Cette exposition présente Ifni et ses habitants à travers les quatre regards d'Aziz Zarban et Hamid Zoufri tous deux Ifnaouis, et Alain Burosse et Sylvie Bernard, tous deux Français amoureux d'Ifni, à travers plusieurs techniques (argentique, numérique, polaroïds, photos grattées) qui reflètent l'éclectisme artistique de l'image photo.
«Là où un voyageur pressé pourrait ne voir à Sidi Ifni qu'une ville baignant dans la langueur entre désert et océan, celui qui sera sensible à son ambiance magnétique découvrira une cité dont le riche passé de cultures métissées s'ouvre désormais sur l'avenir», commente l'artiste photographe A.Burosse.
L'IF d'Agadir offre également au public gadiri l'opportunité de pouvoir apprécier les chansons de Georges Brassens grâce au concert du duo Joël Favreau et Jean-Jacques Franchin qui interpréteront fidèlement et chaleureusement des chansons du «Maître». La voix est chaude et bien timbrée, la guitare alerte et l'accordéon qui lui répond, rendent ensemble justice à une musicalité que l'on a plaisir à redécouvrir.
«Salut Brassens» est une fête, et chaque spectacle s'achève dans un enthousiasme ému, car il invite les spectateurs à reprendre avec lui les morceaux. Personne ne s'en prive et, miracle, les paroles reviennent aux lèvres de tous.
Ce concert aura lieu dans la soirée du vendredi 13 mai au Théâtre de verdure de l'IFA. Sur cette même esplanade sera jouée, mercredi 25 mai, la pièce théâtrale intitulée «Angiola ou les bonnes ménagères» de Carlo Goldoni, mise en scène de Khaled Tamer, par la Cie Graines de Soleil.
Après le plaisir et l'enthousiasme partagés lors de leur tournée de «l'Avare» au Maroc, la Cie Graines de Soleil renouvelle l'expérience, pilotée par l'Institut français de Marrakech avec le soutien du Service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France au Maroc.
«Angiola ou les bonnes ménagères» est une œuvre chorale de femmes où Goldoni, à travers la vivacité du langage, représente l'humble poésie de la vie populaire.
Au travers de femmes qui commandent leur mari, la pièce montre qu'elles peuvent trouver les armes nécessaires et renverser la relation de dépendance malgré le contexte social. Pour une fois, le «beau rôle» est confié à une femme, et le spectacle ouvre le débat. Les rapports entre les personnages, les caractères âpres, la drôlerie des situations et les résonances contemporaines de la pièce réveilleront sans doute ce qui trace un lien universel entre tous les publics du monde.
Puisant aux origines du théâtre festif, la mise en scène de Khaled Tamer est brillamment portée par une équipe artistique plurielle (français et marocains), «passeurs» d'une langue originale, fruit d'un frottement des cultures. L'Institut présentera mardi 14 juin une autre pièce théâtrale intitulée «Un songe, une nuit d'été…», d'après William Shakespeare, mise en scène par Pauline Bureau. Dans cette pièce théâtrale, chaque personnage rêve sa nuit et le théâtre fait se croiser les songes. La forêt se révèle semblable à un gigantesque kaléidoscope de fantasmes, de désirs et de pulsions. Le lundi 13 juin aura lieu une rencontre-lecture «hors les murs» avec l'équipe artistique qui présentera un choix de textes qui les a guidés dans leur approche de «Un songe, une nuit d'été…».
Dans le domaine de l'édition, Abdallah El Mountassir, vient, jeudi 26 mai à la salle polyvalente, présenter au public de l'Institut français d'Agadir son ouvrage intitulé «Amarg», édité chez l'Harmattan. Ce livre contient des chants et de la poésie amazighs. Les textes de cet ouvrage ont été recueillis dans l'aire géographique comprise entre la partie occidentale du Haut-Atlas, la plaine du Souss et le versant ouest de l'Anti-Atlas.
«Là où un voyageur pressé pourrait ne voir à Sidi Ifni qu'une ville baignant dans la langueur entre désert et océan, celui qui sera sensible à son ambiance magnétique découvrira une cité dont le riche passé de cultures métissées s'ouvre désormais sur l'avenir», commente l'artiste photographe A.Burosse.
L'IF d'Agadir offre également au public gadiri l'opportunité de pouvoir apprécier les chansons de Georges Brassens grâce au concert du duo Joël Favreau et Jean-Jacques Franchin qui interpréteront fidèlement et chaleureusement des chansons du «Maître». La voix est chaude et bien timbrée, la guitare alerte et l'accordéon qui lui répond, rendent ensemble justice à une musicalité que l'on a plaisir à redécouvrir.
«Salut Brassens» est une fête, et chaque spectacle s'achève dans un enthousiasme ému, car il invite les spectateurs à reprendre avec lui les morceaux. Personne ne s'en prive et, miracle, les paroles reviennent aux lèvres de tous.
Ce concert aura lieu dans la soirée du vendredi 13 mai au Théâtre de verdure de l'IFA. Sur cette même esplanade sera jouée, mercredi 25 mai, la pièce théâtrale intitulée «Angiola ou les bonnes ménagères» de Carlo Goldoni, mise en scène de Khaled Tamer, par la Cie Graines de Soleil.
Après le plaisir et l'enthousiasme partagés lors de leur tournée de «l'Avare» au Maroc, la Cie Graines de Soleil renouvelle l'expérience, pilotée par l'Institut français de Marrakech avec le soutien du Service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France au Maroc.
«Angiola ou les bonnes ménagères» est une œuvre chorale de femmes où Goldoni, à travers la vivacité du langage, représente l'humble poésie de la vie populaire.
Au travers de femmes qui commandent leur mari, la pièce montre qu'elles peuvent trouver les armes nécessaires et renverser la relation de dépendance malgré le contexte social. Pour une fois, le «beau rôle» est confié à une femme, et le spectacle ouvre le débat. Les rapports entre les personnages, les caractères âpres, la drôlerie des situations et les résonances contemporaines de la pièce réveilleront sans doute ce qui trace un lien universel entre tous les publics du monde.
Puisant aux origines du théâtre festif, la mise en scène de Khaled Tamer est brillamment portée par une équipe artistique plurielle (français et marocains), «passeurs» d'une langue originale, fruit d'un frottement des cultures. L'Institut présentera mardi 14 juin une autre pièce théâtrale intitulée «Un songe, une nuit d'été…», d'après William Shakespeare, mise en scène par Pauline Bureau. Dans cette pièce théâtrale, chaque personnage rêve sa nuit et le théâtre fait se croiser les songes. La forêt se révèle semblable à un gigantesque kaléidoscope de fantasmes, de désirs et de pulsions. Le lundi 13 juin aura lieu une rencontre-lecture «hors les murs» avec l'équipe artistique qui présentera un choix de textes qui les a guidés dans leur approche de «Un songe, une nuit d'été…».
Dans le domaine de l'édition, Abdallah El Mountassir, vient, jeudi 26 mai à la salle polyvalente, présenter au public de l'Institut français d'Agadir son ouvrage intitulé «Amarg», édité chez l'Harmattan. Ce livre contient des chants et de la poésie amazighs. Les textes de cet ouvrage ont été recueillis dans l'aire géographique comprise entre la partie occidentale du Haut-Atlas, la plaine du Souss et le versant ouest de l'Anti-Atlas.