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Aujourd'hui, à tous les niveaux de la scolarité, on commence à prendre conscience du rôle de l'école qui doit être un lieu privilégié où se forge le civisme et un lieu où la liberté de jugement s'élabore dans le respect des enfants, des adolescents et des jeunes citoyens.
C'est dans cet esprit que le Centre marocain de l'éducation civique, membre du Réseau arabe de l'éducation civique, organise une session de formation sur le thème «Impact de la démocratie et de l'éducation sur la citoyenneté». Cette session, première du genre tenue au Maroc, est organisée, du 11 au 19 janvier courant à Casablanca, en collaboration avec les Académies régionales de l'éducation et de la formation de la région du Grand Casablanca et de celles de Rabat-Salé-Zemmour-Zaêr et de Doukkala-Abda.
Un vaste programme d'encadrement sera donc assuré par des experts membres du Réseau mondial de l'éducation civique qui a son siège en Californie (Etats-Unis). Environ une quarantaine de cadres appartenant aux ministères arabes de l'éducation et de l'enseignement et aux associations humanitaires et de la société civile vont bénéficier de cette session de formation. Les participants sont venus de la Palestine, de Bahreïn, de la Jordanie, du Liban, du Yémen, de l'Egypte, de la Tunisie, de l'Algérie et du Maroc. Tous sont membres du Réseau arabe de l'éducation civique.
Celle-ci est une organisation indépendante qui œuvre pour promouvoir les principes de la démocratie et de la citoyenneté, en ciblant les élèves et les étudiants. La session de Casablanca est la quatrième après celles organisées à Amman (du 21 au 24 janvier 2004) et (du 16 au 22 juin 2004) et au Caire (du 12 au 20 décembre).
D'après les organisateurs, ce projet a l'ambition de s'adresser à la fois aux enfants, aux jeunes et aux adultes, aux citoyens en devenir et aux citoyens déjà investis de droits et de responsabilités.
C'est un projet qui englobe aussi le secteur de la jeunesse et la société civile, avec tout ce que cela comporte comme défis et difficultés. Pour Elarbi Imad, président du Centre marocain de l'éducation civique et président du Conseil d'administration du réseau arabe de l'éducation civile qui a son siège à Amman (Jordanie), « L'objectif de cette rencontre est de former un certain nombre de professeurs de l'enseignement primaire, collégial, secondaire et supérieur pour qu'ils puissent avoir une meilleure définition de la citoyenneté. C'est pourquoi, nous travaillons sur des dossiers et sur des exposés oraux, pour que ces professeurs puissent, à leur tour, former les élèves et les étudiants.
Ces cadres sont formés sur des projets qu'on appelle projet de citoyenneté ». M. Imad ajoute : « A travers ce projet, les élèves apprennent à étudier leurs problèmes à partir de leur environnement, en vue de les résoudre, en rencontrant directement les responsables des collectivités locales, des académies de l'éducation… Il sont formés pour qu'ils prennent conscience de leur société, de leurs devoirs et de leurs droits ».
A noter qu'à la fin de l'année scolaire, un concours régional est organisé au niveau des trois académies de l'éducation et de la formation pré-citées. Cette année, le Centre compte organiser cette compétition au niveau national pour que toutes les académies du pays y prennent part.
Il faut souligner que cette initiative est louable dans le sens où l'éducation civique va permettre aux jeunes de fonder leurs choix sur des principes de citoyenneté. L'étude des thèmes qui seront abordés lors de cette session de formation aidera certainement les jeunes à se situer dans le monde où ils vivent, à en comprendre les ressorts, à saisir que dans une démocratie un citoyen peut agir aussi bien sur son environnement immédiat que sur la vie internationale.
C'est dans cet esprit que le Centre marocain de l'éducation civique, membre du Réseau arabe de l'éducation civique, organise une session de formation sur le thème «Impact de la démocratie et de l'éducation sur la citoyenneté». Cette session, première du genre tenue au Maroc, est organisée, du 11 au 19 janvier courant à Casablanca, en collaboration avec les Académies régionales de l'éducation et de la formation de la région du Grand Casablanca et de celles de Rabat-Salé-Zemmour-Zaêr et de Doukkala-Abda.
Un vaste programme d'encadrement sera donc assuré par des experts membres du Réseau mondial de l'éducation civique qui a son siège en Californie (Etats-Unis). Environ une quarantaine de cadres appartenant aux ministères arabes de l'éducation et de l'enseignement et aux associations humanitaires et de la société civile vont bénéficier de cette session de formation. Les participants sont venus de la Palestine, de Bahreïn, de la Jordanie, du Liban, du Yémen, de l'Egypte, de la Tunisie, de l'Algérie et du Maroc. Tous sont membres du Réseau arabe de l'éducation civique.
Celle-ci est une organisation indépendante qui œuvre pour promouvoir les principes de la démocratie et de la citoyenneté, en ciblant les élèves et les étudiants. La session de Casablanca est la quatrième après celles organisées à Amman (du 21 au 24 janvier 2004) et (du 16 au 22 juin 2004) et au Caire (du 12 au 20 décembre).
D'après les organisateurs, ce projet a l'ambition de s'adresser à la fois aux enfants, aux jeunes et aux adultes, aux citoyens en devenir et aux citoyens déjà investis de droits et de responsabilités.
C'est un projet qui englobe aussi le secteur de la jeunesse et la société civile, avec tout ce que cela comporte comme défis et difficultés. Pour Elarbi Imad, président du Centre marocain de l'éducation civique et président du Conseil d'administration du réseau arabe de l'éducation civile qui a son siège à Amman (Jordanie), « L'objectif de cette rencontre est de former un certain nombre de professeurs de l'enseignement primaire, collégial, secondaire et supérieur pour qu'ils puissent avoir une meilleure définition de la citoyenneté. C'est pourquoi, nous travaillons sur des dossiers et sur des exposés oraux, pour que ces professeurs puissent, à leur tour, former les élèves et les étudiants.
Ces cadres sont formés sur des projets qu'on appelle projet de citoyenneté ». M. Imad ajoute : « A travers ce projet, les élèves apprennent à étudier leurs problèmes à partir de leur environnement, en vue de les résoudre, en rencontrant directement les responsables des collectivités locales, des académies de l'éducation… Il sont formés pour qu'ils prennent conscience de leur société, de leurs devoirs et de leurs droits ».
A noter qu'à la fin de l'année scolaire, un concours régional est organisé au niveau des trois académies de l'éducation et de la formation pré-citées. Cette année, le Centre compte organiser cette compétition au niveau national pour que toutes les académies du pays y prennent part.
Il faut souligner que cette initiative est louable dans le sens où l'éducation civique va permettre aux jeunes de fonder leurs choix sur des principes de citoyenneté. L'étude des thèmes qui seront abordés lors de cette session de formation aidera certainement les jeunes à se situer dans le monde où ils vivent, à en comprendre les ressorts, à saisir que dans une démocratie un citoyen peut agir aussi bien sur son environnement immédiat que sur la vie internationale.
