Le film de Yasmine Kassari, actuellement en salles à Bruxelles et dans d'autres villes belges, raconte sur fond d'un vieux mythe social : l'enfant endormi “ragued”, l'histoire d'une jeune mariée dont l'époux émigre dans la clandestinité pour l'Europe, juste après ses noces.
L'épouse, Zeinab, est enceinte. Dans l'attente du retour de son mari, elle fait endormir son foetus. Le temps passe, le mari ne revient pas.
La réalisatrice explique qu'elle a utilisé ce mythe pour en “faire une métaphore” qui permet de décrire la société en évolution.
La presse, unanime, a salué la sortie de ce film. “L'enfant endormi est une vraie réussite qui témoigne à la fois d'une maîtrise formelle épatante pour un premier film et d'un discours à rebrousse-poil, propre à susciter la réflexion. En effet, la réalisatrice bouscule, en douceur mais avec détermination, les clichés sur le Maroc, le monde musulman”, peut-on lire.
Tourné dans un hameau de la région d'Oujda, “L'Enfant endormi” est une coproduction belgo-marocaine. Il a déjà obtenu plusieurs prix, dont le Prix du public et le Prix d'interprétation du Festival Premiers Plan d'Angers en 2005, décerné à Mounia Osfour et Rachida Brakni, les deux principaux personnages du long métrage.
L'enfant endormi a aussi obtenu des prix au Festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles, ainsi que la Mention “Meilleur film européen” de la sélection officielle de la Mostra de Venise 2004, décernée par la Confédération Internationale du Cinéma d'Art et d'Essai.
L'épouse, Zeinab, est enceinte. Dans l'attente du retour de son mari, elle fait endormir son foetus. Le temps passe, le mari ne revient pas.
La réalisatrice explique qu'elle a utilisé ce mythe pour en “faire une métaphore” qui permet de décrire la société en évolution.
La presse, unanime, a salué la sortie de ce film. “L'enfant endormi est une vraie réussite qui témoigne à la fois d'une maîtrise formelle épatante pour un premier film et d'un discours à rebrousse-poil, propre à susciter la réflexion. En effet, la réalisatrice bouscule, en douceur mais avec détermination, les clichés sur le Maroc, le monde musulman”, peut-on lire.
Tourné dans un hameau de la région d'Oujda, “L'Enfant endormi” est une coproduction belgo-marocaine. Il a déjà obtenu plusieurs prix, dont le Prix du public et le Prix d'interprétation du Festival Premiers Plan d'Angers en 2005, décerné à Mounia Osfour et Rachida Brakni, les deux principaux personnages du long métrage.
L'enfant endormi a aussi obtenu des prix au Festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles, ainsi que la Mention “Meilleur film européen” de la sélection officielle de la Mostra de Venise 2004, décernée par la Confédération Internationale du Cinéma d'Art et d'Essai.
