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Le sommet tiendra-t-il ses promesses ? Difficile de prédire. En tout cas, ce qui reste vrai est que les chocs entre les équipes des deux capitales ont très souvent laissé les supporters sur leur faim. Le dernier en date fut le match FAR-WAC qui, non seulement a été un navet, mais plus grave, a failli tourner au drame à la sortie du Complexe.
On le sait, de tels sommets sont souvent trop tactiques car personne ne part favori, même s'il était leader. En tout cas, les deux protagonistes du samedi disposent d'individualités qui se valent et qui, tous deux, se sont montrés assez irréguliers ces derniers temps. Cela se comprend pour les Rajaouis sont perturbés par l'exode de joueurs, par l'instabilité au niveau de la direction technique et la transhumance à laquelle s'est livrée l'équipe après la fermeture du Complexe Mohammed V. Les FAR ont également souffert de plusieurs absences notamment pour raison de blessure.
Notre ami Zahi a eu du pain sur la planche. Les deux adversaires souffrent cependant un handicap majeur : ils sont émoussés par leur engagement marathon en compétition continentales et arabes. Ils se partagent néanmoins l'avantage d'avoir conservé leur large public respectif car les deux équipes se placent comme grands favoris au sacre, aux côtés du WAC.
Ce match de samedi est placé donc sous le signe de victoire mais également de la revanche. Souvenez-vous, les militaires ont privé le Raja du titre la saison précédente en s'imposant à Casablanca même !
Ce qui est certain, est qu'un résultat autre qu'un nul, chamboulera la tête du peloton et maintiendra le suspens pour un bout de temps, car il faut se le dire, conserver le fauteuil de leader ne pardonne pas le moindre trébuchement. Le coude à coude cette saison est si serré qu'il faudrait certainement attendre la ligne droite (et encore !) pour pouvoir se faire une idée du vainqueur final. D'où l'importance du genre de matchs comme celui de ce samedi qui devra drainer à coup sûr la grande foule.
Espérons que la sportivité soit de mise notamment sur les gradins, devenus le théâtre de duels verbaux, fait sde brimades et d'injures indignes. Espérons également que les services de l'ordre soient vigilants afin d'éviter le cauchemar de FAR-WAC marqué par une scène honteuse de hooliganisme et de destruction des sièges et autres équipements.
Dommage si l'on sait ce que ces dégâts causent comme perte sèche à la collectivité et de corvée pour l'équipe de Saïd Izega, Directeur du Complexe, qui s'active toute la semaine afin que les spectateurs puissent suivre le match dans les meilleures conditions.
On le sait, de tels sommets sont souvent trop tactiques car personne ne part favori, même s'il était leader. En tout cas, les deux protagonistes du samedi disposent d'individualités qui se valent et qui, tous deux, se sont montrés assez irréguliers ces derniers temps. Cela se comprend pour les Rajaouis sont perturbés par l'exode de joueurs, par l'instabilité au niveau de la direction technique et la transhumance à laquelle s'est livrée l'équipe après la fermeture du Complexe Mohammed V. Les FAR ont également souffert de plusieurs absences notamment pour raison de blessure.
Notre ami Zahi a eu du pain sur la planche. Les deux adversaires souffrent cependant un handicap majeur : ils sont émoussés par leur engagement marathon en compétition continentales et arabes. Ils se partagent néanmoins l'avantage d'avoir conservé leur large public respectif car les deux équipes se placent comme grands favoris au sacre, aux côtés du WAC.
Ce match de samedi est placé donc sous le signe de victoire mais également de la revanche. Souvenez-vous, les militaires ont privé le Raja du titre la saison précédente en s'imposant à Casablanca même !
Ce qui est certain, est qu'un résultat autre qu'un nul, chamboulera la tête du peloton et maintiendra le suspens pour un bout de temps, car il faut se le dire, conserver le fauteuil de leader ne pardonne pas le moindre trébuchement. Le coude à coude cette saison est si serré qu'il faudrait certainement attendre la ligne droite (et encore !) pour pouvoir se faire une idée du vainqueur final. D'où l'importance du genre de matchs comme celui de ce samedi qui devra drainer à coup sûr la grande foule.
Espérons que la sportivité soit de mise notamment sur les gradins, devenus le théâtre de duels verbaux, fait sde brimades et d'injures indignes. Espérons également que les services de l'ordre soient vigilants afin d'éviter le cauchemar de FAR-WAC marqué par une scène honteuse de hooliganisme et de destruction des sièges et autres équipements.
Dommage si l'on sait ce que ces dégâts causent comme perte sèche à la collectivité et de corvée pour l'équipe de Saïd Izega, Directeur du Complexe, qui s'active toute la semaine afin que les spectateurs puissent suivre le match dans les meilleures conditions.
