Les attentats du 11 mars 2004, les plus terribles attaques terroristes dans l'histoire de l'Espagne, avaient fait 192 morts et plus de 1500 blessés.
L'Espagne, rappelle-t-on, avait commémoré en mars dernier le souvenir de cette tragédie qui avait fait 191 morts et 1.900 blessés.
L'onde de choc des attentats du 11 mars 2004, dans ce pays confronté depuis 36 ans au terrorisme de l'organisation séparatiste basque de l'ETA, s'était propagée jusqu'aux urnes, où quatre jours plus tard, après des manifestations massives demandant «la vérité», les socialistes de José Luis Rodriguez Zapatero avaient remporté une victoire inattendue aux législatives.
Avec une participation massive et imprévue, les Espagnols sanctionnaient le gouvernement conservateur de José Maria Aznar, qui s'était acharné à attribuer les attentats à l'ETA, redoutant les effets électoraux de la piste islamiste, liée à son alignement pro-américain sur l'Irak.
L'Espagne, rappelle-t-on, avait commémoré en mars dernier le souvenir de cette tragédie qui avait fait 191 morts et 1.900 blessés.
L'onde de choc des attentats du 11 mars 2004, dans ce pays confronté depuis 36 ans au terrorisme de l'organisation séparatiste basque de l'ETA, s'était propagée jusqu'aux urnes, où quatre jours plus tard, après des manifestations massives demandant «la vérité», les socialistes de José Luis Rodriguez Zapatero avaient remporté une victoire inattendue aux législatives.
Avec une participation massive et imprévue, les Espagnols sanctionnaient le gouvernement conservateur de José Maria Aznar, qui s'était acharné à attribuer les attentats à l'ETA, redoutant les effets électoraux de la piste islamiste, liée à son alignement pro-américain sur l'Irak.
