Les travaux du Sommet Asie-Afrique ont pris fin hier soir à Jakarta, en présence des représentants de plus de 100 pays africains et asiatiques, dont le Premier ministre, M. Driss Jettou. Cette haute réunion de deux jours, organisée sous la co-présidence des chefs d'Etat indonésien et sud-africain, Susilo Bambang Yudhoyono et Thabo Mbeki, a été marquée par la signature de la déclaration relative au nouveau partenariat stratégique afro-asiatique.
Cette déclaration souligne la nécessité de consolider la solidarité politique et la coopération économique et de développer les échanges socio-culturels entre les pays africains et asiatiques.
Elle réaffirme également l'attachement des pays des deux continents aux principes de la Conférence de Bandung, tenue il y a 50 ans et qui a été à l'origine du Mouvement des non-alignés, du Groupe des 77 et de la coopération Sud-Sud. La protection des droits de l'Homme, le sous-développement, les réformes de l'ONU, les catastrophes naturelles, la coopération Asie-Afrique et les négociations au sein de l'Organisation mondiale du commerce ont été parmi les sujets qui ont retenu l'attention des participants, parmi lesquels figuraient plus de 50 chefs d'Etat et de gouvernement.
La déclaration de Jakarta souligne également la nécessité de soutenir le peuple palestinien pour la création d'un Etat viable et souverain et appelle a développer les relations socioculturelles afin d'ancrer une culture de paix et de tolérance entre les différents peuples. En outre, ce texte souligne l'importance de promouvoir le dialogue entre les civilisations afin de promouvoir une culture de paix, de tolérance et de respect.
Par ailleurs, cette déclaration souligne l'impératif de mener une action collective pour une répartition équitable des bénéfices de la mondialisation et de développer la coopération entre les pays africains et asiatiques dans tous les domaines Ce sommet a constitué également une occasion pour les participants d'exprimer leur solidarité et leur compassion avec les victimes du tsunami qui a frappé le 26 décembre 2004 plusieurs pays asiatiques, faisant des milliers de victimes. A cet égard, les participants à cette haute réunion ont convenu de développer un système d'alerte précoce pour prévenir en cas de catastrophes naturelles.
Par ailleurs, les pays asiatiques et africains se sont engagés à tenir un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement tous les quatre ans et une réunion des ministres des Affaires étrangères tous les deux ans.
Cette déclaration souligne la nécessité de consolider la solidarité politique et la coopération économique et de développer les échanges socio-culturels entre les pays africains et asiatiques.
Elle réaffirme également l'attachement des pays des deux continents aux principes de la Conférence de Bandung, tenue il y a 50 ans et qui a été à l'origine du Mouvement des non-alignés, du Groupe des 77 et de la coopération Sud-Sud. La protection des droits de l'Homme, le sous-développement, les réformes de l'ONU, les catastrophes naturelles, la coopération Asie-Afrique et les négociations au sein de l'Organisation mondiale du commerce ont été parmi les sujets qui ont retenu l'attention des participants, parmi lesquels figuraient plus de 50 chefs d'Etat et de gouvernement.
La déclaration de Jakarta souligne également la nécessité de soutenir le peuple palestinien pour la création d'un Etat viable et souverain et appelle a développer les relations socioculturelles afin d'ancrer une culture de paix et de tolérance entre les différents peuples. En outre, ce texte souligne l'importance de promouvoir le dialogue entre les civilisations afin de promouvoir une culture de paix, de tolérance et de respect.
Par ailleurs, cette déclaration souligne l'impératif de mener une action collective pour une répartition équitable des bénéfices de la mondialisation et de développer la coopération entre les pays africains et asiatiques dans tous les domaines Ce sommet a constitué également une occasion pour les participants d'exprimer leur solidarité et leur compassion avec les victimes du tsunami qui a frappé le 26 décembre 2004 plusieurs pays asiatiques, faisant des milliers de victimes. A cet égard, les participants à cette haute réunion ont convenu de développer un système d'alerte précoce pour prévenir en cas de catastrophes naturelles.
Par ailleurs, les pays asiatiques et africains se sont engagés à tenir un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement tous les quatre ans et une réunion des ministres des Affaires étrangères tous les deux ans.
