Le Difaâ Hassani d'El Jadida est assurément «l'équipe révélation» de cette saison puisque le club doukkali a impressionné les observateurs sportifs par sa belle prestance et sa bonne santé affichées lors des douze premières journées du championnat du GNFE I.
Les hommes d'Abderrahim Talib, pour la première saison – retour chez l'élite, ont fait honneur à leurs prédécesseurs. Et ce ne sont pas les Maâroufi, Chicha, Ouazir, Baba, Cherif, Moubarik, Krimou et autres Spagna, Bouatra et Chiadmi qui nous contrediront.
Les Doukkalis, sous la conduite d'un Reda Riahy qui a retrouvé les jambes de ses vingt ans a, non seulement tiré leur épingle du jeu, mais imposé de très belle manière leur personnalité et leurs ambitions afin d'effectuer un retour fracassant dans un championnat d'élite qu'ils avaient quitté il y a près d'une décennie.
Lyazid Chergui, le défunt père spirituel du Difaâ, aurait été fier de cette fringante formation qui nous rappelle fort curieusement celle drivée par Paul Drotz et Abdallah Didi et qui avait joué les trouble-fêtes durant de longues saisons en première division lors des années 60-70.
Tombeurs des FAR, ayant tenu tête au Raja à Mohammedia, où ils méritaient un nul, les Jdidis viennent d'aligner trois victoires successives face respectivement au Tihad de Tanger (4-2), au Tihad de Touarga à Rabat (3-1) et au Hassania d'Agadir (1 – 0).
Mais le plus significatif dans le comportement des Jdidis est leur état d'esprit offensif qui soulève l'admiration du public marocain habitué à des scores étriqués. Avec les Doukkalis, le jeu demeure un plaisir et les attaquants s'en donnent à cœur joie à la plus grande satisfaction des spectateurs.
Cinquièmes au classement général après 12 journées, les coéquipiers de Lama totalisent vingt points avec cinq victoires, cinq nuls et deux défaites. L'attaque du DHJ a scoré à 17 reprises et sa défense a encaissé 12 buts, ce qui lui donne un goal average de + 5.
C'est dire que les Doukkalis sont sur de bons rails et que pour peu que l'arbitrage soit à la hauteur, les hommes du président Abdallah Toumi seront, non seulement, les animateurs de l'actuel championnat, mais des prétendants sérieux au sacre finale.
Les hommes d'Abderrahim Talib, pour la première saison – retour chez l'élite, ont fait honneur à leurs prédécesseurs. Et ce ne sont pas les Maâroufi, Chicha, Ouazir, Baba, Cherif, Moubarik, Krimou et autres Spagna, Bouatra et Chiadmi qui nous contrediront.
Les Doukkalis, sous la conduite d'un Reda Riahy qui a retrouvé les jambes de ses vingt ans a, non seulement tiré leur épingle du jeu, mais imposé de très belle manière leur personnalité et leurs ambitions afin d'effectuer un retour fracassant dans un championnat d'élite qu'ils avaient quitté il y a près d'une décennie.
Lyazid Chergui, le défunt père spirituel du Difaâ, aurait été fier de cette fringante formation qui nous rappelle fort curieusement celle drivée par Paul Drotz et Abdallah Didi et qui avait joué les trouble-fêtes durant de longues saisons en première division lors des années 60-70.
Tombeurs des FAR, ayant tenu tête au Raja à Mohammedia, où ils méritaient un nul, les Jdidis viennent d'aligner trois victoires successives face respectivement au Tihad de Tanger (4-2), au Tihad de Touarga à Rabat (3-1) et au Hassania d'Agadir (1 – 0).
Mais le plus significatif dans le comportement des Jdidis est leur état d'esprit offensif qui soulève l'admiration du public marocain habitué à des scores étriqués. Avec les Doukkalis, le jeu demeure un plaisir et les attaquants s'en donnent à cœur joie à la plus grande satisfaction des spectateurs.
Cinquièmes au classement général après 12 journées, les coéquipiers de Lama totalisent vingt points avec cinq victoires, cinq nuls et deux défaites. L'attaque du DHJ a scoré à 17 reprises et sa défense a encaissé 12 buts, ce qui lui donne un goal average de + 5.
C'est dire que les Doukkalis sont sur de bons rails et que pour peu que l'arbitrage soit à la hauteur, les hommes du président Abdallah Toumi seront, non seulement, les animateurs de l'actuel championnat, mais des prétendants sérieux au sacre finale.
