Mme Latifa Akharbache a pris, lundi, ses fonctions à la tête du réseau Théophraste des centres francophones de formation au journalisme. Elle remplace à ce poste Loïc Hervouet grand journaliste et spécialiste fraçais des médias. La directrice de l'Institut supérieur de l'Information et de la Communication (ISIC) est, ainsi, la première femme arabe et africaine à pourvoir ce poste à la tête d'une organisation qui inscrit parmi ses objectifs la contribution à affirmer le «rôle essentiel du journaliste dans la vie démocratique et dans le développement de l'esprit de citoyenneté». C'est en agissant sur la formation que le réseau, regroupant une vingtaine de centres d'enseignement de journalisme et d'université, compte parvenir à cet objectif. Une labellisation des écoles de formation, membres du réseau, est en cours. Elle s'appuie sur des critères de qualité.
L'élection de Latifa Akharbache à la tête de ce réseau, à ce contexte particulier, est ainsi doublement significative. C'est une reconnaissance de compétence d'une femme engagée dans le domaine de la formation, mais également une reconnaissance pour le Maroc qu'elle représente. «Il s'agit de l'élection d'une femme de grande compétence qui a marqué de son empreinte la formation en matière journalistique», déclarait le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Nabil Benabdallah lors de la cérémonie de passation de pouvoirs entre l'ancien président du réseau Théophraste, Loïc Hervouet et Mme Akharbache.
La nomination d'une femme à la tête de ce réseau est «un fait valorisant pour cette structure et aussi pour le Maroc», a dit le ministre, ajoutant que cette nomination «vient conforter l'orientation du Maroc visant à assurer l'égalité entre l'homme et la femme en matière d'accès aux postes de décision».
M. Hervouet exprimait sa confiance en les capacités de la nouvelle présidente estimant qu'elle mènera à bien sa mission liée aux grandes ambitions de ce réseau.
«Plus qu'une passation de pouvoir, la cérémonie d'aujourd'hui est une transmission de savoir», a souligné, pour sa part, Latifa Akharbache. Ce dont il est question, dans ce réseau, c'est de réfléchir et de mettre en pratique dans la pédagogie de l'enseignement journalistique, les principes et les valeurs spécifiques de la profession journalistique, a dit Mme Akharbache.
L'élection de Latifa Akharbache à la tête de ce réseau, à ce contexte particulier, est ainsi doublement significative. C'est une reconnaissance de compétence d'une femme engagée dans le domaine de la formation, mais également une reconnaissance pour le Maroc qu'elle représente. «Il s'agit de l'élection d'une femme de grande compétence qui a marqué de son empreinte la formation en matière journalistique», déclarait le ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement, Nabil Benabdallah lors de la cérémonie de passation de pouvoirs entre l'ancien président du réseau Théophraste, Loïc Hervouet et Mme Akharbache.
La nomination d'une femme à la tête de ce réseau est «un fait valorisant pour cette structure et aussi pour le Maroc», a dit le ministre, ajoutant que cette nomination «vient conforter l'orientation du Maroc visant à assurer l'égalité entre l'homme et la femme en matière d'accès aux postes de décision».
M. Hervouet exprimait sa confiance en les capacités de la nouvelle présidente estimant qu'elle mènera à bien sa mission liée aux grandes ambitions de ce réseau.
«Plus qu'une passation de pouvoir, la cérémonie d'aujourd'hui est une transmission de savoir», a souligné, pour sa part, Latifa Akharbache. Ce dont il est question, dans ce réseau, c'est de réfléchir et de mettre en pratique dans la pédagogie de l'enseignement journalistique, les principes et les valeurs spécifiques de la profession journalistique, a dit Mme Akharbache.
