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Devant une salle comble constituée pour l'essentiel d'étudiants, Mme Nasri a tracé un aperçu succinct des actions de solidarité de la Fondation.
Avec sa verve habituelle et son souci de donner la meilleure approche à son exposé, Mme Nasri a remonté dans le temps pour rappeler des dates fondamentales dans l'existence et l'évolution d'une Fondation dédiée à la promotion du social et du développement durable.
Rappelant l'importance accordée par le Souverain à la solidarité et la place prépondérante qu'elle occupe dans ses discours et ses actions, Mme Nasri a insisté sur la stratégie et les objectifs développés, au fil des ans, par la Fondation.
La lutte contre l'exclusion, la redynamisation de la solidarité et la lutte contre la pauvreté sous ses différentes formes constituent, dès lors, les trois volets d'une action ciblée et qui s'inscrit dans le temps. La dynamique sociale enclenchée par la Fondation Mohammed V pour la solidarité, depuis sa création, a ainsi permis à des millions de personnes, des démunis du monde rural et urbain, de bénéficier d'une attention particulière. Les plus déshérités et les plus fragiles d'entre nous ne sont plus des laissées-pour-compte, des oubliés.
La solidarité sociale initiée par la Fondation Mohammed V pour la solidarité, a relevé Mme Nasri, a essentiellement pour but d'utiliser de la meilleure façon les actions de bienfaisance dans des activités économiques et sociales ciblées afin de permettre à la personne marginalisée de pouvoir s'intégrer harmonieusement dans la société, de pouvoir produire et travailler.
Pour ce faire, la Fondation Mohammed V pour la solidarité privilégie la scolarisation des petites filles en milieu rural, la lutte contre l'analphabétisme des adultes et la formation des jeunes filles et femmes pour qu'elles puissent devenir des productrices.
La Fondation, a expliqué Mme Nasri, fourni à ce moment-là des aides financières, tels que les micro-crédits, les instruments de travail et assure l'encadrement nécessaire de ces personnes dans leur environnement social immédiat, au sein de coopératives. C'est ce qui s'est passé récemment dans la région d'Al Haouz où des personnes vivant en totale démunution sont parvenues, grâce à l'aide et à l'expertise apportées par la Fondation, à se prendre en charge et à pouvoir s'assurer les conditions d'une vie décente. Le cas d'Al Haouz n'est pas unique.
Un peu partout dans le Royaume, la Fondation a ciblé des régions, a monté des projets fédérateurs et a permis à la population locale de s'impliquer davantage. Toutes les couches défavorisées de la société sont intéressées par les programmes de la Fondation qui accorde une attention particulière aux enfants en situation précaire, aux femmes démunis, aux handicapés et aux personnes âgées.
Les différentes opérations menées ces dernières années ont permis à toutes ces strates de la population de trouver les raisons d'espérer et les conditions pour une meilleure vie sociale. La lutte contre la déscolarisation de la jeune fille rurale et l'amélioration des conditions d'hébergement des étudiants démunis entrent dans ce même cadre. Pour atteindre ses objectifs, la Fondation a adopté une démarche consistant à privilégier "le faire faire", a expliqué Mme Nasri.
L'action humanitaire de la Fondation englobe également l'aide aux victimes des catastrophes naturelles et des victimes de conditions sociales difficiles. Ce fut le cas lors des inondations de Mohammédia, de Settat, etc. La Fondation apporte également son aide aux pays touchés par des séismes, des guerres et dont les populations vivent de manière précaire.
Les campagnes de solidarités initiées au cours du Ramadan ont permis à des millions de personnes, à travers le Royaume, de bénéficier d'aides alimentaires et de repas iftar.
Au cours de cet exposé suivi avec attention par des centaines d'étudiants, Mme Nasri a également mis l'accent sur l'importance accordée par le conseil d'administration à la transparence des comptes de cette organisation non gouvernementale dont les fonds proviennent uniquement des dons collectés lors de la campagne de solidarité.
Le plan d'action 2003-2007 de la Fondation, a souligné la Conseillère de S.M. le Roi va donner encore plus de priorité à la formation et à l'éducation, va cibler d'autres actions de proximité en milieu urbain, s'attachera au renforcement de l'humanitaire et au développement durable. Il englobera d'autres actions, tel que le lancement de la Banque alimentaire, le développement des caravanes médicales et la création d'un réseau de volontaires. Et c'est là que le rôle des jeunes devient vital car c'est à travers cette frange de la population que la solidarité et toutes les actions qui lui permettent de faire partie intégrante de notre vécu peuvent s'inscrire dans la pérennité.
Avec sa verve habituelle et son souci de donner la meilleure approche à son exposé, Mme Nasri a remonté dans le temps pour rappeler des dates fondamentales dans l'existence et l'évolution d'une Fondation dédiée à la promotion du social et du développement durable.
Rappelant l'importance accordée par le Souverain à la solidarité et la place prépondérante qu'elle occupe dans ses discours et ses actions, Mme Nasri a insisté sur la stratégie et les objectifs développés, au fil des ans, par la Fondation.
La lutte contre l'exclusion, la redynamisation de la solidarité et la lutte contre la pauvreté sous ses différentes formes constituent, dès lors, les trois volets d'une action ciblée et qui s'inscrit dans le temps. La dynamique sociale enclenchée par la Fondation Mohammed V pour la solidarité, depuis sa création, a ainsi permis à des millions de personnes, des démunis du monde rural et urbain, de bénéficier d'une attention particulière. Les plus déshérités et les plus fragiles d'entre nous ne sont plus des laissées-pour-compte, des oubliés.
La solidarité sociale initiée par la Fondation Mohammed V pour la solidarité, a relevé Mme Nasri, a essentiellement pour but d'utiliser de la meilleure façon les actions de bienfaisance dans des activités économiques et sociales ciblées afin de permettre à la personne marginalisée de pouvoir s'intégrer harmonieusement dans la société, de pouvoir produire et travailler.
Pour ce faire, la Fondation Mohammed V pour la solidarité privilégie la scolarisation des petites filles en milieu rural, la lutte contre l'analphabétisme des adultes et la formation des jeunes filles et femmes pour qu'elles puissent devenir des productrices.
La Fondation, a expliqué Mme Nasri, fourni à ce moment-là des aides financières, tels que les micro-crédits, les instruments de travail et assure l'encadrement nécessaire de ces personnes dans leur environnement social immédiat, au sein de coopératives. C'est ce qui s'est passé récemment dans la région d'Al Haouz où des personnes vivant en totale démunution sont parvenues, grâce à l'aide et à l'expertise apportées par la Fondation, à se prendre en charge et à pouvoir s'assurer les conditions d'une vie décente. Le cas d'Al Haouz n'est pas unique.
Un peu partout dans le Royaume, la Fondation a ciblé des régions, a monté des projets fédérateurs et a permis à la population locale de s'impliquer davantage. Toutes les couches défavorisées de la société sont intéressées par les programmes de la Fondation qui accorde une attention particulière aux enfants en situation précaire, aux femmes démunis, aux handicapés et aux personnes âgées.
Les différentes opérations menées ces dernières années ont permis à toutes ces strates de la population de trouver les raisons d'espérer et les conditions pour une meilleure vie sociale. La lutte contre la déscolarisation de la jeune fille rurale et l'amélioration des conditions d'hébergement des étudiants démunis entrent dans ce même cadre. Pour atteindre ses objectifs, la Fondation a adopté une démarche consistant à privilégier "le faire faire", a expliqué Mme Nasri.
L'action humanitaire de la Fondation englobe également l'aide aux victimes des catastrophes naturelles et des victimes de conditions sociales difficiles. Ce fut le cas lors des inondations de Mohammédia, de Settat, etc. La Fondation apporte également son aide aux pays touchés par des séismes, des guerres et dont les populations vivent de manière précaire.
Les campagnes de solidarités initiées au cours du Ramadan ont permis à des millions de personnes, à travers le Royaume, de bénéficier d'aides alimentaires et de repas iftar.
Au cours de cet exposé suivi avec attention par des centaines d'étudiants, Mme Nasri a également mis l'accent sur l'importance accordée par le conseil d'administration à la transparence des comptes de cette organisation non gouvernementale dont les fonds proviennent uniquement des dons collectés lors de la campagne de solidarité.
Le plan d'action 2003-2007 de la Fondation, a souligné la Conseillère de S.M. le Roi va donner encore plus de priorité à la formation et à l'éducation, va cibler d'autres actions de proximité en milieu urbain, s'attachera au renforcement de l'humanitaire et au développement durable. Il englobera d'autres actions, tel que le lancement de la Banque alimentaire, le développement des caravanes médicales et la création d'un réseau de volontaires. Et c'est là que le rôle des jeunes devient vital car c'est à travers cette frange de la population que la solidarité et toutes les actions qui lui permettent de faire partie intégrante de notre vécu peuvent s'inscrire dans la pérennité.
