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Cela pourrait paraître compliqué, pourtant c'est bien simple. A la fin de chaque année, le total des cotisations versées à la CIMR est transformé en points selon une formule de calcul très simple :
Nombre de points = Total des cotisations / 6x salaire de référence..
Le dénominateur « 6x salaire de référence » correspond au prix d'acquisition du point. Le salaire de référence est un indice annuel calculé et communiqué par la CIMR.
D'année en années, les points accumulés s'additionnent et à l'âge de 60 ans, le total des points est multiplié par la valeur du point de liquidation pour obtenir le montant de la pension annuelle.
Pour encourager les salariés et les entreprises à constituer une retraite, l'Etat leur accorde des avantages fiscaux. Ainsi, la cotisation salariale est déduite du calcul de l'IGR et la contribution patronale est déduite de l'IS.
Il faut savoir que la retraite CIMR bénéficie d'une déductibilité fiscale. Cette déductibilité fiscale est d'autant plus avantageuse que le taux d'imposition marginal au titre de l'IGR est élevé.
Ainsi, pour un salaire imposé au taux de 44%, le salarié ne supporte réellement que 56% de sa cotisation à la CIMR. Pour sa part, l'employeur ne supporte en réalité que 65% des contributions, étant donné que le taux de l'IS (Impôts sur les Sociétés) est généralement de 35%.
De plus, au moment du départ en retraite, le retraité bénéficie d'un abattement de 40% avant le calcul de l'IGR.
Nombre de points = Total des cotisations / 6x salaire de référence..
Le dénominateur « 6x salaire de référence » correspond au prix d'acquisition du point. Le salaire de référence est un indice annuel calculé et communiqué par la CIMR.
D'année en années, les points accumulés s'additionnent et à l'âge de 60 ans, le total des points est multiplié par la valeur du point de liquidation pour obtenir le montant de la pension annuelle.
Pour encourager les salariés et les entreprises à constituer une retraite, l'Etat leur accorde des avantages fiscaux. Ainsi, la cotisation salariale est déduite du calcul de l'IGR et la contribution patronale est déduite de l'IS.
Il faut savoir que la retraite CIMR bénéficie d'une déductibilité fiscale. Cette déductibilité fiscale est d'autant plus avantageuse que le taux d'imposition marginal au titre de l'IGR est élevé.
Ainsi, pour un salaire imposé au taux de 44%, le salarié ne supporte réellement que 56% de sa cotisation à la CIMR. Pour sa part, l'employeur ne supporte en réalité que 65% des contributions, étant donné que le taux de l'IS (Impôts sur les Sociétés) est généralement de 35%.
De plus, au moment du départ en retraite, le retraité bénéficie d'un abattement de 40% avant le calcul de l'IGR.
