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À l'approche du mois sacré, on arrive difficilement à reconnaître la Souika de la capitale. Par coup de baguette, les magasins de vêtements et de cassettes se sont transformés en de vraies petites pâtisseries. Les vendeurs tronquent leurs vêtements habituels de travail pour des tabliers tous blancs.
Curieusement, le Ramadan qui fait vider l'estomac à de nombreuses personnes, fait couler la salive aux adeptes du business. Des agences de crédits, aux couturiers en passant par les petits commerçants dont la vocation connaît un parfait bouleversement à l'avenue du mois sacré.
Le taux de consommation des produits alimentaires pendant le mois sacré monte en flèche. Les petits commerçants semblent en être conscients. Dans les Souikas de Rabat, des vitrines captivantes sont déjà aménagées pour séduire le futur client. Une prodigieuse stratégie de marketing mise au point par ces petits commerçants. Les vendeurs de cassettes, de vêtements, de sacs se convertissent à la vente de Chbakiya, Mlawis et Briwates.
"J'étais vendeur de vêtements, je garde ma marchandise au stock pendant un mois pour me consacrer à la vente de gâteaux au miel" déclare Adil un vendeur.
La gourmandise remplace la chasteté dont font preuve les Marocains pendant la journée de jeûne, au grand bonheur des pâtissiers potentiels, "Nous sommes nombreux dans cette souika, mais cela ne nous empêche pas de bien vendre. Personnellement, je réalise un meilleur chiffre d'affaires pendant le mois sacré que pendant une saison ordinaire " affirme Ahmed, un vendeur de cassettes passé il y a une semaine à la vente de chebakiyas.
Cette perspective ne déplait guère au consommateur qui témoigne, même, un enchantement vis-à-vis de ce volte-face " je suis ravi d'échapper aux interminables queues chez les pâtissiers permanents, ces vendeurs se trouvent presque partout et nous procurent ce dont on a besoin" déclare Hamid un client.
Ces marchands ont apparemment plus d'un tour dans leur sac. Pour fidéliser le client quoi de plus convaincant qu'un prix beaucoup moins cher par rapport à celui que demande un pâtissier permanent "On attire généralement le consommateur à moyen revenu, nos prix sont moins chers parce que nos fournisseurs sont des femmes au foyer qui travaillent chez elles et avec lesquelles ont s'associe pendant un mois seulement."
Visiblement, les commerçants sont déterminés à tirer profit du mois sacré en s'associant à des fournisseurs potentiels. Le "fait maison" trouve du succès auprès du consommateur.
Curieusement, le Ramadan qui fait vider l'estomac à de nombreuses personnes, fait couler la salive aux adeptes du business. Des agences de crédits, aux couturiers en passant par les petits commerçants dont la vocation connaît un parfait bouleversement à l'avenue du mois sacré.
Le taux de consommation des produits alimentaires pendant le mois sacré monte en flèche. Les petits commerçants semblent en être conscients. Dans les Souikas de Rabat, des vitrines captivantes sont déjà aménagées pour séduire le futur client. Une prodigieuse stratégie de marketing mise au point par ces petits commerçants. Les vendeurs de cassettes, de vêtements, de sacs se convertissent à la vente de Chbakiya, Mlawis et Briwates.
"J'étais vendeur de vêtements, je garde ma marchandise au stock pendant un mois pour me consacrer à la vente de gâteaux au miel" déclare Adil un vendeur.
La gourmandise remplace la chasteté dont font preuve les Marocains pendant la journée de jeûne, au grand bonheur des pâtissiers potentiels, "Nous sommes nombreux dans cette souika, mais cela ne nous empêche pas de bien vendre. Personnellement, je réalise un meilleur chiffre d'affaires pendant le mois sacré que pendant une saison ordinaire " affirme Ahmed, un vendeur de cassettes passé il y a une semaine à la vente de chebakiyas.
Cette perspective ne déplait guère au consommateur qui témoigne, même, un enchantement vis-à-vis de ce volte-face " je suis ravi d'échapper aux interminables queues chez les pâtissiers permanents, ces vendeurs se trouvent presque partout et nous procurent ce dont on a besoin" déclare Hamid un client.
Ces marchands ont apparemment plus d'un tour dans leur sac. Pour fidéliser le client quoi de plus convaincant qu'un prix beaucoup moins cher par rapport à celui que demande un pâtissier permanent "On attire généralement le consommateur à moyen revenu, nos prix sont moins chers parce que nos fournisseurs sont des femmes au foyer qui travaillent chez elles et avec lesquelles ont s'associe pendant un mois seulement."
Visiblement, les commerçants sont déterminés à tirer profit du mois sacré en s'associant à des fournisseurs potentiels. Le "fait maison" trouve du succès auprès du consommateur.
