Il a demandé que l'accusé, un Maroco-Néerlandais de 18 ans, soit jugé selon le code pénal appliqué aux adultes bien qu'il eut 17 ans à l'époque des faits.
Le procureur a par ailleurs demandé à ce que le droit de vote et le droit de se présenter à une élection soient retirés à Samir Azzouz durant douze ans.
Vêtu d'un pantalon blanc, d'une longue tunique blanche et du calot blanc, Samir Azzouz est resté impassible à l'énoncé du réquisitoire.
Il a refusé de s'exprimer depuis le début de son procès.
Le procureur Roger Lambrichts a soutenu que des attentats avaient été évités de justesse grâce à l'arrestation de Samir Azzouz, le 30 juin 2004.
Des plans de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol, du Parlement ainsi que de la centrale nucléaire de Borssele (sud-ouest) avaient été retrouvés chez l'accusé.
Ce dernier aurait eu des contacts avec Mohammed Bouyeri, un autre Maroco-Néerlandais, accusé d'avoir assassiné le cinéaste Theo van Gogh le 2 novembre dernier à Amsterdam.
Samir Azzouz est également accusé de complicité dans un hold-up dans un supermarché de Rotterdam (sud-ouest) qui aurait visé à financer la lutte pour le Djihad (guerre sainte), selon le procureur.
La défense, qui n'a cessé de souligner la faiblesse des éléments à charge durant le procès, devait également plaider hier, mais la date du jugement n'était pas connue.
Le procureur a par ailleurs demandé à ce que le droit de vote et le droit de se présenter à une élection soient retirés à Samir Azzouz durant douze ans.
Vêtu d'un pantalon blanc, d'une longue tunique blanche et du calot blanc, Samir Azzouz est resté impassible à l'énoncé du réquisitoire.
Il a refusé de s'exprimer depuis le début de son procès.
Le procureur Roger Lambrichts a soutenu que des attentats avaient été évités de justesse grâce à l'arrestation de Samir Azzouz, le 30 juin 2004.
Des plans de l'aéroport d'Amsterdam-Schiphol, du Parlement ainsi que de la centrale nucléaire de Borssele (sud-ouest) avaient été retrouvés chez l'accusé.
Ce dernier aurait eu des contacts avec Mohammed Bouyeri, un autre Maroco-Néerlandais, accusé d'avoir assassiné le cinéaste Theo van Gogh le 2 novembre dernier à Amsterdam.
Samir Azzouz est également accusé de complicité dans un hold-up dans un supermarché de Rotterdam (sud-ouest) qui aurait visé à financer la lutte pour le Djihad (guerre sainte), selon le procureur.
La défense, qui n'a cessé de souligner la faiblesse des éléments à charge durant le procès, devait également plaider hier, mais la date du jugement n'était pas connue.
