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«Les réformes engagées par le Maroc sont impressionnantes»a affirmé Adam Ereli, porte-parole adjoint du département d'Etat, ajoutant que le Royaume qui est pionnier en matière de réformes, constitue pour d'autres pays un modèle à suivre.
Dans une interview à la MAP, M. Ereli a félicité les responsables marocains pour avoir engagé ces réformes, qui, a-t-il dit, sont dans l'intérêt du Maroc et des Marocains.
Après avoir affirmé que «le Maroc s'est résolument engagé sur la voie de la démocratie», le porte-parole a cité l'exemple du premier Forum de l'Avenir tenu au Maroc et au cours duquel les dirigeants politiques et d'organisations de la société civile, ainsi que des responsables d'entreprises de la région MENA se sont réunis pour débattre des moyens à même de faire des citoyens de cette région une force mobilisatrice pour le développement et pour que les gouvernements puissent promouvoir des changements «de façon progressive, stable, ouverte et transparente».
Les responsables marocains «sont en train de prendre des initiatives dans ce sens. Nous les félicitons, nous les saluons et nous estimons que c'est dans l'intérêt du Maroc. Ils le font pour le bien des Marocains», a-t-il dit. «Il est évident qu'il reste encore à faire», a-t-il dit, expliquant que cela s'applique au Maroc et à n'importe quel autre pays. «On peut dire cela des Etats-Unis et de tout autre pays», car, a-t-il ajouté, «les réformes, le changement et la modernisation sont un processus continu».
M. Ereli a, par ailleurs, noté que les Marocains se sont fortement impliqués dans le processus de réformes, notamment la révision de la Moudawana, la promotion des droits de la femme et la réforme du système judiciaire, dans «un climat de concertation qui a favorisé le changement au profit des Marocains».
Après avoir salué les efforts déployés par le Royaume en faveur des réformes économiques et de l'intégration dans l'économie moderne, M. Ereli a évoqué l'accord de libre-échange que le Maroc a conclu avec les Etats-Unis, expliquant que «sur le long terme, le Maroc va tirer profit (de cet accord) en termes de promotion des investissements étrangers et de prospérité pour le peuple marocain'».
«Il est certain que si d'autres pays suivent l'exemple du Maroc, nous allons voir dans la région (du Moyen Orient) une amélioration de l'activité économique qui va générer la richesse et la prospérité que tout le monde espère pour la région», a-t-il poursuivi, déplorant le volume insignifiant des échanges inter-arabes qu'il a attribué aux «institutions économiques et aux processus économiques obsolètes».
Après avoir rappelé que plusieurs économies des pays arabes restent hautement centralisées et contrôlées par l'Etat, M. Ereli a indiqué à cet égard que le Maroc fait figure de modèle de par les réformes qu'il a entreprises.
Concernant la Tunisie, qui va abriter le sommet mondial de la société de l'Information, le porte-parole adjoint du département d'Etat a d'autre part estimé que vu son rôle en tant que pays hôte, il est important qu'il se conforme aux standards internationaux concernant la liberté d'expression, la liberté de rassemblement et les droits humains fondamentaux.
M. Ereli, qui a exprimé ses préoccupations face à la situation des droits de l'homme en Tunisie, a souligné qu'il est important que les réalisations économiques accomplies dans ce pays soient accompagnées d'un progrès dans les réformes politiques et en matière de respect des droits de l'homme.
Dans une interview à la MAP, M. Ereli a félicité les responsables marocains pour avoir engagé ces réformes, qui, a-t-il dit, sont dans l'intérêt du Maroc et des Marocains.
Après avoir affirmé que «le Maroc s'est résolument engagé sur la voie de la démocratie», le porte-parole a cité l'exemple du premier Forum de l'Avenir tenu au Maroc et au cours duquel les dirigeants politiques et d'organisations de la société civile, ainsi que des responsables d'entreprises de la région MENA se sont réunis pour débattre des moyens à même de faire des citoyens de cette région une force mobilisatrice pour le développement et pour que les gouvernements puissent promouvoir des changements «de façon progressive, stable, ouverte et transparente».
Les responsables marocains «sont en train de prendre des initiatives dans ce sens. Nous les félicitons, nous les saluons et nous estimons que c'est dans l'intérêt du Maroc. Ils le font pour le bien des Marocains», a-t-il dit. «Il est évident qu'il reste encore à faire», a-t-il dit, expliquant que cela s'applique au Maroc et à n'importe quel autre pays. «On peut dire cela des Etats-Unis et de tout autre pays», car, a-t-il ajouté, «les réformes, le changement et la modernisation sont un processus continu».
M. Ereli a, par ailleurs, noté que les Marocains se sont fortement impliqués dans le processus de réformes, notamment la révision de la Moudawana, la promotion des droits de la femme et la réforme du système judiciaire, dans «un climat de concertation qui a favorisé le changement au profit des Marocains».
Après avoir salué les efforts déployés par le Royaume en faveur des réformes économiques et de l'intégration dans l'économie moderne, M. Ereli a évoqué l'accord de libre-échange que le Maroc a conclu avec les Etats-Unis, expliquant que «sur le long terme, le Maroc va tirer profit (de cet accord) en termes de promotion des investissements étrangers et de prospérité pour le peuple marocain'».
«Il est certain que si d'autres pays suivent l'exemple du Maroc, nous allons voir dans la région (du Moyen Orient) une amélioration de l'activité économique qui va générer la richesse et la prospérité que tout le monde espère pour la région», a-t-il poursuivi, déplorant le volume insignifiant des échanges inter-arabes qu'il a attribué aux «institutions économiques et aux processus économiques obsolètes».
Après avoir rappelé que plusieurs économies des pays arabes restent hautement centralisées et contrôlées par l'Etat, M. Ereli a indiqué à cet égard que le Maroc fait figure de modèle de par les réformes qu'il a entreprises.
Concernant la Tunisie, qui va abriter le sommet mondial de la société de l'Information, le porte-parole adjoint du département d'Etat a d'autre part estimé que vu son rôle en tant que pays hôte, il est important qu'il se conforme aux standards internationaux concernant la liberté d'expression, la liberté de rassemblement et les droits humains fondamentaux.
M. Ereli, qui a exprimé ses préoccupations face à la situation des droits de l'homme en Tunisie, a souligné qu'il est important que les réalisations économiques accomplies dans ce pays soient accompagnées d'un progrès dans les réformes politiques et en matière de respect des droits de l'homme.
