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Malgré la maladie et l'invalidité, le pontife romain a mené sa mission jusqu'au bout en dépit de la souffrance et de la défaillance physique.
Depuis son hospitalisation à la polyclinique Gemelli, du 1er au 10 février dernier, pour une grippe avec des complications respiratoires, l'état de santé du Pape n'a cessé de se détériorer.
La trachéotomie qu'il avait subie pour faciliter sa respiration l'a acculé à un silence auquel il n' a jamais été habitué. L'impossibilité de s'adresser aux fidèles lors des fêtes de Pâques aurait fragilisé son moral et altéré sa force extraordinaire de supporter la souffrance.
Le mercredi 30 mars dernier, il surprit les pèlerins présents à la place Saint-Pierre en les saluant de la main d'une fenêtre donnant sur cette esplanade.
Le jour d'après, son état de santé s'est sérieusement aggravé suite à un arrêt cardiaque qui a nécessité son placement sous assistance cardio-respiratoire.
Le Saint-Siège avait fait savoir que le Pape Jean Paul II était victime ''d'une infection urinaire, un choc septique et un arrêt cardiaque'' et qu'il avait fait lui-même le choix de ne pas être hospitalisé.
Vendredi en début de matinée, il était toujours "conscient, lucide et serein", a précisé le Vatican. Il a pu assister à une messe avec ses proches collaborateurs célébrée dans son lit de malade à 06h00 du matin. «''Sur la pierre blanche de ta tombe " Refermée depuis tant d'années " a surgi comme une ombre " celle de la mort incompréhensible''» avait écrit, le 13 avril 1929 à la mort de sa mère, un enfant polonais, âgé de neuf ans, nommé Karol Wojtyla qui ne savait ni s'il deviendrait le 263e Pape de l'histoire de l'Eglise ni qu'il mourrait comme sa mère un mois d'avril.
Depuis son hospitalisation à la polyclinique Gemelli, du 1er au 10 février dernier, pour une grippe avec des complications respiratoires, l'état de santé du Pape n'a cessé de se détériorer.
La trachéotomie qu'il avait subie pour faciliter sa respiration l'a acculé à un silence auquel il n' a jamais été habitué. L'impossibilité de s'adresser aux fidèles lors des fêtes de Pâques aurait fragilisé son moral et altéré sa force extraordinaire de supporter la souffrance.
Le mercredi 30 mars dernier, il surprit les pèlerins présents à la place Saint-Pierre en les saluant de la main d'une fenêtre donnant sur cette esplanade.
Le jour d'après, son état de santé s'est sérieusement aggravé suite à un arrêt cardiaque qui a nécessité son placement sous assistance cardio-respiratoire.
Le Saint-Siège avait fait savoir que le Pape Jean Paul II était victime ''d'une infection urinaire, un choc septique et un arrêt cardiaque'' et qu'il avait fait lui-même le choix de ne pas être hospitalisé.
Vendredi en début de matinée, il était toujours "conscient, lucide et serein", a précisé le Vatican. Il a pu assister à une messe avec ses proches collaborateurs célébrée dans son lit de malade à 06h00 du matin. «''Sur la pierre blanche de ta tombe " Refermée depuis tant d'années " a surgi comme une ombre " celle de la mort incompréhensible''» avait écrit, le 13 avril 1929 à la mort de sa mère, un enfant polonais, âgé de neuf ans, nommé Karol Wojtyla qui ne savait ni s'il deviendrait le 263e Pape de l'histoire de l'Eglise ni qu'il mourrait comme sa mère un mois d'avril.
