Les différents jury qui l'ont primé y ont décelé " une poésie et une sensibilité particulières, une sincérité et un ton juste ".
Les publics, qui, à travers le monde, ont apprécié ce film, ont aimé tout particulièrement le jeu des acteurs, les superbes images et une histoire qui transgresse la notion de frontières.
Les critiques, de leur côté, ont salué la naissance d'un réalisateur de talent et d'une fiction particulièrement prenante. Cette histoire de trois passions, de trois destins, de trois désillusions illustre, comme le dit si bien le réalisateur, "la difficulté énorme de vivre au Maroc où même les rêves les plus simples deviennent difficiles à réaliser".
Les combat, les songes de ces personnes, qui aspirent à des lendemains meilleurs, seront confrontés à la dure réalité du quotidien. "Dans ce film, j'ai tenu à montrer la société marocaine dans sa diversité ethnologique et linguistique, il y a des berbères, des arabes, des citadins, des ruraux, des sahraouis, il y a la langue arabe et le berbère.
Dans cette diversité, il y a des petites gens qui ont de petits rêves qu'ils ne peuvent pas réaliser. Et c'est ça le drame de notre pays. Les gens trouvent beaucoup de difficultés à s'épanouir, et quand on ne peut pas s'épanouir dans son propre pays, il est difficile de l'aimer", confiait-il, dans nos colonnes, à la veille de la sortie officielle dans les salles casablancaises, de son film.
Mohamed Asli avoue, pourtant, porter un grand amour pour son pays, le Maroc. "A Casablanca, les anges ne volent pas" en est une preuve éclatante.
Les publics, qui, à travers le monde, ont apprécié ce film, ont aimé tout particulièrement le jeu des acteurs, les superbes images et une histoire qui transgresse la notion de frontières.
Les critiques, de leur côté, ont salué la naissance d'un réalisateur de talent et d'une fiction particulièrement prenante. Cette histoire de trois passions, de trois destins, de trois désillusions illustre, comme le dit si bien le réalisateur, "la difficulté énorme de vivre au Maroc où même les rêves les plus simples deviennent difficiles à réaliser".
Les combat, les songes de ces personnes, qui aspirent à des lendemains meilleurs, seront confrontés à la dure réalité du quotidien. "Dans ce film, j'ai tenu à montrer la société marocaine dans sa diversité ethnologique et linguistique, il y a des berbères, des arabes, des citadins, des ruraux, des sahraouis, il y a la langue arabe et le berbère.
Dans cette diversité, il y a des petites gens qui ont de petits rêves qu'ils ne peuvent pas réaliser. Et c'est ça le drame de notre pays. Les gens trouvent beaucoup de difficultés à s'épanouir, et quand on ne peut pas s'épanouir dans son propre pays, il est difficile de l'aimer", confiait-il, dans nos colonnes, à la veille de la sortie officielle dans les salles casablancaises, de son film.
Mohamed Asli avoue, pourtant, porter un grand amour pour son pays, le Maroc. "A Casablanca, les anges ne volent pas" en est une preuve éclatante.
