look branché et un trac qu'il a du mal à cacher.
Lamia a 21 ans, elle arrive quelques minutes avant la fin de la candidature. « Mon grand-père est mourant, c'est pour cela que j'ai pris du retard. Il est entre la vie et la mort », explique cette dernière tristement. Elle se ressaisit, oublie sa tristesse le temps de remplir la fiche et continue « J'ai déjà essayé de participer à Studio 2m. Mais ça a été un échec non pas au niveau de ma participation puisque je n'ai pas chanté mais il y avait tellement de monde qu'atteindre l'entrée relevait de l'utopie ».
Lamia est hôtesse de l'air, elle vient d'achever son stage et attend de trouver un poste entre temps ; sûre de sa voix et de ce qu'elle peut donner dans ce domaine, elle a répondu présente à l'annonce concernant le casting de la Star Académie au Maroc.
Les filles affichent plus d'engouement que les garçons. Meriama, 20 ans, est diplômée en tourisme, ses parents ne savent pas qu'elle participe au casting «je ne voulais pas brûler les étapes. Si c'est positif, ils seront les premiers à être au courant».
Marrakech, Taourirt, Sefrou, Lâayoune, Tan Tan, Oujda…des candidats qui ont fait le déplacement de toutes les régions du Maroc pour tenter leur chance et, pourquoi pas, réaliser un rêve et vivre l'expérience de Sofia Merikh qui, même si elle n'a pas atteint la finale, a vécu une belle expérience selon ses paroles. Le nombre des candidats qui seront choisis n'a pas encore été déterminé. D'après l'un des membres du jury « tout ce décidera au Liban, et les candidats retenus devront se produire devant un jury de sept personnes». Un engouement se lit sur les visages des candidats. Toutefois, ils essayent de ne pas se voiler la face, car ils sont conscients que le Maroc ne constitue qu'une étape de la tournée de la Star Académie dans les pays arabes.
Dès que les quelques marches qui séparent les deux salles de la grande cour de ce palace sont dépassées, une ambiance de gaieté mêlée à l'angoisse et au trac. Des filles et des garçons attendent avec impatience leur tour tandis que d'autres remplissent le formulaire. Les moins chanceux attendent qu'on leur permette de rentrer car tantôt le responsable demande aux agents de sécurité d'arrêter de faire rentrer les candidats, tantôt il leur permet de remplir la fiche.
Dès qu'un jeune dépasse la porte d'entrée, il pousse un soupir de soulagement. Il est content parce qu'il a passé sans problème la première barrière. Ensuite, c'est une fiche de renseignements de 7 pages qu'il devra remplir et qui contient plusieurs questions sur l'état civil du participant, le niveau d'étude, l'état de santé et le côté artistique de la personne. Suite à quoi, un numéro lui est attribué sur une liste de chanteurs. Une responsable à l'accueil nous explique que dans la liste présentée, il faut au moins choisir une chanson, l'autre émane d'un choix personnel. Warda, Nancy Aghram, Fayrouz, Chirine et Najwa Karam pour les jeunes filles et Saber Roubai, Tony Hana, Amr Diab, Talal Salama et Abdelhalim pour les jeunes hommes. Des chanteurs arabes certes mais des répertoires qui varient entre le classique et la musique moderne.
«Je ne sais pas chanter, je suis là pour danser et je maîtrise la musique Latine», explique un jeune homme de 18 ans, un look branché et un trac qu'il a du mal à cacher.
Lamia a 21 ans, elle arrive quelques minutes avant la fin de la candidature. « Mon grand-père est mourant, c'est pour cela que j'ai pris du retard. Il est entre la vie et la mort », explique cette dernière tristement. Elle se ressaisit, oublie sa tristesse le temps de remplir la fiche et continue « J'ai déjà essayé de participer à Studio 2m. Mais ça a été un échec non pas au niveau de ma participation puisque je n'ai pas chanté mais il y avait tellement de monde qu'atteindre l'entrée relevait de l'utopie ».
Lamia est hôtesse de l'air, elle vient d'achever son stage et attend de trouver un poste entre temps ; sûre de sa voix et de ce qu'elle peut donner dans ce domaine, elle a répondu présente à l'annonce concernant le casting de la Star Académie au Maroc.
Les filles affichent plus d'engouement que les garçons. Meriama, 20 ans, est diplômée en tourisme, ses parents ne savent pas qu'elle participe au casting «je ne voulais pas brûler les étapes. Si c'est positif, ils seront les premiers à être au courant».
Marrakech, Taourirt, Sefrou, Lâayoune, Tan Tan, Oujda…des candidats qui ont fait le déplacement de toutes les régions du Maroc pour tenter leur chance et, pourquoi pas, réaliser un rêve et vivre l'expérience de Sofia Merikh qui, même si elle n'a pas atteint la finale, a vécu une belle expérience selon ses paroles. Le nombre des candidats qui seront choisis n'a pas encore été déterminé. D'après l'un des membres du jury « tout ce décidera au Liban, et les candidats retenus devront se produire devant un jury de sept personnes». Un engouement se lit sur les visages des candidats. Toutefois, ils essayent de ne pas se voiler la face, car ils sont conscients que le Maroc ne constitue qu'une étape de la tournée de la Star Académie dans les pays arabes.
