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Quelque 22 filles des bidonvilles de Guich El Oudaya bénéficient des cours d'alphabétisation dans le cadre du programme Adros en collaboration avec l'association Rawafid Attaqafia. Leurs parents ont accepté de les faire sortir du gouffre de l'analphabétisme après l'intervention des jeunes de l'association de la Réforme et du Développement relevant du réseau maillage. Une animatrice appartenant à ce bidonville se charge de les former dans l'école Zirara chaque mercredi et samedi. Ces efforts sont à louer. Au moins, plusieurs enfants analphabètes ont une chance d'apprendre à lire et à écrire comme tous les autres enfants de la planète. Cependant, on rencontre plusieurs obstacles.
Aux bidonvilles de Guich El Oudaya, nombreuses sont les filles qui ont besoin de suivre des cours d'alphabétisation. Mais, malheureusement, leurs parents refusent, préférant plutôt de les faire employer en tant que bonnes.
Les membres de l'association de la Réforme et du Développement sont déterminés à essayer autant que faire se peut de convaincre un plus grand nombre d'entre eux de permettre à leurs filles d'apprendre à lire et à écrire d'autant plus qu'ils ne vont rien payer. En effet, le projet adros s'en occupe. Il prévoit l'alphabétisation d'un plus grand nombre de filles. Adros touche surtout les petites bonnes pour lutter contre leur isolement social.
Il est à signaler que le projet Adros, initié par le Département du travail américain
" Us dol " et géré par Management systems international (MSI) est l'un des programmes visant à combattre le travail des petites filles domestiques âgées de moins de quinze ans. Ce programme s'inscrit dans le cadre du programme du bureau international du travail pour éliminer le travail des enfants principalement à travers l'éducation.
Il est mené en collaboration avec différents partenaires locaux, nationaux et internationaux. On couvre trois grandes villes où les données statistiques montrent une grande concentration des petites bonnes. Il s'agit de Rabat, Casablanca et Marrakech.
Aux bidonvilles de Guich El Oudaya, nombreuses sont les filles qui ont besoin de suivre des cours d'alphabétisation. Mais, malheureusement, leurs parents refusent, préférant plutôt de les faire employer en tant que bonnes.
Les membres de l'association de la Réforme et du Développement sont déterminés à essayer autant que faire se peut de convaincre un plus grand nombre d'entre eux de permettre à leurs filles d'apprendre à lire et à écrire d'autant plus qu'ils ne vont rien payer. En effet, le projet adros s'en occupe. Il prévoit l'alphabétisation d'un plus grand nombre de filles. Adros touche surtout les petites bonnes pour lutter contre leur isolement social.
Il est à signaler que le projet Adros, initié par le Département du travail américain
" Us dol " et géré par Management systems international (MSI) est l'un des programmes visant à combattre le travail des petites filles domestiques âgées de moins de quinze ans. Ce programme s'inscrit dans le cadre du programme du bureau international du travail pour éliminer le travail des enfants principalement à travers l'éducation.
Il est mené en collaboration avec différents partenaires locaux, nationaux et internationaux. On couvre trois grandes villes où les données statistiques montrent une grande concentration des petites bonnes. Il s'agit de Rabat, Casablanca et Marrakech.
