Le Matin : Ne voyez-vous pas que le projet de loi 04/04 relatif à l'urbanisme a trop tardé à voir le jour ?
Ahmed Toufik Hjira : On a terminé le débat article par article suite à la demande des députés en juillet avant la fête du Trône. On est aujourd'hui dans la phase de la préparation des amendements sauf que quelques partis politiques tardent encore à nous donner leur copie.
Cela ne m'étonne pas que ce projet de loi ait pris tout ce temps comme toutes les lois de l'urbanisme dans le monde. Je trouve cela logique. C'est de cette manière que les choses se passent. Quand il s'agit de l'urbanisme, on assiste toujours à un débat extrêmement profond.
La loi 04/04 doit normalement combler la période d'ici la date d'homologation du nouveau code de l'urbanisme lancé il y a quelques semaines. Sa phase de préparation doit durer au moins deux ans. Durant tout ce temps, on ne doit pas rester vide sur le plan de la maîtrise de l'urbanisme et de la lutte contre l'habitat insalubre. Il faut qu'on ait une loi qui remplisse cette phase de transition de deux ans qui est importante.
Prévoyez-vous des mécanismes pour la bonne application de cette loi, une fois en vigueur ?
Il faut que les partis politiques se mobilisent un peu avec nous. Maintenant, ils sont convaincus de cette loi. L'ensemble des formations des partis politiques se doivent de nous aider. Quand la loi sera promulguée, il est nécessaire de passer par une phase de communication et expliquer son contenu. Quand elle est bien assimilée par tous, il faut la mettre en œuvre. Il faut punir quand on enregistre des dépassements.
Que répondez-vous à ceux qui soulignent que les sanctions prévues par ce projet de loi sont trop sévères prévoyant même des peines privatives de liberté ?
Je suis un démocrate. Mais, je crois que parfois il faut punir sévèrement quand la loi est bafouée. La démocratie est une chose et le respect de la loi et les tendances de respect de loi doivent être sauvegardés. Quand la loi sort, il est impératif de la mettre en œuvre. Il ne faut pas hésiter à punir ceux qui la violent.
Ahmed Toufik Hjira : On a terminé le débat article par article suite à la demande des députés en juillet avant la fête du Trône. On est aujourd'hui dans la phase de la préparation des amendements sauf que quelques partis politiques tardent encore à nous donner leur copie.
Cela ne m'étonne pas que ce projet de loi ait pris tout ce temps comme toutes les lois de l'urbanisme dans le monde. Je trouve cela logique. C'est de cette manière que les choses se passent. Quand il s'agit de l'urbanisme, on assiste toujours à un débat extrêmement profond.
La loi 04/04 doit normalement combler la période d'ici la date d'homologation du nouveau code de l'urbanisme lancé il y a quelques semaines. Sa phase de préparation doit durer au moins deux ans. Durant tout ce temps, on ne doit pas rester vide sur le plan de la maîtrise de l'urbanisme et de la lutte contre l'habitat insalubre. Il faut qu'on ait une loi qui remplisse cette phase de transition de deux ans qui est importante.
Prévoyez-vous des mécanismes pour la bonne application de cette loi, une fois en vigueur ?
Il faut que les partis politiques se mobilisent un peu avec nous. Maintenant, ils sont convaincus de cette loi. L'ensemble des formations des partis politiques se doivent de nous aider. Quand la loi sera promulguée, il est nécessaire de passer par une phase de communication et expliquer son contenu. Quand elle est bien assimilée par tous, il faut la mettre en œuvre. Il faut punir quand on enregistre des dépassements.
Que répondez-vous à ceux qui soulignent que les sanctions prévues par ce projet de loi sont trop sévères prévoyant même des peines privatives de liberté ?
Je suis un démocrate. Mais, je crois que parfois il faut punir sévèrement quand la loi est bafouée. La démocratie est une chose et le respect de la loi et les tendances de respect de loi doivent être sauvegardés. Quand la loi sort, il est impératif de la mettre en œuvre. Il ne faut pas hésiter à punir ceux qui la violent.
