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Cette édition, remportée par les Nigérians vainqueurs (2-0) en finale des tenants du titre, les Egyptiens, a été ainsi une occasion pour les équipes de faire l'étalage de leurs qualités techniques et physiques, séduisant les spécialistes et les observateurs qui ont apprécié la qualité du spectacle produit par les futurs cadres des sélections nationales.
Sur terre béninoise, les Lionceaux de l'Atlas, sous la houlette d'un magnifique Fethi Jamal, ont été au rendez-vous méritant tout le bien que le public marocain pensait d'eux. Fidèles à leur réputation de bons techniciens, les joueurs marocains ont tenu la dragée haute à des adversaires bien préparés et décidés à ne pas se laisser faire.
Ainsi, Youssef Rabeh, capitaine des Lionceaux de l'Atlas et son coéquipier Mohcine Iajour, sacré meilleur buteur de ce tournoi, ont réussi à attirer l'attention des managers de grands clubs étrangers, aux côtés de l'Egyptien Fadlallah Mahmoud, des Nigérians Okoronkwo Solomon, Ismaila Taiwo Taye, Ncheba Nathnaeli du Lesotho, de l'Angolais Estevao Ricardo ainsi que des Béninois Boco Romuald et Maiga Gariga, deuxième meilleur buteur de la compétition (3 buts).
Côté statistiques, 46 buts ont été inscrits au total, soit une moyenne de 3 buts par match. Un seul carton rouge a été sorti par les juges de centre.
C'était à l'adresse du Marocain Rachid Teberkanine avec un cumul de deux cartons jaunes. Même si son expulsion a été un peu sévère, étant étanchée par des fautes d'appréciation de l'arbitre.
Sur un autre plan, 87 cartons jaunes ont été distribués au cours de tous les matches de la compétition.
L'attaque la plus prolifique a été celle du Nigeria, avec 11 réalisations en cinq matches. Par contre, les Aiglons Verts n'ont encaissé que trois buts, se plaçant comme la meilleure défense, devant les Marocains dont les filets ont été secoués à quatre reprises.
D'autre part, le but du Béninois Maiga Gariga contre l'Egypte en demi-finale est le plus rapide du tournoi (2e minute de jeu). Cinq penalties ont été également sifflés lors de ce rendez-vous africain, dont quatre ont été victorieusement transformés.
Si la qualité du spectacle a été satisfaisante, certains aspects de l'organisation ont en quelque sorte gâché la fête, notamment l'état des pelouses des stades de l'Amitié de Roney Blouvane qui ont abrité les rencontres de cette compétition à Cotonou.
Les erreurs fatales de l'arbitrage et l'assassinat du jeune gardien de but de la sélection béninoise, Yessoufou Samiou "Campos", dès le premier jour du tournoi, ont suscité l'indignation des délégations et des observateurs qui regrettent que l'on parle de certaines choses considérées comme révolues sur le continent. En dépit des grands efforts déployés par le pays hôte, la tâche des journalistes accrédités n'a pas été de tout repos. A titre d'exemple, le courant a été à maintes reprises coupé dans le centre de presse. L'image du continent en a grandement pâti.
Sur terre béninoise, les Lionceaux de l'Atlas, sous la houlette d'un magnifique Fethi Jamal, ont été au rendez-vous méritant tout le bien que le public marocain pensait d'eux. Fidèles à leur réputation de bons techniciens, les joueurs marocains ont tenu la dragée haute à des adversaires bien préparés et décidés à ne pas se laisser faire.
Ainsi, Youssef Rabeh, capitaine des Lionceaux de l'Atlas et son coéquipier Mohcine Iajour, sacré meilleur buteur de ce tournoi, ont réussi à attirer l'attention des managers de grands clubs étrangers, aux côtés de l'Egyptien Fadlallah Mahmoud, des Nigérians Okoronkwo Solomon, Ismaila Taiwo Taye, Ncheba Nathnaeli du Lesotho, de l'Angolais Estevao Ricardo ainsi que des Béninois Boco Romuald et Maiga Gariga, deuxième meilleur buteur de la compétition (3 buts).
Côté statistiques, 46 buts ont été inscrits au total, soit une moyenne de 3 buts par match. Un seul carton rouge a été sorti par les juges de centre.
C'était à l'adresse du Marocain Rachid Teberkanine avec un cumul de deux cartons jaunes. Même si son expulsion a été un peu sévère, étant étanchée par des fautes d'appréciation de l'arbitre.
Sur un autre plan, 87 cartons jaunes ont été distribués au cours de tous les matches de la compétition.
L'attaque la plus prolifique a été celle du Nigeria, avec 11 réalisations en cinq matches. Par contre, les Aiglons Verts n'ont encaissé que trois buts, se plaçant comme la meilleure défense, devant les Marocains dont les filets ont été secoués à quatre reprises.
D'autre part, le but du Béninois Maiga Gariga contre l'Egypte en demi-finale est le plus rapide du tournoi (2e minute de jeu). Cinq penalties ont été également sifflés lors de ce rendez-vous africain, dont quatre ont été victorieusement transformés.
Si la qualité du spectacle a été satisfaisante, certains aspects de l'organisation ont en quelque sorte gâché la fête, notamment l'état des pelouses des stades de l'Amitié de Roney Blouvane qui ont abrité les rencontres de cette compétition à Cotonou.
Les erreurs fatales de l'arbitrage et l'assassinat du jeune gardien de but de la sélection béninoise, Yessoufou Samiou "Campos", dès le premier jour du tournoi, ont suscité l'indignation des délégations et des observateurs qui regrettent que l'on parle de certaines choses considérées comme révolues sur le continent. En dépit des grands efforts déployés par le pays hôte, la tâche des journalistes accrédités n'a pas été de tout repos. A titre d'exemple, le courant a été à maintes reprises coupé dans le centre de presse. L'image du continent en a grandement pâti.
