L'Association marocaine pour la diplomatie parallèle et le dialogue des civilisations a estimé que la diplomatie parallèle est «essentielle et incontournable» pour relever les défis sur le plan extérieur, la qualifiant d'«affluent essentiel» pour le soutien de la diplomatie officielle, surtout face aux défis imposés au Maroc.
Dans son rapport annuel intitulé «Diplomatie parallèle au Maroc : stratégie et objectifs», l'association mentionne ces défis, notamment les développements du dossier de l'intégrité territoriale du Royaume, la réforme des partis politiques à l'horizon des élections 2007 et l'entrée en vigueur des accords et partenariats conclus par le Royaume à l'horizon 2010.
S'agissant des priorités de la diplomatie parallèle, le rapport fixe la question de l'intégrité territoriale à la tête de ses principales préoccupations, appelant à une mobilisation plus intense pour parvenir à une solution définitive garantissant les droits constants du Maroc.
Le volet économique, en particulier les aspects relatifs aux investissements extérieurs, à la prospection de nouveaux marchés et à la commercialisation du produit national, figure aussi parmi les priorités de cette diplomatie en plus du dossier social, à travers le financement et le soutien du plan de développement humain, et du dossier culturel en renforçant l'échange culturel et la mise à profit de l'histoire diplomatique du Maroc.
Le rapport insiste sur le fait que les prochaines échéances d'ordre politique et structurel auxquelles se préparent les partis politiques (diplomatie partisane) sont une occasion pour accorder un grand intérêt à la diplomatie parallèle, de lui donner la place qui lui échoit au sein de leurs structures et appareils et de la vulgariser auprès des citoyens.
Pour ce qui est du rôle du Parlement (diplomatie parlementaire), le rapport relève l'existence d'un dysfonctionnement en la matière, ce qui exige la rationalisation de ce type de diplomatie et la définition des ses orientations à travers l'élaboration de programmes pour notamment encadrer les députés et coordonner les actions des deux Chambres du Parlement, l'objectif étant de disposer d'une diplomatie parlementaire complémentaire et fructueuse.
Evoquant la diplomatie économique, le document appelle à la révision du fonctionnement de la justice économique, à la modernisation des procédures administratives, à la mise en place d'un régime fiscal et bancaire et de lois sociales aidant à surmonter les entraves devant le flux des investissements et garantissant les droits de la main-d'œuvre marocaine.
Le rapport souligne l'importance de la recherche scientifique et de l'information dans le développement de l'action de la diplomatie officielle et parallèle ainsi que du rôle des médias dans ce domaine.
L'association estime que la couverture médiatique a reflété l'unanimité nationale autour de l'intégrité territoriale du Royaume à travers un suivi professionnel démontrant les efforts fournis par les organes de presse marocains afin de contrecarrer les allégations et les informations erronées au sujet de la cause nationale.
A la lumière des acquis législatifs au profit de la communauté marocaine établie à l'étranger, l'association appelle à l'ouverture d'un débat sur la contribution de cette diaspora au renforcement de la diplomatie nationale, ce qui reste tributaire, selon la même source, de la conciliation entre ambitions personnelles et défense des intérêts de la patrie.
Dans ce cadre, le rapport appelle à l'élaboration d'un plan pour servir les intérêts de la politique étrangère du Royaume à travers la présence de responsables d'origine marocaine au niveau des sphères de décision dans les pays d'accueil et la création de réseaux permanents de contact, soulignant la nécessité d'ouvrir d'intenses dialogues et débats pour faire face aux problématiques de l'identité culturelle et religieuse à même de faciliter l'intégration des migrants dans les pays d'accueil.
Dans son rapport annuel intitulé «Diplomatie parallèle au Maroc : stratégie et objectifs», l'association mentionne ces défis, notamment les développements du dossier de l'intégrité territoriale du Royaume, la réforme des partis politiques à l'horizon des élections 2007 et l'entrée en vigueur des accords et partenariats conclus par le Royaume à l'horizon 2010.
S'agissant des priorités de la diplomatie parallèle, le rapport fixe la question de l'intégrité territoriale à la tête de ses principales préoccupations, appelant à une mobilisation plus intense pour parvenir à une solution définitive garantissant les droits constants du Maroc.
Le volet économique, en particulier les aspects relatifs aux investissements extérieurs, à la prospection de nouveaux marchés et à la commercialisation du produit national, figure aussi parmi les priorités de cette diplomatie en plus du dossier social, à travers le financement et le soutien du plan de développement humain, et du dossier culturel en renforçant l'échange culturel et la mise à profit de l'histoire diplomatique du Maroc.
Le rapport insiste sur le fait que les prochaines échéances d'ordre politique et structurel auxquelles se préparent les partis politiques (diplomatie partisane) sont une occasion pour accorder un grand intérêt à la diplomatie parallèle, de lui donner la place qui lui échoit au sein de leurs structures et appareils et de la vulgariser auprès des citoyens.
Pour ce qui est du rôle du Parlement (diplomatie parlementaire), le rapport relève l'existence d'un dysfonctionnement en la matière, ce qui exige la rationalisation de ce type de diplomatie et la définition des ses orientations à travers l'élaboration de programmes pour notamment encadrer les députés et coordonner les actions des deux Chambres du Parlement, l'objectif étant de disposer d'une diplomatie parlementaire complémentaire et fructueuse.
Evoquant la diplomatie économique, le document appelle à la révision du fonctionnement de la justice économique, à la modernisation des procédures administratives, à la mise en place d'un régime fiscal et bancaire et de lois sociales aidant à surmonter les entraves devant le flux des investissements et garantissant les droits de la main-d'œuvre marocaine.
Le rapport souligne l'importance de la recherche scientifique et de l'information dans le développement de l'action de la diplomatie officielle et parallèle ainsi que du rôle des médias dans ce domaine.
L'association estime que la couverture médiatique a reflété l'unanimité nationale autour de l'intégrité territoriale du Royaume à travers un suivi professionnel démontrant les efforts fournis par les organes de presse marocains afin de contrecarrer les allégations et les informations erronées au sujet de la cause nationale.
A la lumière des acquis législatifs au profit de la communauté marocaine établie à l'étranger, l'association appelle à l'ouverture d'un débat sur la contribution de cette diaspora au renforcement de la diplomatie nationale, ce qui reste tributaire, selon la même source, de la conciliation entre ambitions personnelles et défense des intérêts de la patrie.
Dans ce cadre, le rapport appelle à l'élaboration d'un plan pour servir les intérêts de la politique étrangère du Royaume à travers la présence de responsables d'origine marocaine au niveau des sphères de décision dans les pays d'accueil et la création de réseaux permanents de contact, soulignant la nécessité d'ouvrir d'intenses dialogues et débats pour faire face aux problématiques de l'identité culturelle et religieuse à même de faciliter l'intégration des migrants dans les pays d'accueil.
