De ce fait, la nouvelle RTM sera animée par la logique des objectifs et des résultats. Comme n'importe quelle entreprise qui cherche l'expansion et les performances.
Pour préparer le terrain à ce changement, une série de rencontres et de réunions sont organisées périodiquement pour en débattre et expliquer les modalités.
A l'initiative du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), un colloque a été organisé samedi dernier à Rabat sur «Les conventions collectives et leur application dans le secteur audiovisuel». Ce colloque a été animé par Rachid Filali, professeur en droit du travail.
Le changement de statut fait que les fonctionnaires de la RTM seront soumis au cadre juridique de la législation du travail. La spécificité de cet établissement public de l'audiovisuel lui permettra de bénéficier de certaines modalités liées aux conventions collectives.
«Ces conventions, a souligné M. Filali, vont déterminer les conditions de travail qui seront régies dans le cadre de contrats individuels». La convention constitue un cadre juridique négocié permettant d'adapter les normes de la législation du travail aux besoins des entreprises.
Il est à souligner que l'effectif de la RTM est de 2.208 personnes dont une centaine est mise à la disposition par le ministère de tutelle.
A l'instar des autres départements de la fonction publique, 75 personnes ont bénéficié des modalités de départ volontaire.
Les participants à cette rencontre se sont penchés sur l'examen de plusieurs thématiques ayant trait à la transformation de la RTM en une société nationale de droit privé, ainsi qu'à l'impact de cette transition sur la situation financière et les conditions de travail du personnel.
Dans une allocution à l'occasion, le secrétaire général du syndicat national de la presse marocaine, Younes Moujahid, a appelé à la coordination des efforts et des positions entre les parties concernées, considérant que cette rencontre constitue une occasion pour le débat et la mobilisation générale
Pour Khalid Akdi, secrétaire général du bureau syndical national uni de la RTM (affilié à la CDT) : «Le changement de statut fait l'objet de plusieurs discussions entre le syndicat et la direction générale.
Il y a une commission mixte qui regroupe les différents concernés par le projet». «L'essentiel, a fait remarquer M. Akdi, c'est la préservation de l'emploi et des acquis du personnel».
En effet, plusieurs intervenants lors de ce colloque ont exprimé leur crainte de perdre la stabilité fonctionnelle que leur assure la fonction publique.
Pour sa part, le bureau syndical a présenté un projet en ce sens, une réunion avec la direction générale est prévue vendredi prochain pour débattre des grandes lignes.
M. Akdi a précisé notamment qu'«il faut résoudre tous les problèmes en instance avant le changement de statut».
Pour préparer le terrain à ce changement, une série de rencontres et de réunions sont organisées périodiquement pour en débattre et expliquer les modalités.
A l'initiative du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), un colloque a été organisé samedi dernier à Rabat sur «Les conventions collectives et leur application dans le secteur audiovisuel». Ce colloque a été animé par Rachid Filali, professeur en droit du travail.
Le changement de statut fait que les fonctionnaires de la RTM seront soumis au cadre juridique de la législation du travail. La spécificité de cet établissement public de l'audiovisuel lui permettra de bénéficier de certaines modalités liées aux conventions collectives.
«Ces conventions, a souligné M. Filali, vont déterminer les conditions de travail qui seront régies dans le cadre de contrats individuels». La convention constitue un cadre juridique négocié permettant d'adapter les normes de la législation du travail aux besoins des entreprises.
Il est à souligner que l'effectif de la RTM est de 2.208 personnes dont une centaine est mise à la disposition par le ministère de tutelle.
A l'instar des autres départements de la fonction publique, 75 personnes ont bénéficié des modalités de départ volontaire.
Les participants à cette rencontre se sont penchés sur l'examen de plusieurs thématiques ayant trait à la transformation de la RTM en une société nationale de droit privé, ainsi qu'à l'impact de cette transition sur la situation financière et les conditions de travail du personnel.
Dans une allocution à l'occasion, le secrétaire général du syndicat national de la presse marocaine, Younes Moujahid, a appelé à la coordination des efforts et des positions entre les parties concernées, considérant que cette rencontre constitue une occasion pour le débat et la mobilisation générale
Pour Khalid Akdi, secrétaire général du bureau syndical national uni de la RTM (affilié à la CDT) : «Le changement de statut fait l'objet de plusieurs discussions entre le syndicat et la direction générale.
Il y a une commission mixte qui regroupe les différents concernés par le projet». «L'essentiel, a fait remarquer M. Akdi, c'est la préservation de l'emploi et des acquis du personnel».
En effet, plusieurs intervenants lors de ce colloque ont exprimé leur crainte de perdre la stabilité fonctionnelle que leur assure la fonction publique.
Pour sa part, le bureau syndical a présenté un projet en ce sens, une réunion avec la direction générale est prévue vendredi prochain pour débattre des grandes lignes.
M. Akdi a précisé notamment qu'«il faut résoudre tous les problèmes en instance avant le changement de statut».
