Il y a 33 ans, le 20 avril 1972, naissait à Safi Brahim Boulami, qui va marquer de son empreinte l'athlétisme national et mondial.
Dès son jeune âge, Boulami dont le modèle et l'idole fut Saïd Aouita et, plus tard, Khalid Boulami qui joua un rôle prépondérant dans sa carrière sportive, s'adonna à l'athlétisme à l'Olympic sportif de Safi où il signa une licence en 1987.
Mais occupé par ses études au lycée, Boulami abandonna la pratique de son sport préféré jusqu'à l'obtention de son baccalauréat (sciences expérimentales) en 1990.
C'est à ce moment-là qu'il rejoignit l'INS Moulay Rachid pour les études et la pratique de l'athlétisme.
Ce fut le début d'une carrière aussi riche que mouvementée par une malheureuse affaire de dopage que Brahim a toujours réfutée.
Mais voyons de plus près les principales étapes du parcours de cet athlète qui a cruellement manqué de chance.
Dès 1995, Boulami s'illustrait par une victoire au 5000 m lors des Jeux universitaires.
La même année, il rejoint l'équipe nationale d'athlétisme après avoir réalisé le minima pour participer au championnat du monde au 3000 – steeple en réalisant le temps de 8 mm 20 s.
Cette même saison vit Boulami prendre part au championnat du monde de Goteborg en Suède avant de clôturer l'année 1996 par deux titres de champion du monde universitaire au Japon au 5000 m et au 3000 m steeple.
L'Etoile de Brahim Boulami continuera de briller et, au cours de l'année 1996, il participera aux Jeux olympiques d'Atlanta où il se classa septième.
Cette même saison, Brahim prit part au Grand Prix d'athlétisme.
L'année 1997, une médaille d'or au 3000m steeple aux Jeux méditerranéens de Bari est venue tomber dans l'escarcelle de cet athlète. La même saison, Boulami occupe la septième place dans cette distance au championnat du monde d'Athènes où il a battu par la même occasion son propre record (8 m 10 s).
En 1998 à New York, lors des jeux de la bonne volonté, il s'octroya la médaille de bronze. Cette même année fut riche en participations à diverses manifestations internationales. Une fracture de fatigue obligera Brahim Boulami à observer une année sabbatique.
En 2000, il battra par deux fois successives le record national et obtient la seconde meilleure performance mondiale de l'année sur sa distance de prédilection.
Brahim Boulami réussira, cette saison, à remporter la victoire lors des réunions de Rome, de Nice et de Monaco comptant par la Golden League.
En outre, Boulami occupera la septième place aux Jeux olympiques de Sydney. En 2001, cet athlète exceptionnel battra le record du 3000 m steeple à Bruxelles avant de remporter la victoire lors de la réunion de Zurich pour le compte de la Golden League. Cette même année sera marquée par une participation aux championnats du monde d'Edmonton au Canada. L'année 2002 sera triste pour Boulami qui remportera la victoire à Monaco et Stockholm avant de battre le record pour la seconde fois à Zurich.
Mais cette victoire sera entachée d'un grave incident puisque Boulami sera dépossédé de ce titre puis, après une longue série d'expertises et de contre-expertises, suspendu deux ans, ce qui l'a privé des Jeux olympiques d'Athènes.
Mais malgré ce coup du sort, Boulami qui s'est toujours déclaré innocent, a poursuivi ses entraînements et a repris la compétition en 2004 à Bruxelles où il a réussi à réaliser la troisième meilleure performance de l'année (8 mm 02s). Une médaille d'or aux Jeux Panarabes d'Alger est venue confirmer le retour en force de Boulami.
En cross-country, Boulami, en compagnie de l'équipe nationale, a remporté à quatre reprises la médaille d'argent à Cap – Town (96), Torino (97), Marrakech (98), et Ostende (2001).
Dès son jeune âge, Boulami dont le modèle et l'idole fut Saïd Aouita et, plus tard, Khalid Boulami qui joua un rôle prépondérant dans sa carrière sportive, s'adonna à l'athlétisme à l'Olympic sportif de Safi où il signa une licence en 1987.
Mais occupé par ses études au lycée, Boulami abandonna la pratique de son sport préféré jusqu'à l'obtention de son baccalauréat (sciences expérimentales) en 1990.
C'est à ce moment-là qu'il rejoignit l'INS Moulay Rachid pour les études et la pratique de l'athlétisme.
Ce fut le début d'une carrière aussi riche que mouvementée par une malheureuse affaire de dopage que Brahim a toujours réfutée.
Mais voyons de plus près les principales étapes du parcours de cet athlète qui a cruellement manqué de chance.
Dès 1995, Boulami s'illustrait par une victoire au 5000 m lors des Jeux universitaires.
La même année, il rejoint l'équipe nationale d'athlétisme après avoir réalisé le minima pour participer au championnat du monde au 3000 – steeple en réalisant le temps de 8 mm 20 s.
Cette même saison vit Boulami prendre part au championnat du monde de Goteborg en Suède avant de clôturer l'année 1996 par deux titres de champion du monde universitaire au Japon au 5000 m et au 3000 m steeple.
L'Etoile de Brahim Boulami continuera de briller et, au cours de l'année 1996, il participera aux Jeux olympiques d'Atlanta où il se classa septième.
Cette même saison, Brahim prit part au Grand Prix d'athlétisme.
L'année 1997, une médaille d'or au 3000m steeple aux Jeux méditerranéens de Bari est venue tomber dans l'escarcelle de cet athlète. La même saison, Boulami occupe la septième place dans cette distance au championnat du monde d'Athènes où il a battu par la même occasion son propre record (8 m 10 s).
En 1998 à New York, lors des jeux de la bonne volonté, il s'octroya la médaille de bronze. Cette même année fut riche en participations à diverses manifestations internationales. Une fracture de fatigue obligera Brahim Boulami à observer une année sabbatique.
En 2000, il battra par deux fois successives le record national et obtient la seconde meilleure performance mondiale de l'année sur sa distance de prédilection.
Brahim Boulami réussira, cette saison, à remporter la victoire lors des réunions de Rome, de Nice et de Monaco comptant par la Golden League.
En outre, Boulami occupera la septième place aux Jeux olympiques de Sydney. En 2001, cet athlète exceptionnel battra le record du 3000 m steeple à Bruxelles avant de remporter la victoire lors de la réunion de Zurich pour le compte de la Golden League. Cette même année sera marquée par une participation aux championnats du monde d'Edmonton au Canada. L'année 2002 sera triste pour Boulami qui remportera la victoire à Monaco et Stockholm avant de battre le record pour la seconde fois à Zurich.
Mais cette victoire sera entachée d'un grave incident puisque Boulami sera dépossédé de ce titre puis, après une longue série d'expertises et de contre-expertises, suspendu deux ans, ce qui l'a privé des Jeux olympiques d'Athènes.
Mais malgré ce coup du sort, Boulami qui s'est toujours déclaré innocent, a poursuivi ses entraînements et a repris la compétition en 2004 à Bruxelles où il a réussi à réaliser la troisième meilleure performance de l'année (8 mm 02s). Une médaille d'or aux Jeux Panarabes d'Alger est venue confirmer le retour en force de Boulami.
En cross-country, Boulami, en compagnie de l'équipe nationale, a remporté à quatre reprises la médaille d'argent à Cap – Town (96), Torino (97), Marrakech (98), et Ostende (2001).
