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Battus 4-2, les Suisses se sont qualifiés grâce aux buts marqués à l'extérieur.
Malgré une ouverture du score précoce de Frei sur penalty (2e), la sélection helvétique a été chahutée, menée 3-1 en début de seconde période. Il lui a fallu un second but, signé Streller (84), pour assurer une qualification contestée jusqu'au bout par la Turquie, seul demi-finaliste de l'édition 2002 qui ne sera pas en Allemagne en 2006.
Les deux autres barrages en Europe recelaient moins de suspense.
L'Espagne, victorieuse 5-1 à l'aller à domicile, s'est qualifiée avec un nul en Slovaquie (1-1), alors que la République tchèque, déjà victorieuse 1-0 en Norvège, s'est de nouveau imposée chez elle (1-0).
Egalement invitée au Mondial, et pour la première fois depuis 1974 (en Allemagne, déjà): l'Australie, sortie victorieuse de son barrage Océanie-Amsud contre l'Uruguay. A Sydney, les «Socceroos» australiens ont remonté leur but de retard après le match aller à Montevideo pour se qualifier aux tirs au but (1-0 a.p., 4-2 aux t.a.b.).
Cette qualification couronne de succès l'opération commando du Néerlandais Guus Hiddink, appelé en juillet par la sélection australienne tout en conservant ses fonctions d'entraîneur au PSV Eindhoven.
L'Australie est le premier représentant de la confédération Océanie en phase finale Coupe du monde depuis la Nouvelle-Zélande en 1982.
L'Uruguay, vainqueur de la Coupe du monde en 1930 et 1950, sera lui le seul pays champion du monde à ne pas être présent en Allemagne.
Trinité-et-Tobago, emmené par l'ex-attaquant de Manchester United Dwight Yorke, y disputera pour sa part sa première phase finale après sa victoire à Bahreïn (1-0).
Un succès suffisant après le nul à l'aller (1-1).
La soirée de mercredi mettait un point final à des qualifications qui avaient débuté en septembre 2003 dans la zone sud-américaine.
Le tirage au sort de la phase finale aura lieu le 9 décembre à Leipzig.
Malgré une ouverture du score précoce de Frei sur penalty (2e), la sélection helvétique a été chahutée, menée 3-1 en début de seconde période. Il lui a fallu un second but, signé Streller (84), pour assurer une qualification contestée jusqu'au bout par la Turquie, seul demi-finaliste de l'édition 2002 qui ne sera pas en Allemagne en 2006.
Les deux autres barrages en Europe recelaient moins de suspense.
L'Espagne, victorieuse 5-1 à l'aller à domicile, s'est qualifiée avec un nul en Slovaquie (1-1), alors que la République tchèque, déjà victorieuse 1-0 en Norvège, s'est de nouveau imposée chez elle (1-0).
Egalement invitée au Mondial, et pour la première fois depuis 1974 (en Allemagne, déjà): l'Australie, sortie victorieuse de son barrage Océanie-Amsud contre l'Uruguay. A Sydney, les «Socceroos» australiens ont remonté leur but de retard après le match aller à Montevideo pour se qualifier aux tirs au but (1-0 a.p., 4-2 aux t.a.b.).
Cette qualification couronne de succès l'opération commando du Néerlandais Guus Hiddink, appelé en juillet par la sélection australienne tout en conservant ses fonctions d'entraîneur au PSV Eindhoven.
L'Australie est le premier représentant de la confédération Océanie en phase finale Coupe du monde depuis la Nouvelle-Zélande en 1982.
L'Uruguay, vainqueur de la Coupe du monde en 1930 et 1950, sera lui le seul pays champion du monde à ne pas être présent en Allemagne.
Trinité-et-Tobago, emmené par l'ex-attaquant de Manchester United Dwight Yorke, y disputera pour sa part sa première phase finale après sa victoire à Bahreïn (1-0).
Un succès suffisant après le nul à l'aller (1-1).
La soirée de mercredi mettait un point final à des qualifications qui avaient débuté en septembre 2003 dans la zone sud-américaine.
Le tirage au sort de la phase finale aura lieu le 9 décembre à Leipzig.
