le président américain George W. Bush a salué dimanche la bonne tenue et la forte participation de l'élection palestinienne "historique" de dimanche, et s'est déclaré prêt à travailler avec le vainqueur.
"Il s'agit d'une journée historique pour le peuple palestinien et pour les peuples du Proche-Orient", a affirmé M. Bush dans une déclaration publiée par la Maison Blanche après que les sondages sortie des urnes eurent donné Mahmoud Abbas largement gagnant.
"Je suis encouragé par la forte participation à l'élection palestinienne", a ajouté le Président américain.
Il a souligné que "les Palestiniens, à travers toute la Cisjordanie et Gaza, avaient franchi un pas pour construire un avenir démocratique en choisissant un nouveau président dans des élections que les observateurs décrivent comme largement libres et équitables".
"Les Etats-Unis se tiennent prêts à aider le peuple palestinien pour qu'il réalise ses aspirations", a ajouté M. Bush.
Mahmoud Abbas, candidat du principal mouvement palestinien, le Fatah, a été élu à une écrasante majorité président de l'Autorité palestinienne, selon les sondages sortie des urnes.
M. Abbas a proclamé sa victoire en la dédiant à la mémoire du leader historique de la cause palestinienne Yasser Arafat, décédé en novembre, à qui il succède.
M. Bush ne mentionne pas le nom de M. Abbas, dont la victoire très attendue n'était toutefois pas officielle lors de la publication de sa déclaration.
Mais il affirme que "le nouveau président palestinien et son cabinet font face à des tâches cruciales, notamment la lutte contre le terrorisme et la corruption, l'édification d'institutions réformées et démocratiques, et la revitalisation de l'économie palestinienne".
"Nous souhaitons travailler avec lui et avec le peuple palestinien pour répondre à ces défis et faire avancer la cause de la paix au Proche-Orient", avec pour perspective "deux Etats, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité", ajoute-t-il.
M. Bush demande également à Israkl "d'aider à l'amélioration de la situation humanitaire et économique" dans les territoires palestiniens, et de respecter son plan de désengagement de la bande de Gaza et des parties de la Cisjordanie.
Les pays arabes sont invités à oeuvrer à "un environnement régional propice à la paix", en soutenant financièrement les Palestiniens et en "refusant d'aider ou d'héberger des terroristes".
Alors qu'il est confronté aux délicates élections irakiennes prévues le 30 janvier, M. Bush affirme que le scrutin palestinien "est une preuve de plus que quand ils en ont le choix, tous les peuples veulent vivre en liberté et choisir leur propre gouvernement".
La mise à l'écart de Yasser Arafat était considérée par Washington comme une condition essentielle pour une relance d'un processus de paix israélo-palestinien.
M. Bush avait promis, après sa réélection début novembre, de faire d'une solution au conflit l'une des priorités de son second mandat, sans toutefois donner d'indications précises sur les efforts qu'il pourrait déployer.
Son secrétaire d'Etat Colin Powell a laissé entendre dimanche que Washington pourrait dépêcher un envoyé spécial dans la région, mais a rappelé que de précédentes initiatives de ce type n'avaient pas eu le succès espéré, et qu'une décision revenait en dernier lieu à M. Bush.
Il a précisé que les Etats-Unis pouvaient aussi accroître leur aide financière et aider les autorités palestiniennes à améliorer les forces de sécurité et à lutter contre la corruption.
"Il s'agit d'une journée historique pour le peuple palestinien et pour les peuples du Proche-Orient", a affirmé M. Bush dans une déclaration publiée par la Maison Blanche après que les sondages sortie des urnes eurent donné Mahmoud Abbas largement gagnant.
"Je suis encouragé par la forte participation à l'élection palestinienne", a ajouté le Président américain.
Il a souligné que "les Palestiniens, à travers toute la Cisjordanie et Gaza, avaient franchi un pas pour construire un avenir démocratique en choisissant un nouveau président dans des élections que les observateurs décrivent comme largement libres et équitables".
"Les Etats-Unis se tiennent prêts à aider le peuple palestinien pour qu'il réalise ses aspirations", a ajouté M. Bush.
Mahmoud Abbas, candidat du principal mouvement palestinien, le Fatah, a été élu à une écrasante majorité président de l'Autorité palestinienne, selon les sondages sortie des urnes.
M. Abbas a proclamé sa victoire en la dédiant à la mémoire du leader historique de la cause palestinienne Yasser Arafat, décédé en novembre, à qui il succède.
M. Bush ne mentionne pas le nom de M. Abbas, dont la victoire très attendue n'était toutefois pas officielle lors de la publication de sa déclaration.
Mais il affirme que "le nouveau président palestinien et son cabinet font face à des tâches cruciales, notamment la lutte contre le terrorisme et la corruption, l'édification d'institutions réformées et démocratiques, et la revitalisation de l'économie palestinienne".
"Nous souhaitons travailler avec lui et avec le peuple palestinien pour répondre à ces défis et faire avancer la cause de la paix au Proche-Orient", avec pour perspective "deux Etats, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité", ajoute-t-il.
M. Bush demande également à Israkl "d'aider à l'amélioration de la situation humanitaire et économique" dans les territoires palestiniens, et de respecter son plan de désengagement de la bande de Gaza et des parties de la Cisjordanie.
Les pays arabes sont invités à oeuvrer à "un environnement régional propice à la paix", en soutenant financièrement les Palestiniens et en "refusant d'aider ou d'héberger des terroristes".
Alors qu'il est confronté aux délicates élections irakiennes prévues le 30 janvier, M. Bush affirme que le scrutin palestinien "est une preuve de plus que quand ils en ont le choix, tous les peuples veulent vivre en liberté et choisir leur propre gouvernement".
La mise à l'écart de Yasser Arafat était considérée par Washington comme une condition essentielle pour une relance d'un processus de paix israélo-palestinien.
M. Bush avait promis, après sa réélection début novembre, de faire d'une solution au conflit l'une des priorités de son second mandat, sans toutefois donner d'indications précises sur les efforts qu'il pourrait déployer.
Son secrétaire d'Etat Colin Powell a laissé entendre dimanche que Washington pourrait dépêcher un envoyé spécial dans la région, mais a rappelé que de précédentes initiatives de ce type n'avaient pas eu le succès espéré, et qu'une décision revenait en dernier lieu à M. Bush.
Il a précisé que les Etats-Unis pouvaient aussi accroître leur aide financière et aider les autorités palestiniennes à améliorer les forces de sécurité et à lutter contre la corruption.
