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Par deux fois, les olympiens de Tunisie, supérieurs physiquement et tactiquement, ont réussi à prendre en défaut la défense marocaine. Et par deux fois, c'était sur des erreurs défensives impardonnables. C'est le flanc droit de la défense marocaine qui a montré des signes de faiblesse certains.
Le défenseur droit, en dépit de toute la bonne volonté du monde, n'a pas réussi à déposséder l'attaquant tunisien jedidi du ballon, bien planté sur ses jambes. Ce dernier, avec beaucoup de sang-froid et de maîtrise et dans une position difficile, loba le gardien marocain, et à peine sortis de leur torpeur, les hommes de Mustapha Madih vont recevoir un nouveau coup de massue sous forme d'un beau heading de Issam Mardassi, qui catapulte le ballon au fond des filets de Omar Charef, impuissant.
Les Tunisiens, avec l'avantage de recevoir chez eux, ont tout de go pris leurs adversaires à la gorge. Le coach tunisien, Khemis Labidi, va établir une stratégie qui donna ses fruits, presque tout au long de la rencontre. Connaissant parfaitement l'adresse des joueurs nationaux ballon au pied, il a réduit tous les espaces. S'obstinant à vouloir passer par le milieu, les équipiers de Bouabid Bouden, se heurtèrent à une défense hermétique où la tour Issam Mardassi contrôlait tout.
Allaoui auquel tient étrangement le coach Madih était inefficace car esseulé ! Le sélectionneur national se rendra compte de cette lacune et mettra ainsi Allaoui au repos lui préférant Bouchaïb Lembarki.
Dans cet ordre d'idées, les autres remplacements respectivement de Omar Charef et Marouane Zemmama par Lemyaghri et Akkal vont donner un autre ton au match. Les joueurs nationaux, piqués au vif, vont réagir par l'intenable Bouabid Bouden qui, marqué de très près, va quand même trouver la faille en deux temps. La première fois à la 74e et la seconde à la … 90e. un nul qui rassure Madih mais qui lui donne une idée sur les lacunes à combler avant les JO. Là-bas, les erreurs se paient cash !
Le défenseur droit, en dépit de toute la bonne volonté du monde, n'a pas réussi à déposséder l'attaquant tunisien jedidi du ballon, bien planté sur ses jambes. Ce dernier, avec beaucoup de sang-froid et de maîtrise et dans une position difficile, loba le gardien marocain, et à peine sortis de leur torpeur, les hommes de Mustapha Madih vont recevoir un nouveau coup de massue sous forme d'un beau heading de Issam Mardassi, qui catapulte le ballon au fond des filets de Omar Charef, impuissant.
Les Tunisiens, avec l'avantage de recevoir chez eux, ont tout de go pris leurs adversaires à la gorge. Le coach tunisien, Khemis Labidi, va établir une stratégie qui donna ses fruits, presque tout au long de la rencontre. Connaissant parfaitement l'adresse des joueurs nationaux ballon au pied, il a réduit tous les espaces. S'obstinant à vouloir passer par le milieu, les équipiers de Bouabid Bouden, se heurtèrent à une défense hermétique où la tour Issam Mardassi contrôlait tout.
Allaoui auquel tient étrangement le coach Madih était inefficace car esseulé ! Le sélectionneur national se rendra compte de cette lacune et mettra ainsi Allaoui au repos lui préférant Bouchaïb Lembarki.
Dans cet ordre d'idées, les autres remplacements respectivement de Omar Charef et Marouane Zemmama par Lemyaghri et Akkal vont donner un autre ton au match. Les joueurs nationaux, piqués au vif, vont réagir par l'intenable Bouabid Bouden qui, marqué de très près, va quand même trouver la faille en deux temps. La première fois à la 74e et la seconde à la … 90e. un nul qui rassure Madih mais qui lui donne une idée sur les lacunes à combler avant les JO. Là-bas, les erreurs se paient cash !
